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.:: Blood Moon Rising ::. |
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Mugen Yume
Nombre de Messages : 12 Date d'inscription : 29/06/2011
| Sujet: .:: Blood Moon Rising ::. Jeu 7 Juil - 9:07 | | « Les absurdités d'hier sont les vérités d'aujourd'hui et les banalités de demain… » 酩酊と同様、狂気 La Folie et La Sagesse 約束でのそれほど多く Tout se résume en une Promesse ユートピアと同様、美しさ La Beauté de l'Utopie |
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| Mugen Yume
Nombre de Messages : 12 Date d'inscription : 29/06/2011
| Sujet: Re: .:: Blood Moon Rising ::. Jeu 7 Juil - 9:08 | | « Si je devais me transformer en serpent demain, et que je commençais à dévorer des humains, et qu'avec cette même bouche je te criais "Je t'aime !" Serais-tu toujours capable de me dire "Je t'aime", de la même façon qu'aujourd'hui ? » ◦Nom : # Mugen
◦Prénom : # Yume
◦Age : # 27 ans
◦Sexe : # Masculin
◦Grade souhaité : # Anbu 暗部
◦Affinité(s) choisie(s) : # Kanton, Fuuton.
◦Avez vous lu les regles : Validé par l'AA !
◦Village : # Kiri No Kuni - Description Physique : # C'est dans l'allégorie la plus marginale que les êtres déchus, poussait à la déchéance et les abîmes ténébreuses de la tourmente sont enclins, inconsciemment, à reflétait par leur vestimentaire une par de leur psychisme souiller. Ainsi dont, la vestimentaire de se loup, marquer par les stigmates indélébiles des batailles, était le reflet de la brutalité guerrière qui accompagne le destins tragique des shinobis. Son corps était balafré de mille et une torture, ses yeux vairon bleu et violet était incroyablement magnifique, hélas, son regard était mort, vide de sens, un néant absolu ou l'on pouvait plongé et se perdre dans un rêve chimérique envoutant. Il était grand, un mètre quatre-vingt, sa musculature était conséquente, bien qu'elle était discrète. Son teint de peau était pale, bien qu'il était fin et gracieux, la mort avait entamé un balle, une danse séculaire qui laissait paraître une odeur macabre tout au tour du jeune homme. Ses cheveux longs, d'un noir anthracite au reflet argenté, était en parfaite cohérence avec le long ensemble noir ébène qu'il aimait aborder. Une croix blanche barrer, ses lèvres et sa bouche, comme une mise en garde « Je ne dirais rien, je ne parlerais pas.» Une âme balafré, dans un corps aux stigmates indélébiles, un corps souiller par le mal, un corps entre vie et trépas, à la fois magnifique et terrifiant.
- Description Morale : # La discrétion de cet homme prime sur tout, Yume est bel et bien le stéréotype parfait du fanatique, ses proches le craignais tel un virus s'immisçant doucement, lentement, mais prêt à frapper au moment opportun, ils avaient peur, ils s'imaginaient avoir peur, la peur d'une fantasmagorie du monstre qu'il est. D'un naturel paranoïaque, il ne cesse d'être sur ses gardes, ayant des pensées qui, quelques fois, peuvent être traduite par de la misanthropie, le jeune homme n'a jamais eu d'amis. Son comportement ressemble à celui d'un loup, beau, solitaire, portant les cicatrices des batailles passées. Un animal à la fois perceptible, mais inaccessible. Etant un héritier du règne du quatrième Mizukage, le jeune homme ne sait que trop bien ce que signifie le mot souffrance, les entraînements qu'il eut subit sont en partie responsable de l'être qu'il est aujourd'hui. On pourrait donc penser, qu'il déteste son village, et bien non. Ayant vécu toute sa vie de cette façon, il est naturel pour Yume, de souffrir, de tuer, et d'offrir sa vie pour son village. Gardant son sang froid en toute circonstance, il est un redoutable Shinobis. ses maîtres mots étant, anticipation, réflexion, un amalgame qui, chez lui, est devenu un véritable sens inné. Le temps aura donc altéré le jeune homme, comme toute chose en ce monde, seul reste les mots...
# Histoire : - Marche, marche, marche ... Ne t'arrête surtout pas, continue ta route, survie, et cherche, inlassablement, le chemin, qui te conduira au bonheur. A mon réveil, j'étais en proie à des aliénations. J'avais rêvé d'un joli et gracieux papillon, un papillon qui voltait saillement, un papillon tout heureux de vivre qui n'agissait que selon sont désir, mais, lorsque je me réveillais. Je ne savais plus si, c'était moi, qui avait rêvé du papillon ou le papillon qui avait rêvé de moi. Pourtant, entre un petit garçon et un papillon, il y a une énorme différence ... Mon père et ma mère n'était plus la, ou du moins, ils étaient mort. Bien des voix scanderont que le chagrin est une gaminerie, une insolence, une tromperie et la preuve d'une foi en Kiri No Kuni vacillante. On fait face et le destin se charge de tout. Point. On le répète assez.. Mais la souffrance est là et le coeur ne se ment pas. Le gouffre, quand tout s'arrête. Le coeur, notre pire ennemi à ce moment-là. Je me sentais troué ou au contraire terriblement encombré. Encombré de paroles incomprises, de fautes regrettées. Le deuil de l'amour. Les Shinobis n'en sont pas épargnés, et encore moins les enfants. Rien n'est plus perturbant que cette période de convalescence et pourtant, elle est tellement minimisée par l'entourage des Shinobis. Rien n'est pire qu'un coeur qui se vide des personnes qui le faisaient battre. Les larmes, ont été mes meilleures amies à ce moment-là. Elles caressaient mes joues, silencieuses et apaisantes, lorsque plus personne ne semblait me comprendre. J'étais seul, personne pour m'épauler et fut, fatalement, en proie à la vengeance. J'étais facilement influençable à cette époque ou j'étais en perdissions, et poussé par des voix, je décidais de rentrer dans l'impitoyable monde ninja. A l'époque, Kiri no Kuni était connue sous le nom du Village du Brouillard Sanglant. Pour accéder au titre de Genin, les shinobis devaient s'entretuer par groupe de deux, afin de sélectionner les plus puissants, et les plus impitoyables. As-tu déjà resentis sur ton corps, le regard d'un enfant couvert de sang, en passe de mourir, te suppliant avec des yeux larmoyant, de l'aide ? Mes vêtements et ma bouche couverte de sangs, des cadavres d'enfants par dizaine. Je me souviens encore du jour de l'examen, l'odeur nauséabonde que tous ses corps inerte dégageait me donnait l'envie de vomir. J'avais froid, j'avais peur, j'avais envie de pleurer, mais un shinobis ne pleure pas. On me félicitait d'avoir obtenu mon diplôme, me tapotant la tête, on me disait que j'étais un bon garçon. Le gout du sang qui traversait ma bouche me répugnait, pourtant, je me forçais à l'ingurgiter me disant qu'avec le temps, j'oublierais, qu'avec le temps, je m'habituerais. Un jour, j'avais rêvé d'un joli et gracieux papillon, un papillon qui voltait saillement, un papillon tout heureux de vivre qui n'agissait que selon sont désir, mais, lorsque je me réveillais. Je ne savais plus si, c'était moi, qui avait rêvé du papillon ou le papillon qui avait rêvé de moi. Aujourd'hui, j'en était convaincu, c'était bel et bien le papillon qui avait rêvé de moi, un monde comme celui-ci ne peut exister. Je ne suis que la chimère du rêve d'un joli papillon ...
- Le fleuve du temps, traverser par la seine qui charriait ses flots majestueux continuer sa route. L'enfant que j'étais autre fois n'était plus, ma personnalité avait changé aux fils des missions. Tout comme mon corps, qui, à présent, été marquait à jamais de cicatrice. Durant ses années qui défilèrent, lors d'une missions, je m'étais fait capturer. Je ne serais dire combien de temps mon calvaire avait duré. C'était un suplice, et j'espérais, chaque jour, que mon temps sur cette Terre prenne fin. Mon corps avait été charcuter, traiter comme une vulgaire bête, j'étais mort physiquement. En plaçant sans art notre confiance, en imaginant nos semblables meilleurs qu'ils ne sont, nous sommes conduits, de déception en désillusion, à ne plus nous fier à personne, et à haïr le genre humain. Bien que les multiples afflictions avaient réduit mon corps à néant, aucune information concernant mon village n'avait été dites, je pensais mourir en emportant mes secret à tout jamais, je m'étais résigné. Alors que la nuit avait détrôner les éclats étiolés de l'aube, des sons strident s'entendait, étant physiquement et mentalement au bord du gouffre, je n'y prêtais pas attention, et décidais de m'endormir. Je ne me rapelle plus comment, ni pourquoi, mais lorsque j'ouvris les yeux, je n'étais plus captive, un paysage verdâtre s'offrait à moi, des bandages recouvrait mon corps, les premiers soin m'avait été apporté. C'est là, que j'aperçus cette femme, souriante, aux cheveux bruns. Je la regardais, de mes yeux shismétiques, et mon coeur se serait très fort dans ma poitrine, était-ce elle et ses compagnons qui m'avaient sauver, je ne savais quoi lui dire, et mon coeur, si compressé, rendait tout le sang qu'il abritait comme l'eau sortant d'une éponge broyée. J'aurais voulu, un regard, un toucher, mais c'était se tué que d'espérer autant, alors que je me rendormis, fermant les yeux lentement sur cette femme que je regardais, j'aurais du, lui criais je t'aime ... Lors de mon réveil, j'étais dans un hôpital du village de Kiri No Kuni, mes blessures avait été soignée, mais mon corps quant à lui, été marquait à jamais, d'ailleurs, mon esprit était confus, le temps que j'avais passé en captivité altérée ma psychologie, je commençais à nourrir de funeste pensée misanthrope. De retour chez moi, j'apprenais que le règne du quatrième était terminé depuis longtemps, une nouvelle kage avait pris sa place, dirigeant d'une toute autre façons la politique militaire du village, le temps de la brume sanglante était révolu, j'étais donc resté aux mains de l'ennemie aussi longtemps ? Le monde avait évolué, ainsi dont, j'étais une relique du passé, espérant qu'un tout nouveau tracé ce dessinerait sur cette immense peinture, une nouvelle perspective, une nouvelle scène.
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| | | Mugen Yume
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| | Mugen Yume
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| | Mugen Yume
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| Sujet: Re: .:: Blood Moon Rising ::. Jeu 7 Juil - 14:01 | | Genin
Fûton - Suna bokori
Ce jutsu est spécial, puisqu'il ne consiste pas à attaquer, ni à se défendre. En fait, le ninja concentre du chakra dans sa bouche et souffle un vent assez puissant. Cependant, il vise le sol et soulève ainsi la poussière présente pour créer un nuage de fumée assez épais pour fuir ou pour laisser le temps de se cacher.
Fuuton, Fuusajin
Cette technique permet à l'utilisateur de créer un dôme de vent qui tourne à une vitesse constante autour de l'utilisateur, le protégeant de toute attaque directe comme le Taïjutsu ou des armes telles que des Kunaïs et des Shurikens. Cette technique ne peut pas résister face à un Ninjutsu de niveau moyen ou d'affinité la surpassant.
Chuunin
Katon Hibashiri
Un cercle de feu entoure l’utilisateur et tournoie autour de lui en montant vers sa tête. Une fois sa tête dépassée, le cercle prend une position verticale et fonce sur la cible. Cette technique, bien qu'étant pas très puissante, possède une grande capacité de vitesse.
Fûton - Kaze kiri
Le ninja se sert d'un objet ou de ses deux mains pour réaliser ce jutsu. Lorsqu'il est en difficulté et qu'un jutsu fonce sur lui, le shinobi compose la série de signes de cette technique et en donnant deux coups en diagonale venant d'un côté différent, créer un vent puissant autour de lui qui pare l'attaque. Ce ninjutsu est comparable au Fuusajin, dans la mesure ou le Kaze kiri peut lui bloquer les ninjutsus.
Fuuton, Tatsu no Ooshigoto
Cette techniquer permet à l'utilisateur de créer une puissante tornade initialemment créée dans les cieux et qui s'abat sur l'adversaire, l'emprisonnant. L'ennemi visé subira de nombreuses coupures peut être projeté sur plusieurs mètres.
Katon Haisekishou
Le ninja gonfle ses poumons et expulse de sa bouche un nuage de cendres tout autour de l’adversaire. L’utilisateur claque alors des dents afin d’embraser les cendres et ainsi provoquer une explosion assez importante. C'est une technique souvent utilisée pour faire diversion, le but recherché par son utilisation n'est pas de tuer l'adversaire.
Katon Housenka No Jutsu
L’utilisateur inspire afin de gonfler ses poumons et recrache plusieurs petites boules de feu en forme de pétales de fleur. Cette technique a pour but de répandre une attaque dans un périmètre assez vaste. |
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| | Mugen Yume
Nombre de Messages : 12 Date d'inscription : 29/06/2011
| Sujet: Re: .:: Blood Moon Rising ::. Jeu 7 Juil - 14:45 | | [En cours} 霧隠れ•の•里 - Les secondes s'égrener dans leur sempiternel bruit monotone, le jeune homme c'était encore perdu dans ses songes, songe disgracieuse narrant les prémices d'un papillon libre, libre et heureux de vivre, le paradoxe de la personne qu'il était. Le regard encore embué par son sommeil, il se levait paresseusement. Il laisse ses doigts fins plonger dans sa chevelure couleur d'encre et d'argent pour ôter de son regard d'albâtre les mèches sombres gênant sa vue. Il se redresse lentement, encore à demi plongé dans ses songes éphémères. Se recoiffant de la main, il laisse échapper un baillement sonore avant de faire craquer son cou fin. Il s'étire lentement, sortant de son sommeil bien trop prolongé. Une longue journée l'attendait, aujourd'hui. Marchant jusqu'à sa salle de bain, allumant le robinet, il s'éclaboussait le visage vigoureusement de manière à être plus enclin au réveil. D'un pas maladroit, il se hâta à s'habiller et se mit en route à la tour du Mizukage. Ouvrant la porte de son domaine, ses yeux veron bleu et violet se plisser sous le joug du soleil qui éclairait de mille feus le village de Kiri No Kuni. Il marchait, machinalement, la missions qui l'attendait lui était inconnue, peu importe, l'ennuie étant encore pire que l'inconnue, il se complaisait à l'idée de s'occuper d'une tâche qui aiderait le village qu'il chérissait temps. Tendis que les villageois ouvraient magasins et autres commerces paisiblement, il continuait sa route. Pour préserver cette atmosphère chimérique de paix, des Hommes devait agir dans l'ombre à la méconnaissance de tous. Mugen Yume était l'un deux. Un être de némésis arraché au gouffre hurlant des ténèbres, un éclat de noirceur, une incarnation de l'obscurité. Un bien sombre individu ... Arrivait à la tour du Mizukage, il s'arrêta un instant, laissant la légère brise du vent caressait sa peau comme une préparation à la clarté, et débuta sa marche en directions du maitre des lieux.
- Arrivé dans le bureaux du Mizukage, une atmosphère lourde entourait la pièce, une atmosphère lugubre. Ne disant pas un mot, le jeunot était en attente des indications de son kage qui continuaient sa paperasse habituel. Ce silence religieux ne dura que guère longtemps, un homme vint troubler la quiétude qui régnait, un homme aux cheveux bleu dont la froideur polaire qui habitait ses pupilles semblait déferler dans les veines de Yume lorsqu'il essaya de détailler son regard pour y instiller une brise glacée de ses unique coloris. Laissant sa paperasse de coter le quatrième se leva, donnant au nouvel arrivant un document. Se rasseyant sur sa chaise, il utilisait sa main comme accoudoirs et débutait une narration sur les événements qui allaient suivre.
.ø°| Tashira, Yume. Je vous ai choisis. Votre ordre de mission est d'infiltrer le village d'Iwa No Kuni pour y récupérer des informations sur les projets qu'ils ont à venir. En effet, nous avons ressue d'un informateur un rapport qui supposerait que ce village aurait pour projets l'invasion de notre pays. Ses dirent reste donc à vérifier. Tashira, tu seras le chef d'équipe, Yume t'accompagnera. Naturellement, la discrétion est de mise, je ne tolérais pas l'éhec. Allez-y ! |°ø. Les tirades du Kage prenant fin, Tashira, l'homme aux regards polaires donna l'ordre à Yume de prendre avec lui le stricte nécessaire, le point de rendez-vous étant les portes du village. Les deux shinobis devait s'y rejoindre à l'heure du déjeuner. Rentrant en vitesse dans sa demeure, il se tourna vers le miroir servant de porte coulissante à sa garde robe et observa d'un oeil morne le terne reflet de lui-même qui apparaissait devant lui, sans guère se soucier outre-mesure de son aspect et de l'opinion des autres quant à ce qu'ils pensaient de lui en le voyant pour la première fois. Ses yeux étaient légèrement ternis en raison de l'absence totale d'une certaine lueur. Ce que l'on nomme étincelle de vie n'habitait plus son regard depuis maintenant plusieurs jours... Passant une dernière fois la main dans ses cheveux pour caler quelques mèches de jais derrière son oreille en un geste anodin, il prit la direction de sa cuisine pour y prendre quelque provision pour le chemin . Tout y était. Arrivant aux points de rendez-vous, ils se mirent en route.
Par-delà les horizons, quelque part dans les entrailles de ce monde maculé de stigmates faits de la main de l'homme... On dit que la pluie lave tout... Les larmes, les pêchés... Et même le sang. Le rouge du sang, qui devient le rouge de l'aube. Un hymne aux vivants utopistes des plus poétiques, certes, mais bien vide de sens... La pluie ne parvient guère qu'à rendre le jeunot plus mélancolique, plus encore qu'à l'accoutumée. Sa vue se perd dans ce ciel abyssal, derrière lequel se dissimulent les nimbus sournois, amenant averse et affliction. Ainsi, leurs pas foulant le chemin de terre qui les guidaient lentement à leurs destinations prévue, Yume ne pouvait qu'afficher incontrôlablement une moue encore plus déplorable qu'à l'accoutumée, aussi inexpressive qu'elle soit. Il devinait sans mal qu'à cet instant précis, tout son visage reflétait ostensiblement les pensées sinistres qui l'obscurcissait l'âme sans qu'il ne puisse y faire quoi que ce soit. La tragique pénombre céleste commençait à s'installer sur la ligne d'horizon, gagnant peu à peu du terrain et ne manquant pas de se rapprocher de nous, comme un grondement lointain roulant sur les territoires terrestres pour venir nous hurler sa fureur déchaînée. Mettant de côté ces biens sombres pensées, il ne pûs que remarquer, s'extrayant de sa torpeur, qu'il atteignait à présent l'achèvement de sa progression au rythme décontracté. Tashira s'arrêta, Yume fit de même.
.ø°| Yume, nous camperons ici, ce soir. Demain, nous reprendrons la route. |°ø. Ainsi soit-il. |
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| | Mugen Yume
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