Yami ... une nation émergeant, le résultat de l'union de quatre peuples : Les Indigènes de Su, les guerriers de Ha, les artilleurs et mécaniciens de Koujou. J'étais fière de ce que j'avais fait pour le pays du fer, j'étais plutôt fière de l’œuvre que j'avais accomplie maintenant j'étais à la tête d'un futur empire avec seul objectif, écraser les shinobi et leurs idéaux dorés.

C'est vrai, je hais les ninjas, même si j'en ai fait partie pendant quinze longue années, mais j'avais renié toutes les techniques que j'avais apprise, j'avais moi-même fait le choix de renier tous liens avec eux en suivant les saints-écris de Tetsu, je voulais restaurer leurs ancienne gloire mais tous ça je ne peux le faire sans éliminer le règne shinobi et ce pacte que j'ai conclut avec l'Akatsuki va m'y aider grandement. Cette guerre était un tournant dans mon plan, ainsi les populations seront faible, je pourrais frapper un grand coup dans cette fourmilière qui est les shinobi.

Actuellement, j'étais entrain de résoudre des formalité, des missions que demandaient les particuliers, de l'assassinat, de l'espionnage, ou encore des mission basique pour entraîner la jeune génération à se battre, pour qu'ils soient de valeureux guerriers. Je recevais toujours les guerriers qui venaient me demander des missions, je ne voulais pas instaurer un conseil pour Yami, pour éviter tous coups d'état, c'est connu qu'un conseil dont les avis diffèrent de celui du Kage veux vite prendre le dessus sur celui-ci. D'ailleurs, en raison de la guerre qui se préparait, je prenais que les avis de missions les plus importants pour laisser le temps au plus jeune de s'entraîner car je comptais bien les mettre au défis d'aller aux premières lignes histoire de me prouver leur valeur.

Aujourd'hui le moment était venu, le moment était venu de me venger d'une vieille amie, une amie à l'égo démesuré qui m'avait humilié jadis. Une fille qui fut ma coéquipière et qui par excès de gentillesse m'épargna, j'aurais préféré mourir à se moment là, je n'étais plus digne de Kirigakure. Enfin bref, aujourd'hui était le jour où je devais lui faire payer son acte, j'étais devenue assez puissante pour la défaire !

Il fallait que je parte pour le village caché des nuages, car c'était là qu'elle avait élu domicile enfin d'après les assassins du fer. Je partis me préparer pour le voyage que j'allais entreprendre, Kaminari no Kuni n'était pas la porte d'à côté, il et j'allais voyager seule, j'avais la prétention de ne pas prendre d'escorte, je ne suis pas comme ces Kage shinobi qui doivent utiliser des chiens de gardes pour se rassurer ... moi personnellement j'en avais pas besoin. Je partis alors enfiler ma tenue de "combat", qui était composé d'une armure relativement lourde couvrant mes formes, d'une longue cape noir à capuche, j'attachais le bandeau au kanji des ténèbres à mon front pour exposer à tous ma nation. je pris au passage des armes ainsi que mon bâton mécanique que Maître Creatayo m'a gentiment offert pour exploiter toutes mes capacité en jutsu mécanique. Ainsi je me dirigeait vers le métro pour me rendre dans le village des guerriers, un endroit situé plus près de la frontière. Je pris la ligne n°5 "Yamigakure-Hagakure".

Une fois arrivé dans le sombre monastère, je me dirigeais vers la sortie du village, je voyais comme-ci il faisait jour mais ce n'était pas le cas, mes yeux étaient habitués à cette obscurité persistante, mais quand ma rétine sera exposée aux agressifs rayons de l'astre de lumière, cela sera une autre paire de manche, il me faudra quelques minutes pour que mes yeux se ré-adaptent à cette luminosité. Je sortis du village et comme prévu le soleil me brûla les yeux et je dus attendre, une minute pour pouvoir me mouvoir à nouveau. Après ce court laps de temps, je me remis en marche pour le Kumogakure no Satô, dévalant la montagne de Ha, je me moquait du froid, j'avais seul mon objectif en tête qui était d'en finir avec cette éternelle rancœur qui me rongeait depuis des années maintenant.

Une fois le Pays du Fer dépassé, j'entrais maintenant dans le Pays du Feu. Les ninjas qui faisaient leurs patrouille ne pouvaient pas me repérer, je n'avais aucun chakra qui circulait en moi, quand j'appris les cinq arts du fer, mon réseau de chakra fut entièrement détruit par l'énergie noire qui fut introduite dans mon corps par les soins de mon actuel bras, le Maître Mécanicien Ayoma Creatayo. Après trois longues heures de marches je passais aux abords de la cité des Feuilles : Konoha, je ne voulais pas passer à l'intérieur, je me ferais sans doute repérer.

...

Après six longs jours de marche, j'étais enfin parvenu au village caché de Kumogakure, je pouvais y entrer comme je voulais vu que nous sommes alliés, temporairement bien sur. D'après les infos que j'avais eu, la jeune femme devait s'entraîner sur le col d'Unraï, un lieu situé en hauteur, parfait pour les manipulateurs de la foudre qui, sont, rappelons-le nombreux ... d'ailleurs cette chère Tsubaki en faisait partie, elle maniait très bien le Raïton et ce depuis qu'elle était petite, mais bon, nous avons toutes deux, à l'heure actuelle trente-trois printemps, donc cela voudrait dire qu'elle aussi a évolué, tout comme moi.

Je gravis la Chaîne de Montagne de Kaminari, avec du mal certes mais j'y parvins, de la j'étais arrivée sur un plateau avec de nombreux impacts de foudres, il y avait des trous quasiment partout. Sur ce plateau on pouvait encore voir des arbres complètement trouée par on ne sait quelle forces, non loin il y avait une gourde qui devait être remplie d'eau. Non loin, il y avait une femme de dos qui se faisais les poings sur un rondins de bois. J'émis un ricanement, en effet, je cherchais pas à me dissimuler tout ce que je voulais c'était la tuer, sans aucune fioritures dans les règles de l'art. J'ouvris ma bouche et je dis alors:

Moi:- Alors tu es une Kumojin maintenant, qui aurais-cru cela possible, toi qui aimait tant ton village, n'est-ce pas Tsubaki-chan ?

Je fis une petite pause, je retirai ma capuche qui découvrit mon visage ainsi que mes longs cheveux noirs qui se mirent aussitôt à voleter au grès du vent. Je repris haleine et je redis toujours avec ce sourire aux limites du sadique :

Moi:- Tu te souviens de moi non ? Je suis Meïlin Yunokawa, tu sais ta coéquipière ! Je ne viens pas pour bavarder mais pour t'éliminer, tu es devenu quelqu'un de très gênant surtout pour le bon avancement de cette guerre, tu sais trop de choses ! Donc c'est moi qui aura l'honneur de te défaire tu es prête camarades ? En Garde !

Je lançai mon bâton en l'air et avec quelque signes de mains il se transforma en deux katana, du même style que ceux de Youso. Je sautais sur elle avec le sourire béant et je lui décocha plusieurs coups rapide ainsi qu'un coup de pied au niveau du plexus pour la déstabiliser. Au bout de ce duel, je frappa Tsubaki avec mon coude gauche au visage et avec l'autre bras je plantais mon arme au sol et avec le signe du tigre je dis alors :

Moi: -Essaye d'éviter ça "camarade ! Ha no Shokyû : Tsuchi ! [Lame Élémentaire : Terre]

Une plusieurs piques de terres s'érigèrent vers Tsubaki pour la planter, il la suivèrent selon ses mouvements pour mieux l'avoir. Et pour parer à sa technique phare [avec quelque seconde de décalage], je pris la seconde épée et je la tendis vers elle et je dis toujours avec ce sourire ornant ma face:

Moi: -Ha no Shokyû: Kaminari ! [Lame Élémentaire : Foudre]

De ma lave un grand courant d'air tranchant se dirigea vers la femme que je haïssais plus que tout au monde. J'étais heureuse de ce combat, j'étais même en plein extase ! Le pouvoir de la vengeance procurait un doux sentiment, une euphorie incontrôlable.

La guerre, oui cette chose immonde qui balayait des millier de vie au dépend de vulgaire conflits entre village. Ce coup-ci c'était différent des autres guerres enfin pour moi, car je devais affronter mon ancienne nation, je ne pouvais pas fuir le combat, je me devais, pour l'honneur de Kumogakure aller sur le terrain et repousser l'ennemi, avec un pincement au cœur certes ...

Le temps était toujours autant clément par ici, les rayons du soleil réchauffaient même les hauteurs de Kumo faisant fondre quelque peu les couches de neige de ceux-ci. Moi, j'avançais dans les hautes rues du village, j'aimais marcher dans la foule, me sentir humaine, des fois j'aimerais bien lâcher mon boulot de kunoichi mais non je ne peux pas, de toute façon je ne sais faire que ça, je me suis jamais intéressé à autre chose dans ma vie qu'au ninjutsu. Aujourd'hui, par cette belle journée j'avais décidé de m'entraîner un peu au ninjutsu, cette capacité me faisait cruellement défaut compte tenu que je maîtrise que des techniques de taijutsu ... il fallait que je l'exerce plus sur mon Raïton pour parfaire mes combinaison Nintaîjutsu.

Mon lieu de prédilection était sur les plateaux du col d'Unraï, dans cette zone aux orages fréquents, je pourrais mieux m'entraîner à cette affinité et utiliser les éclairs pour renforcer mon armure de foudre qui m'a été léguée par mon sensei. Bref c'est avec plein de pâtisseries dans les mains que j'entrepris le voyage pour aller dans ces montagnes plutôt escarpée. Pour l'habillement, j'avais garder ma tenue de Jônin des Nuages, simple discrète idéale pour les entraînement et en plus j'avais la flemme de me changer. C'est avec un certain enthousiasme et un pas à cadence rapide que je partis du village pour rejoindre ce fameux endroit.

Après une demie-heure de marche et une heure d'escalade, je parvins à mon terrain d'entraînement qui était connu de tous les ninjas peuplant ce magnifique village qu'était celui des village. L'air frais et pur qui y régnait était parfait pour un entraînement physique. Je déposai mon sac vers les cinq rondin de bois usés, j'y avais déposé une gourde d'eau ainsi que mon déjeuné car je comptais y rester pendant un bon moment, peut-être même plusieurs jours. Je bénéficiais de quelques jours de repos pour me préparer à la guerre qui approchait, je me devais d'avoir une maîtrise parfaite en mes capacité, en guerre, l'erreur n'était pas permise pour le village et tout simplement pour ma vie. Je respirais un grand coup et pour m'échauffer, je donnais des coups de poings sans chakra dedans sur les rondins qui s’effritèrent à chaque coup donné ...

Après mon échauffement, je décidais de passer au vif du sujet, je voulais travailler la précision du Raïton, en effet cette affinité est plutôt destructrice et très rapide mais bien imprécise, ainsi en utilisant simplement du chakra Foudre, je voulais toucher mes cible que j'avais disposé peu de temps après l'échauffement. Je fis juste le signe du tigre et je tendis ma main sur la première cible qui était sur un arbre. D'un appel de chakra, un petit éclair sortit de ma main et toucha la cible en nord, je recommençai l'opération jusqu'à ce que j'y arrive à gagner en précision.

Le soleil était plutôt haut dans le ciel, à son zénith je dirais, cela voulais dire que c'était l'heure de manger, je me mis sur un rocher et pris mon repas que j'avais préparer le matin, il y avait quelques sushi et un bol de riz et bien sûr ma traditionnelle boisson protéinée. Je mangeais ça en deux-deux et me remis vite fais à mon entraînement, maintenant, j'entamais la seconde partie de cette entraînement, c'était le contrôle du chakra, de la stabilité de la technique, car si on utilise un jutsu que qu'on arrive pas à contrôler cette capacité, et bien c'est simple la technique se retournera contre vous et vous serez plus blessé par votre propre attaque que votre adversaire et comme je l'ai dit, en guerre l'erreur n'est pas permise !

Mais bien sûr mon entraînement fut troublé, il y'avait une présence que je sentais plus bas, cette présence était dénuée de chakra et ressemblais plus à un civil qu'à un ennemi. La présence se rapprochait, je la ressentais plus forte et à limite qu'elle se rapprochait je sentais une énergie que je ne connaissais pas, elle semblait sinistre... je restais tout de même sur mes gardes. Quand celle-ci fut derrière moi, je me retournai et je vis une femme avec longue cape noir avec une capuche, elle semblait sourire, bizarrement, cette personne me rappelait quelqu'un de familier mais je n'arrivais pas à me souvenir de cette personne. La femme se mit à ricaner et me dis d'une voix étrangement douce, voir mielleuse :

???: - Alors tu es une Kumojin maintenant, qui aurais-cru cela possible, toi qui aimait tant ton village, n'est-ce pas Tsubaki-chan ?

Alors cette femme me connaissait ? Et comment sais-t-elle que je suis une nukenin, mis à part les Kirjin, et le Raïkage, il n'y avait qu'eux qui étaient au courant. Elle marqua une pause et repris alors de plus belle :


Meïlin :- Tu te souviens de moi non ? Je suis Meïlin Yunokawa, tu sais ta coéquipière ! Je ne viens pas pour bavarder mais pour t'éliminer, tu es devenu quelqu'un de très gênant surtout pour le bon avancement de cette guerre, tu sais trop de choses ! Donc c'est moi qui aura l'honneur de te défaire tu es prête camarades ? En Garde !

Meïlin ! Oui c'était mon ancienne coéquipière du temps où je vivais dans le village caché du Brouillard Sanglant, elle faisait partie de la famille maintenant perdue des Yunokawa, de valeureux ninja maniant les cinq sens humain. À l'époque j'étais plus forte qu'elle, j'avais réussi à la battre lors de l'examen des Chuunin de Kiri, mais je pense qu'avec le temps elle aussi à du évoluer et peut-être même elle doit être plus forte que moi. D'après ses dires, elle voulait m'éliminer car j'en savais de trop, apparemment, j'ai été suivi lors de ma discussion avec la Mizukage. Je lui fis un sourire et je lui dit:

Moi:- Contente de te revoir Mei-chan. Tu veux me tuer ? Et bien vas-y !!

Sans réponse elle lança le bâton qu'elle avait dans dos et il se transforma en deux longs katana, quant à moi, je profitait de ce petit laps de temps pour prendre un Kunai et y insuffler du chakra Raïton, de telle sorte que les éclairs monte le long du métal et jaillissent sous forme d’éclair faisant peu à peu une épée de moyenne longueur, assez pour pouvoir parer ses coups de sabre. Une fois ceux-ci pris en main elle se jeta sur moi en me donnant des coups de sabre rapide, ce que je parais avec mon kunai-sabre. Nos sabres s’entrecroisaient en faisant des étincelles et profitant de ce petit duel, elle me donna un coup de pied dans mon plexus ... ce que j'évitais en électrifiant ma jambe. Elle me donna un coup de coude que je parai avec ma main libre et suite à cette action, elle planta son katana dans le sol et fit un sourire sadique en me disant :

Meïlin: -Essaye d'éviter ça "camarade" ! Ha no Shokyû : Tsuchi ! [Lame Élémentaire : Terre]

La terre se retourna sous mes pieds et pleins de lances faite en terre s’élevèrent pour me plante, sans faire aucun mudras, mon armure de foudre s'activa et détruisit tous les piques de terre mais bien sûr ce fut sans compter sur la ruse de ma chère coéquipière qui tendit son autre lame vers moi et toujours avec ce sourire sadique me dit alors:

Meïlin:Moi: -Ha no Shokyû: Kaze ! [Lame Élémentaire : Vent]

Je sentis un léger courant d'air qui allait vers Meïlin et puis soudain un grand courant d'air tranchant vint sur moi, ne voyant pas d'où il venait je ne fis trancher au bras, sur le tronc, du sang coulait de ma bouche et des bras, cette femme savait tout de moi et savait même comment réduire à néant mon armure, de foudre. Mais je savais comment la réactiver, Eï-sensei m'avait dit qu'il fallait mettre encore plus de chakra dedans au risque d'être vidé, de toute faon cette technique n'est pas accessible à ceux qu'on une réserve restreinte d'énergie spirituelle... je fis des mudras et je dis alors :

Moi: -Bien joué Meï, je vois que tu sais tout de moi, mais tu ne connais pas toutes mes compétences ! Raïton no Yoroï : niveau II !

L'armure se réactiva, elle consommait encore plus de chakra, mes cheveux se mirent légèrement en épis, je fis des mudras à vive allure et avec un grand sourire je dis :

Moi: -Mange-toi ça ! Raïton Raïtonigu Torneedo !

Je mis joignis mes mains et en les desserrant un gigantesque éclair pour viser cette chère Meïlin, comme elle m'avait une démonstration de son pouvoir de couper les éléments ( lors de l'examen des chuunin), je comptais utiliser cela à mon avantage, avec toute ma vitesse je lui donnai coup de pied au niveau des cheville pour la faire tomber (si réussit) et pendant qu'elle est en l'air lui décochait un coup de pied relativement violent dans le ventre pour la projeter contre le mur. En effet, avec le niveau au dessus de l'armure de foudre, mes réflexes étaient très aiguisé et j'arrivais à me déplacer très vite si bien que qu'on ne me voyait plus, mais bien sûr comme toutes techniques de haut niveau, celle-ci consommait énormément de chakra, je ne pouvais pas la maintenir très longtemps à ce niveau donc il fallait obligatoirement que j'abaisse la quantité de chakra et me limiter à mon taijutsu simple.

Suite à mon enchaînement de coup, je sautai en l'air (lol) en faisant des mudras et de ma jambe droit, du chakra s'en échappa, et sans prévenir je retombais en faisant un salto et en donnant un violent coup de pied sur la tête de mon ex-coéquipière je dis alors en retombant sur elle:

Moi: -Axe Kick ! [Coup de Pied Axial]

Je me reculai de quelques mètre et repris mon souffle, je rabaissai la quantité de chakra consommé pour redevir la simple armure de foudre que j'utilise presque tout le temps. Cela ne me ressemblais pas d'utiliser directement de telle techniques sans regarder ma jauge de chakra, mais là mon adversaire était Meïlin Yunokawa, une femme assez puissante, rusée et fourbe...

Le combat que j'attendais. Oui, ce combat entre cette garce de Tsubaki et moi, un combat qui risquait fortement d'être intéressant et rien que le fait de la voir saigner de ma main me faisait sourire, c'était une douce sensation d'euphorie ... de lui rendre la monnaie de sa pièce et lui monter à quel point la nation des ténèbres était puissante. Ah ! Ma chère ex-consœur, quel joie de t'écraser comme un vulgaire insecte que tu es !

C'est vrai, je suis plutôt sadique avec elle, mais le fait de m'avoir épargné à ce fichu examen était la pire humiliation qu'une kunoichi de mon rang pouvait subir ... je me souviens que cet acte qu'a commis cette bonne Tsubaki était plein de compassion pour passer outre la règle d'or de cet examen qui consistait tout simplement à tuer son adversaire mais la compassion durant cette ère n'était pas permise, elle était considéré comme faible et "lâche" chose que j'approuvais totalement et que j'approuve toujours ... j'en suis toujours au point de vue que le mode de gouvernement du Yondaïme Yagura était la bonne, elle aurait permis à ce petit village de s'élever au rang de nation la plus puissante de son époque ... mais bon ceci n'est que du passé maintenant Kiri n'est qu'une nation mollassonne dirigée par une Mizukage plus que faible : la sœur cadette de mon adversaire. Elle aussi sera la prochaine sur ma liste ! Je vais certainement profiter de la guerre pour l'écraser elle aussi.

J'en reviens à ce combat plus qu'intéressant, je trouvais qu'elle s'était améliorée surtout au niveau de son taïjutsu qui, à l'époque, laissait vraiment à désiré, finalement son séjour dans le Village de Kumo lui a réussi ... bien sûr en maîtresse des Yamijin, j'avais justement une parade pour ne pas me faire toucher par ces coups dévastateurs. Bref, suite à mon enchaînement de technique du Monastère Obscure de Ha son jutsu fétiche s'estompa pour la laisser quasiment sans défense apparente ... en voyant cela, elle se rendit vite compte que je savais tout d'elle, que je n'étais pas venue sans préparation:

Tsubaki: -Bien joué Meï, je vois que tu sais tout de moi, mais tu ne connais pas toutes mes compétences ! Raïton no Yoroï : niveau II !

Tient, elle parvint à reproduire son armure ... non c'était pas la même technique mon sixième sens d' "ex-ninja" s'agitait et je sentais qu'il y avait plus de chakra mis dans cette technique. Cela ne présageait vraiment rien de bon, car qui dit plus de chakra, dit plus de défense ou plus de pouvoir ... soit si elle veux gaspiller sa précieuse énergie spirituelle qu'elle le fasse cela me rendra la tâche beaucoup plus facile vu que moi j'avais, en moi cette énergie funeste à profusion. Son armure se réactiva et ses cheveux se mirent en épis, décidément cette bonne femme m'étonnera toujours autant. Aussitôt son jutsu à nouveau activé, elle une série de mudra pour contre-attaquer, je fis un joli sourire rempli de sadisme en mettant devant moi mon sabre droit ... alors elle allait tenter une attaque à distance ... parfait, je suis quelqu'un qui est très à l'aise en combat à distance. Elle me regarda et se mit à hurler comme à son habitude:

Tsubaki: -Mange-toi ça ! Raïton Raïtonigu Torneedo !

Le même sourire que tout à l'heure illumina mon visage aux allures sévères [pas entièrement faux] et de ses deux mains un grand arc électrique se dirigea sur moi à vive allure ... d'un geste fluide et rapide de coupai ce jolie filament électrique pour n'en laisser plus rien mais quand je tournais mon regard vers l'ancienne chef des Oi-nins de Kirigakure, elle n'était plus là ... merde ! j'étais tombé dans le panneau , cette vielle sorcière avait utiliser mon don de couper les éléments pour faire diversion pour mieux me toucher. Elle se mit aussitôt face à moi à une rapidité sans pareille et m'assena un coup de pied aux niveau du tibia qui toucha sa cible ... je trébuchai alors et ainsi, de fil en aiguille et elle me donna un violent coup de pied au niveau du ventre pour me projeter violemment contre la paroi rocheuse qui était derrière moi. Ma chut dans le mur avait fait une sacrée trace dans la masse rocheuse ... j'avais du sang qui coulait dans le dos et un peu le long des lèvres, cela faisait assez longtemps que je n'avais pas vu mon hémoglobine sortir ainsi ... j'avais tort de na pas trop la sous-estimer, elle n'était pas restée à son ancien niveau, elle avait elle, aussi évolué en une kunoichi plutôt forte.

Comme je le pensais, elle ne comptait pas me laisser de répit car elle disparut à nouveau pour me donner un nouveau coup de pied ... de celui-ci, émanait une aura bleue, il y avait tellement de chakra qu'il s'échappait à chaque coup qu'elle donnait. Jen'vais pas le choix, il fallait aussi que j'utilise une de mes plus fortes technique car dans cette posture, je ne pourrais certainement pas faire longs feux ... je tendis ma main en direction de Tsubaki qui retombait sur moi et je dis alors:

Moi: - Akuma no Tate. [Bouclier du démon]

Son pied s'écrasa contre ma main transformé en bouclier. D'un geste rapide de la main transformée je projeta mon ex-coéquipière en arrière ... apparemment, elle avait diminué le niveau de son armure vu qu'elle redevint presque à la normale, la quantité de chakra dépensé avait également diminuée, je le sentais. Avec un large sourire, je tendis ma main gauche qui n'était pas transformée et je dis alors en remettant ma main droite à la normale :

Moi - Kumonoito no Kamisorinoyouna.

De ma main gauche, un fil blanc sortit à grande vitesse, celui-ci était imprégné de chakra de type vent, parfaitement tranchant pour perforer tout en finesse ma chère camarade. De mon autre main je fis la même technique pour lui perforer le buste histoire qu'elle souffre comme il le faut et à chaque fois que mes fils se rétractèrent, il revinrent à la charge inlassablement ... et comme une sadique je rigolais et je dis à ma comparse :

Moi: -Admire la puissance de Yamigakure camarade ! Je me suis jamais autant amusée dans un combat ... montre moi comment tu as évolué, je veux voir tout ton pouvoir, mais surtout ne me déçois pas ! hahahaha !