Reyuki Fair
Nombre de Messages : 3 Date d'inscription : 11/09/2011
| Sujet: Wesh Wesh Maki :" Le Menu " Dim 11 Sep - 11:47 | | Boku wa Votre Nom & Prénom desu ! [image de votre personnage]Nom :Fair Prénom :Reyuki Âge :18 ans Sexe :MasculinVillage demandé :Yami ou Kiri si Ayoma ne veut pas de moi Affinité(s) choisie(s) : RaïtonGrade souhaité :Ben euh ... Connait pas les grades mais le plus haut possible =D Avez-vous lu les règles ?Techniques :Description physique : [10 lignes minimum] La description physique n’est pas une chose facile a faire , son regard sur sois est toujours subjectif , et déforme toujours la liberté . Mais , concrètement , je suis plutôt grand , j’ai les cheveux bleus , et un air très enfantin qui me permet de très facilement déjoué l’attention des ennemis , pour les frappés dans le dos , discrètement , et sans encombre . Mes yeux reflète mes intentions, mes lubies , et chacune de mes envies . Il semble crier aux autres des sentiments enfouis en moi, je leur fais mal, et je ne m’en excuse pas, je sais qu’en criant, il aime ça. Mon regard me trahit rarement, mais quand il le fait, son petit sourire en coin finit par s’effacer dans un terrain moins douteux, prit de peur et de fuite. Ma façon de tenir varie des missions qui me sont attribués, passant des tenues de corps droite et simple pour passer inaperçus, à ma tenue de combat étant bien plus chaloupé et sur de mes appuis. Mes habits était tout a fait étrange , allant des simples haut rayé a ma tenue de bourreaux que j’utilisais uniquement pour les personnes que je n’étais pas censé … posséder . Les expressions de mon visage change du tout au tout, tout comme mon caractère. Je passe de la gentillesse au sadisme, de la quiétude, à la paranoïa. Sur le bateau qu’est mon corps, ma conscience n’est que le matelot, mon esprit est le capitaine, et navigant dans les eaux troubles des terres désolées, la douleur sera ma pitié. Perdu, seul, et amputé, voilà comment est l’esprit de quelqu’un qui a vendu ses bras pour se payer de la nourriture, mais qui ne pouvait plus la consommer.
Description psychologique : [10 lignes minimum] Quand l’esprit décroche le droit de partir pour ne laisser place qu’au monstre d’humanité cacher derrière, il arrive des chose que aucun homme ne devrait voir, ne devrait savoir, et ne devrait faire ; mais l’humanité cacher dans cette esprit, n’avait rien a voir avec ces arbres rêveur que compose les autres, chaque rêve est tiré d’une racine, et monte telle la sève vers les branches pour créer des bourgeons, reflétant le rêve de l’esprit en question. Ce bourgeon, était tout simplement le reflet de son être … parfois blanc comme la neige, d’autre gris comme le tiraillement, rouge comme le sang … jaune comme la couleur de la peine physique, verte comme la pureté dépressive, bleu comme l’océan de la peine, et noir comme la fin de toute chose bonne en sois. Pour cette esprit, ce bourgeon censé être éternelle et tâcher de sang, était tout simplement tomber de l’arbre. Chutant dans le vide éternelle tel le cadavre d’un vivant, résigné a ne jamais tomber, mais fuyant la stabilité , dans les bas fond de l’obscurité , dans l’inexistence de toucher , l’inexistence d’arrivé , et le regret . Ce bourgeon fané , jamais il ne finirait de tomber , mais jamais il ne pourrait repoussé tant que le premier n’est pas terminé .
Mais le froid revenais toujours , tout comme l’hiver , la blancheur finissait toujours par revenir , aucun été n’est infinis , et la chaleur finira toujours par baisser , jusqu’au jour où elle ne pourra plus monter . Le désir d’éternel est souvent bien trop puissant , qu’il finit par en devenir éphémère et tel le papillon , né , vie , et meurt bien trop vite . Sans prélude , et sans intervention , l’esprit ne peux se relevé , et cette marche sur ce lac d’infinie , ne peux se terminé que par la noyade , ou l’envole , mais elle ne peux rester sur l’eau .
Folie du détail , incompétence de tout le reste . Je suis une partit , une petite partit , et le monde n’est absolument rien sans tout cela . Ces détails , ce lapin sauvage en moi , m’incite a rester blanc , et a garder l’éternel pour les autres , mon Œuvre devra être admiré par leur corps et vie , tandis que mon esprit , sera éphémère tel la beauté du papillon . Je ne suis pas seul , malheureusement , le saut ne peux être a plusieurs , la solitude est une chose omniprésente quand son esprit ne peux éclore . Et désormais , je ne serais plus .
Sautant la tête la première dans le vide, je ne voulais fuir ce gouffre, le fuir serais exacte a fuir ce que j’aime, admirant ce gouffre, il fallait plonger, malgré cette condamnation a la folie et a la solitude. Le regret serait là, mais pas le fond, et plongeant dans ce lac, vide d’eau, car son fond ne pouvait la contenir de par son inexistence, mais ce lac existait bien. Et c’est en plongeant sans contre partit, en son cœur, que je sentit mon but dans l’infinie. Attraper les choses ne sert a rien, mais les rattraper est mon but. Ce plongeon ralentissait, pour finalement se finir, dans le bas fond de mes rêves.
Histoire : [20 lignes minimum] Teste !! Un, deux !! Teste !! Ça marche ? On m’entend bien dans le fond ? Oui !! Alors tout va bien :3!! Bonjour tout le monde !! Je me présente !! NF, narrateur fou. Je suis charger de vous conter les aventures palpitantes et trépidantes du majestueux Reyuki ..... Faiiirrr !!! (ou Faire, on sait pas....) !! Autant dire que c’est pas un rigolo !! Enfin je dis ça, mais c’est qu'un nouveau … pas comme si c'était le Kage !! Je sais même pas qui c’est d’ailleurs … Reyuyu' a jamais voulu me les dire … Si ça se trouve … il y a cette fille avec les gros roploplo O_O !!! AÏEUH !!! Non pas taper Yu-san !! Pas taper T-T…
*Accouche Narrateur è___é*
Mais je suis pas enceinte !! Et puis d’abord je suis même pas une fille X3 !! AÏEUH !! Oui, oui, ça va j’ai comprit !!! Bon alors :
I Le commencement du malheur
Les professeurs de "monseigneur" Reyuki venaient de découvrir ses hématomes (ils s'accordaient avec sa couleur de cheveux u_u). Ils le signalèrent de suite au directeur. Puis les autorités compétentes l'on rapidement su. Quatre jours passèrent, quatre jours de jugement, la sentence tomba. Notre (super) héros allait être envoyer dans une nouvelle famille dans les alentours de Amegakure. Reyuki, séparé de son père qui est lui en prison, plongea dans une profonde dépression et se renferma de plus en plus sur lui-même ce qu'il lui vallu le surnom de "Master of Nirvana". Le lendemain, le jour même de ses 10 ans, il partit de sa famille d'accueil. Le jeune garçon regardait par la fenêtre quittait son village, sa région et enfin son pays. La pluie s'abattait sur la voiture durant le long du voyage, rendant la scène très morbide et désolée. Pas un arbre, une présence humaine ou animale voir vivante. Comme si le ciel avait copier l'état d'esprit de notre protagoniste préféré. Reyuyu' arriva à Kokawa (--" Mais qui à écrit ce nom ?) dans la soirée. La foudre avez rejoins la pluie dans la voûte céleste (la classe comme nom ?). Sa nouvelle famille était très riche, et on le voyait rien qu'à l'extérieur : une immense demeure, une portail en or pur. Aucun doute possible, c'était une haute famille dans la hiérarchie. Un bruit sourd se fit entendre, les grilles s’ouvraient lentement. Il entra dans la propriété et admirât sa superficie. Mais très vite, la portière s’ouvrit, un homme en smoking se tenait devant et l’accompagna jusqu’au portique de la maison. La porte était imposante, un bois massif, décoré par des feuilles d’or. Ses soupons se vérifièrent. La famille se tenait devant lui, tous étaient très bien habillé ainsi que coiffé. Notre Reyuki se sentit très inférieur fasse à eux, lui qui n’avait presque aucune éducation se retrouvait face à des gens qui en connaissait un rayon sur cette discipline. Le père et les deux fils lui serrèrent la main rapidement puis une petite bise aux deux femmes de la maison. S’en suit une découverte de la maison : une salle de bain par personne, une énorme salle à manger, je ne parle pas du salon et encore moins des couloirs interminab…
*Mais on s’en fout, on ne s’intéresse qu’à mon histoire, on s’en fout de ces bousseux !!!!*
Mais, monseigneur, il ne faut pas parler comme ça des gens. Ca m’étonne pas que t’es pas sociable u_u …. Nan j’ai rien dit de mal T_T
Après cette visite, monsieur le drogué, allât se coucher fatigué de cette dure journée. Trop de chamboulement dans sa vie et tout ça du jour au lendemain, c’est très mauvais pour tout être humain. Privé de son père et de sa mère, de ses amis, de ses proches, de son village et de son passé, il ne mit pas longtemps à devenir très dur et arrogant avec sa famille. Pourtant, elle faisait tout pour rendre sa vie plus facile : il reçut une éducation très correcte, il avait beaucoup d’amis, avait tout ce qu’il voulait, le moindre de ses désirs était exaucé. Mais rien ne le rendait heureux, au contraire plus ils étaient gentils avec lui, il devenait plus distant d’eux. Et sa vie durât comme ça pendant neuf longues années de luxe. Mais cette vie n’était au goût de Reyu' (T’es bizarre tout le monde en rêve >-<) il attendu d’avoir sa majorité pour quitter la maison et ce pays et retourner vers son pays et village natal. Neuf ans déjà, s’étaient écoulés depuis que notre héros a été séparé de ses habitudes et de sa famille. Il allait enfin les rencontrer pour lui s’était une grande nouvelle. Le lendemain, il partit sans dire un mot mais en laissant dont on ne saura jamais le contenu …. Enfin normalement =___=by Del's |
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