C'est ici que tout va se décider...

Et voilà, ce qui devait arriver arriva. J’avais été nommé Godaime Raikage. Je m’étais installé dans mes nouveaux appartements. C’était le luxe c’est vrai, il y a des avantages certains à être chef d’un village aussi puissant que Kumo. Enfin, puissant, tout est relatif… Nous étions maintenant sous la pression de l’Akatsuki. Je ne savais pas ce qu’ils attendaient de nous… Je n’avais pas fermé les yeux de la nuit, j’étais resté couché sur mon lit, le toit de ma chambre était vitré, j’avais regardé les étoiles toutes la nuit. Je pensais énormément à l’avenir du village. Avec ma nomination, de nouveau ninja de Kumo sont sortit de l’ombre et se sont présenter pour me soutenir dans ma tâche et d’autres semblaient resté silencieux pour un moment. Je n’avais pas la tête à m’occuper de tout ce qui était nomination et responsabilités. De plus, sans informations de la Lune Rouge, je ne savais pas comment diriger ma politique. Kumo allait-il devenir un village qui serait aux premières loges des dessins sombres de cette organisation ? Comment allaient réagir les autres villages ? Kumo ne pourrait survivre à ne attaque groupé des autres villages.

Le jour c’était lever sur le village, je n’avais toujours pas fermé les yeux. Je me levai péniblement et je me dirigeai à l’extérieur, je me plaçai sur le toit de la tour et j’eus un sourire. Jamais je n’avais vu Kumo de cet endroit, du moins, pas avec mes yeux de kage. Ce village que j’aimais, je me devais maintenant de le protéger encore plus qu’avant. Après quelques minutes, je reçu un mystérieux message venu de nulle part, il apparut juste devant moi. Il portait le signe de l’Akatsuki, ce fameux nuage rouge. Ce symbole ne me plaisait pas du tout, car le nuage était le symbole de Kumo. Je le pris après m’avoir allumé une nouvelle cigarette, je savais qu’il ne pouvait être piégé d’une quelconque façon. Ce serait trop bête de la part de l’Akatsuki car malgré tout, ils avaient gagné un nouvel allié. Ce message était un rendez vous, j’allais enfin pouvoir recevoir des informations pour le village. Je devais me rendre dans u lieu éloigné du village, seul. Cela ne m’étonnait pas vraiment, mais ce qui avait de bien, c’est que j’avais le choix du lieu précis. J’inscris alors le lieu sur le message : les gouffres obscurs dans les montagnes de Kumo. Je ne pouvais me permettre de m’éloigner trop loin du village. Le message disparut comme il était arrivé, surement qu’il a déjà été transmis à l’organisation.

Après avoir prévenu les Anbu de mon départ qui ne durera pas longtemps, je me dirigeai donc vers les gouffres obscurs des montagnes de Kumo. C’est là que je devais rencontrer celui qui était à l’origine de tout cela. Mais j’allais commettre un acte qui risquerait de me porter préjudices. Mais je tenais tout de même à ma vie. Je plaçai donc sur les parois des kunai spéciaux qui pourraient me permettre de faire une incantation électrique si jamais cela devrait mal tourner. Ensuite j’attendis l’arrivée de l’homme.

« Montrez-vous ! Je suis seul ! »

• Une semaine s’était écoulée depuis qu’il avait prononcé ses menaces au village de Kumo, les habitants et Shinobis avaient bien évidemment réagit, le plan avait totalement fonctionné, désormais Akatsuki était à la direction de ce pays riche…S’il n’y avait pas une guerre à préparer, peut-être que finalement, l’organisation de la lune rouge pourrait rouler sur l’or en ce moment même. Cependant, il n’y avait guère le temps, il fallait faire entrer le monde en conflit avant qu’une réunion internationale ne se fasse, il fallait donc mettre les choses au point le plus vite possible. Adossé contre un arbre, celui qui n’aimait pas se faire appeler vétéran regardait les vastes horizons qui s’offraient à lui, sous cette apparence, se présenter serait un véritable scandale, d’autant plus qu’à part le nom de la personne qu’il devait rencontrer, il ne savait rien, ni son âge ni description physique. Onizuka Yakami, c’était donc lui qui avait été choisi par le peuple des nuages, il était certainement fort à la hauteur de sa réputation songeait l’homme masqué, cependant comme il ignorait son âge, il ne pouvait pas savoir si la personne en question connaissait l’existence d’Uchiha Madara, encore qu’à Kumo il n’avait pas fait beaucoup parlé de lui. Une nouvelle fois, le leader secret de l’organisation de la lune rouge employa la technique du changement d’apparence. Cette fois-ci, il prit se chargea de s’identifier en tant qu’émissaire à plein temps de l’Akatsuki. D’un geste vif, il composa un signe de main si rapide qu’il fut indescriptible à l’œil nu et il s’envola…
  
  Arrivé à mi-chemin, l’un des derniers Uchiha de ce monde jeta un œil avisé et lança un kunaï sur un oiseau messager dans le ciel d’azur, ce dernier fut déstabilisé au plus haut point et s’écrasa dans un cerisier où les fleurs venaient d’éclore et le descendant du clan maudit ne se fit pas prier pour aller le décrocher avant qu’il ne reprenne son envol. D’une main ferme, le vieillard saisit l’animal à plumes et arracha le message à la patte de l’oiseau avant d’incendier le parchemin enroulé et d’en sortir un nouveau. Rapidement, il écrivit une missive et envoya le volatile à la résidence du Raïkage en espérant qu’il ne se perde pas en chemin, il attendit ensuite sous l’arbre où le petit animal s’était écrasé juste quelques minutes auparavant. L’ambiance était morne et Madara ne savait pas quoi faire, c’était franchement lourd d’attendre, enfin…Il arriva après un petit quart d’heure. Cet Onizuka lui donnait rendez-vous dans les gouffres obscurs non loin de Kumo, très bien…Il allait s’y rendre. Et à peine arrivé à l’endroit précis, le possesseur du Sharingan se fit interpeller, l’autre homme avait des compétences en matière de détection…
  
  « Mon nom est Tobi, je suis l’émissaire de l’Akatsuki… »
  
  Dissimulé derrière une apparence de jeune homme blond aux yeux verts, le dernier survivant des trois grandes guerres Ninjas dévoila sa fausse identité au Raïkage, enfin…S’il s’agissait bien de lui. Pour s’en assurer, il demanda d’un ton grave :
  
  « Vous êtes bien Onizuka Yakami ? Le Godaïme Raïkage ? »
  
  Puis il attendit que son interlocuteur reprenne la parole, la suite de la discussion était désormais entre les mains de l’autre homme aux cheveux blonds, cette discussion s’avérait réellement tout sauf ennuyante, au contraire…Enfin, il n’en savait rien pour le moment.
  

HRPG : Sincèrement désolé pour ce post mais je dois vite m'en aller >.<

Je veux la vérité !

C'est donc ce jeune homme bond aux yeux verts que je rencontre. Encore quelqu'un d'autres ! Sont-ils si nombreux et si dissimulé ces membres de l'Akatsuki ? La première chose que je voulu faire lorsque que je le vis, c'était d'activer ma technique afin de l'immobiliser, mais à quoi cela me servirait mise à part plongé Kumo dans le chaos ? L'Akatsuki n'était pas à prendre à la légère, nous savons de quoi il sont capable. Suna a déjà subi les foudre de cette organisation. Je ne voulais pas être le responsable du même sort pour Kumo. D'ailleurs, j'étais même déçu d'être tomber sur un simple émissaire. Je suis le Kage tout de même, le chef aurait pu se déplacer. Le jeune homme se présenta sous le nom de Tobi. C'est bizarre, j'aurais surnommé mon compagnon canidé du même nom. Ce devait être certainement un pseudonyme. Décidément, l'Akatsuki était tout de même méfiante.

« Vous êtes bien Onizuka Yakami ? Le Godaïme Raïkage ? »

« Parce que vous pensez vraiment que Kumo aurait envoyé un émissaire ? »

Ces paroles sont sorties toutes seules, j'avais été peut être révélateur sur ma façon de penser. J’affichai un sourire puis je m'allumai une cigarette. Je regardai sa longue robe noire au dessins rouges. Je ne comprenais pas pourquoi lune rouge alors que sont dessiner des nuages. Je ne dis rien pendant quelques secondes. En fait, j'essayai de gagner du tout, je devais chercher mes mots pour ne pas mettre un froid dans cette discutions qui était primordiale pour la suite des aventures de Kumo et de son Godaime. La première chose qui me venu à l'esprit aurait été de lui demander si ils auraient vraiment détruit une ville aussi riche que Kumo. Mais la réponse était trop évidente.

« J'aimerai que nous allions droit au but. La situation est assez ambiguë comme ça pour moi. Qu'est ce que l'Akatsuki étant de nous ? »

Comment aurais-je pu faire plus simple ? Cette question est aux bords de chaque légères des femmes et des enfants de Kumo. Quel est l'avenir qui les attends ? En tant que Kage, je devais le savoir. Même si les choses ne sont certainement pas agréable à entendre. Nous devions savoir la vérité. Tout doucement mon nindô semblait s'accrocher de celui de Roxas. Mais je ne pouvais prendre le nindô d'une ninja qui n'était pas mon sensei. Mon nouveau nindô sera : « Vivre pour enseigner l'amour d'un pays. » Je tirai une bouffée de ma clope, j'étais assez fier de moi. Mon visage restait neutre et mon regard se fixa à nouveau sur le jeune homme blond.

« Que dois-je annoncé à mon pays ? Une guerre ? Ou simplement avoir quelques ninja à votre service ? Dois-je annoncer une période de chaos aux femmes et aux enfants de Kumo ? »

L’obscurité des gouffres ne permettait guère à Madara d’observer les moindres faits et gestes de son interlocuteur, il se retrouvait donc dans une position qui n’était pas vraiment tout à son avantage, le nouveau dirigeant du pays de la foudre l’avait certainement fait exprès estima le dernier ancien du clan maudit en se tapotant lentement sur les doigts en signe d’impatience, le vieil homme avait bien pris soin de ne pas laisser sa bague de membre de l’organisation de la lune rouge sur ses mains gantées. L’autre homme blond ne semblait pas être quelqu’un qui aimait négocier, en effet, il le prit directement à la gorge en lui répondant tac au tac que Kumo n’aurait pas envoyé d’émissaire, ce garçon avait quelque chose d’intéressant songeait le doyen, en lui brûlait une certaine volonté, celle de ne pas laisser son village totalement à l’abandon et dans ces yeux, on pouvait y apercevoir une détermination similaire à ce que bien des hommes lui avaient décrit, celle d’un autre blondinet vivant à l’autre bout du monde Ninja, ce Jinchuriki nommé Uzumaki Naruto. Trêve de bavardage inutiles et revenons en à la scène actuelle, les deux personnes se faisaient face avec un certain air de défi qui pouvait se lire sur leur visage, Onizuka eu ensuite un petit sourire, on ne pouvait deviner s’il était moqueur ou s’il était tout simplement heureux d’avoir rétorqué une telle chose au dénommé Tobi. Il s’alluma ensuite une cigarette avant de reprendre la parole en demandant ce que voulait exactement Akatsuki au village caché des nuages. Le soit disant émissaire s’esclaffa pendant quelques secondes avant de répondre sur un ton qui se voulait être posé et courtois :

« Ce qu’attend Akatsuki, ce n’est pas très difficile en réalité…Pour le moment, il faut semer le trouble dans le monde des Shinobis, l’objectif de la lune rouge est de réunir tous les Bijûs. Pourquoi ? Vous le saurez bien assez tôt ! Mais ce que cherche l’organisation n’est pas différent de ce qu’ambitionne les autres villages, effectivement, mon maître est à la recherche de la paix durable…Cependant, il m’a confié que sans guerre il n’y a pas de paix…Tant qu’il y aura des Shinobis, la cause est perdue…Onizuka Yakami. »

Une autre question fut enchaînée directement après la première, le Godaïme n’avait décidemment pas la langue dans sa poche et préférait que l’on en vienne droit au but plutôt que de faire le tour du pot. Ce qu’il devait annoncer à son pays, telle était la question posée par l’homme blond aux cheveux ras qui lui faisait face. Tobi s’empressa de répondre afin de ne pas faire fléchir la crédibilité que lui portait son interlocuteur. Il se racla la gorge et prit sa voix de fausset qu’il utilisait régulièrement :

« Mon supérieur souhaite que cette entrevue reste secrète aux yeux de tous, à part lui, vous et moi, personne ne doit savoir ce qu’il s’est produit aujourd’hui. Vous devez garder le silence et faire comme si rien n’était. »

La réponse fut aussi brève que la question, il n’y avait guère besoin de faire de gros discours pour savoir qu’il ne fallait absolument rien dire à n’importe quel peuple. Au milieu des gouffres obscurs, les yeux verts brillants du leader caché de l’organisation de la lune rouge se rivèrent vers le Godaïme Raïkage, il lui restait un dernier point à aborder, la mission qu’il allait lui confier allait être capitale pour l’avenir du monde des Shinobis. Devait-il lui annoncer maintenant ? Il semblerait qu’ils n’aient plus le temps d’attendre, le conflit devra être lancé avant la fin du mois. Pour cela il fallait toucher à ce que les habitants de Konoha appelaient le « roi » du Shôgi ou autrement désigné le jeu de Go. Les pièces maîtresses de l’avenir, la jeunesse à laquelle tenaient tant les autres nations…

« J’ai un dernier point à aborder avec vous, ensuite je pense que j’en aurai fini… »

Celui qui recherchait les Bijûs depuis tant d’années se retourna vers Onizuka en croisant les bras, il était maintenant l’heure de commencer la véritable guerre et Kumo sera pour la première fois de son histoire, plongée au cœur d’un conflit non désiré, ce village sera pour la première fois exposé à la souffrance et au déchirement…Tout recommençait comme une boucle qui ne finissait jamais…Kurushimi no Sekaï…

Une dernière bonne nouvelle ?

Ce n’était pas un jeu, les mots de l’émissaire l’Akatsuki venait de me confirmer ce que je redoutais le plus. Ils n’avaient qu’un seul but : la destruction. Les bijus ? En quoi ces créatures démoniquement puissante pouvait les intéressé ? De plus, ils étaient pratiquement tous scellé dans un Jinchiruki et il n’était pas facile de les faire sortir ces bestioles de leur réceptacle. Et puis, comment faisaient-ils pour les maintenir en captivité sans qu’il détruise tout ? Enfin, je compris que le bu de l’Akatsuki était de les utiliser afin de tout détruire et de semer le doute dans l’esprit le monde des shinobis. Ce n’était pas très différent de mon métier, mais moi je faisais ça pour obtenir des informations pour éviter la guerre mais alors, pourquoi détruire pour régner sur un tas de cendre ? Qu’est ce que cela peut leur apporté ? Mais serait-ce vraiment utile que je leur pose la question ? Le vent s’engouffra dans le gouffre, ce qui me laissa une ligne de frisson dans le bas du dos ; je continuais d’écouter l’émissaire en tirant quelque bouffée de tabac.

C’est alors que l’émissaire répondait à ma seconde question. La réponse ne me plaisait pas du tout ; j’avais tenté de poser cette question afin de manipuler l’esprit de mon interlocuteur. J’avais tenté de le faire culpabiliser un minimum sur la situation. Mais l’Akatsuki était donc pire que moi, rien ne comptait, pas de sentiments ni de pitié. Certes c’était comme cela que j’agissais en temps de mission mais je ne pouvais pas croire que les membres de l’Akatsuki n’avait pas un jour eut des sentiments. 2tions nous donc tombé sur les plus puissants shinobi complètement malade de notre histoire ? de plus, je n’avais le droit de rien dire à mon peuple, et pourtant il y a une semaine, c’était quand même la même organisation qui les avait menacer de tout détruire ? Serait-ce tellement normale pour eux qu’il faut faire semblant que tous se passe à merveille ? Non cela ne me plaisait pas du tous, et peu importe leur réglementation, je dirais à mon peuple ce qu’il adviendra de lui. Pas forcément que nous sommes allié à l’Akatsuki, mais qu’au moins j’avais réussi à ce que le village ne soit pas détruit contre une petite contribution de notre part.

« Vous espérer vraiment que je garde le silence ? Vous les avez menacés ! Je dois au moins leur dire qu’il ne risque plus rien ! »

Mais j’allais peut-être trop vite. Je commençais à m’emballer. Je m’énervais, je n’avais aucunes envies de m’allier à ces fous. Et qui le voudrait ? Ma clope s’était vite consumer, mais je n’étais pas pour autant calmer. Machinalement, j’allais m’allumer une nouvelle cigarette. Et je fixai l’homme qui se disait être un émissaire, mais il me semblait bien informé pour un sous-fifre. M’enfin, je n’avais pas le temps pour les soupçons. Mais je n’avais qu’une envie, une envie de meurtre. De plus, il ne me suffisait que de quelques maudra et de m’agenouiller pour emprisonner cet homme dans mon incantation électrique. Mais je ne connaissais rien de cet homme, mise à part qu’il dégageait une puissance très impressionnante. Tuer cet homme, ou du moins essayer ne m’apportera que ma propre mort et la destruction du village. Et en tant que Raikage, je ne me pouvais de signer moi-même l’arrêt de mort de mes villageois. C’est alors que l’homme m’annonça qu’il n’avait pas fini, un dernier point à aborder avec moi. Je le regardais avec des yeux de braises, quel était donc la surprise qu’il me réservait encore ? Je ne dis rien pendant quelques instants, je me contentais de regarder dans les yeux l’homme. Il avait un air de défi dans ses yeux, j’adorais cela. Je le regardais donc avec le sourire.

« Une dernière bonne nouvelle ? Au point où j’en suis… »