Comme l’eau qui coule tout le long du fleuve, nos cœurs à maintes reprises vont se remplir de haine et tomber dans l’obscurité. Mais tout comme l’eau qui finira par trouver l’océan, un jour, il guérira et sera à nouveau prêt pour recevoir la lumière.

Infiltrer Iwa n’avait pas été une tâche bien difficile, mais quitter le village avait demandé beaucoup de puissance et chakra. J’étais à présent assez loin du village pour me reposer, grâce à mon plus puissant jutsu, les shinobis de la roche avaient perdu bien trop de temps à se mettre à ma poursuite. Même les senseurs ne représentaient plus une menace pour moi, ma formation d’assassin m’avait appris à effacer mes traces, ou du moins, à les brouiller. Et j’avais donc décidé à m’arrêter dans cette taverne située dans un endroit quelconque du pays de la terre. Au milieu des montagnes de Tsuchi no Kuni, pour que les voyageurs comme moi puissent se reposer. L’établissement était assez peuplé, et les discussions fusaient d’un bout à l’autre de la salle. Missions, légendes, marchandises, les thèmes de discussions étaient bien variés. Quand j’eus franchi le seuil de la porte, un léger silence s’installa, ou du moins, un quasi-silence. Les yeux de la plus grande partie des figurants se trouvant sur les lieux, se levèrent pour inspecter le nouveau venu. Autrement dit, moi. Puis les conversations reprirent une-à-une, et les regards s’orientèrent vers leurs interlocuteurs. Je m’avançai jusqu’au balcon et demanda la spécialité de la maison. Je n’avais pas la moindre idée de ce que pouvait contenir cette boisson, mais en m’approchant du balcon j’avais entendu l’une des personnes se trouvant sur l’une des tables commenter « la spécialité de la maison ». Ne voulant pas trop montrer ne pas être un habitué de Tsuchi no Kuni, j’avais donc préféré tenter ma chance pour me fondre dans le décor. Le barman sortit deux bouteilles différentes mais sans aucune informations dessus et mélangea les deux boissons dans un même verre. Il glissa alors le verre en ma direction, que je portai aussitôt à ma bouche. Vraiment pas mauvais la boisson, assez fort mais pas trop. Assez sucré, mais encore une fois, pas trop. Une boisson bien sympathique pour aider les shinobis à se détendre et reprendre leurs forces. Tout en buvant mon verre, je me mis à écouter les conversations des autres personnes se trouvant dans la pièce. Pouvait-il y avoir encore plus d’info à récolter sur ma mission ?

Rien, pas la moindre référence au nouveau Tsuchikage. Probablement, il ne devait pas y avoir beaucoup de shinobi d’Iwa ici. La plupart ressemblait à des marchands ambulants ou des mercenaires. Je continuai à boire ma boisson tranquillement pendant une bonne demi-heure. Étant prêt à reprendre le chemin, et voyant qu’il n’y avait aucune raison de rester dans cet établissement, je décidai donc de prendre la route pour Suna. Je me levai et sorti une poignée de pièce de ma poche, je déposai cette argent sur le balcon et averti le barman qu’il pouvait garder le reste. Il me remercia et me souhaita un bon voyage. Je pris la direction de la porte pour quitter la taverne, quand un homme se mit en travers de mon chemin. Il posa sa main sur mon épaule pour m’interpeler.
-Tu me dis quelque chose toi. En plus tu es bizarre, je suis sûr de t’avoir déjà vu.
Sans répondre, je repoussai sa main et continuai de marche jusqu’à la sortie. Je n’avais pas de temps à perdre avec un alcoolique comme lui. Surtout si son intention était de se moquer de ma couleur de peau. Mais ça ne l’empêcha pas de continuer à parler.
-Hey ! Tu m’écoute le gars étrange. C’est à toi que je parle, toi qui possède cette couleur de peau si sombre…
J’étais déjà entrain de pousser la porte d’entrée, la salle était à présent à nouveau silencieuse. Tout le monde écoutait cette conversation, ou plutôt le monologue de cette ivrogne. Mais, il n’avait rien à m’offrir, je n’avais pas de temps à perdre avec lui.
-… Je me souviens, tu es celui qu’on nomme l’Assassin sombre ! Du groupe des Assassins Nomades.
*Mince, je ne pensais pas être reconnu ici. Mais bon, je n’ai pas de raison de…*
- Quesque tu fais la ? Pourquoi tu n’es pas avec le reste de ton groupe…
Ma main posée sur la poignée de la porte, déjà entre ouverte. Je n’avais plus qu’á poussé cette porte et sortir à l’extérieur pour rejoindre mon village. Le seul problème, cet ivrogne venait de dire quelque chose qui me donnai l’envie de rester et lui poser quelques questions. Le problème, c’est que je n’aime discuter. Je sortis un kunai d’un de mes sceaux, mais personne dans la salle ne fut capable de voir ça, pour eux je venais de le sortir d’une poche ou autre. Au même moment, les shinobis de la salle se révélèrent tous en sortant eux aussi une arme pour se préparer à toute éventualité. Au du moins, une partie des shinobis se trouvant dans la pièce. Mais une seule fraction de seconde me suffit pour me retrouver dans le dos de l’alcoolique, le Kunai sur la gorge. Et ça, sous les regards abasourdis des personnes présentes. Je chuchotai alors dans son oreille :
-Que sais-tu des Assassins Nomades ?

Mais certains cœurs ne retrouvent pas le chemin de la lumière, Laissant l’obscurité grandir, les englobant totalement, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le Néant.

L’ivrogne n’avait plus trop le choix, il allait cracher le morceau et me dire tout ce qu’il savait. Ou du moins, c’est ce qu’il aurait dû faire, ça aurait causé beaucoup moins de confusion. Il préféra mentionner la présence du soi-disant assassin le plus réputé du village caché de la roche. Comment pouvaient-ils avec leur assassin, quand celui-ci n’était définitivement point discret. Ne savait-il pas que le mot clé pour un assassin c’est la discrétion ? Et pour cause, la quasi-totalité du bar me montra du regard ce soi-disant pro. C’était presque ironique, mais que pouvions-nous espérer d’un village où le principal intérêt est la puissance du Ninjutsu ? Aucun des shinobis armés n’avaient osé bouger, mais ce soi-disant assassin avait décidé de jouer au héro. Assez amusé que cet idiot décide de jouer aux héros sans rien savoir de moi, je décidai de voir ce qu’il comptait faire. Il s’avança vers moi, d’un pas lent et déterminé. À mi-chemin, il utilisa l’une des techniques la plus répandu dans le monde shinobi : le Shunshin no jutsu, celle que je venais d’utiliser deux minutes plus tôt. Une envie de rire m’envahi, il ne faut jamais utiliser cette technique face à son adversaire ninja. Contre un non-ninja ou dans le dos d’un shinobi, d’accords. Mais en face d’un shinobi de même niveau, ou supérieur !? Sachant qu’il ne ferait rien tant que mon Kunai sera contre la gorge de ce vieil homme, je restai de marbre, observant la suite et me retenant de rire.
- Je suis l'assassin que tu recherches..., assassin... ou devrais-je dire Tatsumoyo Kenji du village caché de Suna…
*Comment… !?*
Mon envie de rire disparu aussitôt, c’était impensable qu’un membre d’Iwa puisse connaitre mon identité. J’avais toujours fait très attention de ne jamais laisser aucun lien entre l’assassin sombre des Assassins Nomades et Tatsumoyo Kenji de Sunagakure no Sato. Peu de personnes savaient que ceux deux personnages n’en formaient qu’un, c’est-à-dire moi ! Les hauts placés de Suna et les Assassins Nomades. Ce qui veut dire, qu’il en savait autant, voir même, plus que cet ivrogne. Et j’allais devoir lui arracher ses informations.
-Bien…
Sous sa menace de me tuer, si je ne libérais pas son grand-père et sous les rires idiots de ses compagnons, je décidai de faire ce qu’il demandait. Je tenais le Kunai dans ma main droite et mon coude droit s’appuyait sur le dos de l’ivrogne pour l’empêcher de bouger. Je lâchai mon arme et dans le même mouvement, j’activai mon dernier Fuuinjutsu se trouvant dans ma main droite. Une poignée de sanbons apparut entre mes doigts, que je glissai entre l’arme du shinobi d’Iwa et ma gorge. J’appliquai alors une force constante sur le makibishi, pour qu’il ne puisse pas s’approcher de mon cou, et une autre sur mon coude pour bousculer l’ivrogne et pouvoir me libérer. Tout en me retournant vers mon interlocuteur, et en bondissant en arrière, j’attrapai de ma main gauche le Kunai, qui se dirigeai inévitablement vers le sol ; trajectoire dictée par les lois de la physique. Bien sûr, ce mouvement fut réalisé en moins d’une seconde. En parlant de secondes, lors de la suivante, tous les autres shinobis de la pièce tombèrent au sol et ma main droite était à nouveau vide.
-Deux choses « assassin d’Iwa ». La première c’est que je ne respecte que deux types d’assassins : ceux venant de Kiri… Et ceux formé par eux.
*Ce qui est mon cas.*
-Deuxièmement, pour savoir qui je suis, cela veut dire que tu as des informations sur les Assassins Nomades. Et tu vas me les donner, ou je vais te tuer.
Sans jamais perdre le shinobi des yeux, je balançai mon Kunai dans ma main droite, avant d’activer les sanbons de mon autre main. Sans regarder, je lançai les sanbons sur le reste des personnes présentent dans la taverne, qui s’écroulèrent comme les shinobis. Je n’avais touché aucun point vital, c’était juste pour les faire s’évanouir. Il ne restait que l’assassin d’Iwa et l’ivrogne.
-Je n’ai pas besoin de tuer pour neutraliser, mais si tu te tais… Je t’enverrai dans l’autre monde.

Perdu dans l’obscurité, dans le Néants. Ni lumière, ni présence, juste… La haine et nous-même. Sans lueur d’espoir, seul dans le vide. Notre corps tombe à jamais, désespérant de s’écraser pour en finir.

L’assassin d’Iwa ne perdit pas sa chance de continuer à me provoquer. Ça en était sur maintenant, il n’avait pas d’idée de ce qui l’attendait. Il s’avança vers moi, pour m’expliquer pourquoi je devrais le respecter.
- Tu me sous-estime dit moi…, Kenji... Sache qu’il ne faut jamais sous-estimer un des disciples de l’homme qui a osait affronter le bretteur de la brume, Kuriarare Kushimaru !
Alors, d’une certaine façon, il avait un lien avec moi. Lui aussi avait un lien plus ou moins direct avec Kuriarare Kushimaru ? Je me demandais presque s’il le savait ? S’il avait vraiment toutes les informations sur les Assassins Nomades. Mais, il ne me laissa pas le temps de relever sa phrase. Il décida de montrer une partie de sa force, en dégainant ses deux lames et utilisant un jutsu de type fuuton. Il endommagea gravement la taverne, avant de m’inviter à l’affronter en extérieur.
- Kenji, je te donne un accord… si tu gagnes je te dis tous ce que je sais... (ou pas) Et si je gagne tu t’en va avec la honte avec toi et ta réputation sera détruite…
Alors comme ça, il voulait juste mesurer sa force contre moi ? En temps normale, je n’aurais eu aucune raison pour l’affronter, vu que je n’avais pas à le tuer. Mais, les informations qu’il possédait pourrait fortement mettre utile. Plus vite je trouverais Takara, le leader des Assassins Nomades, et ancien élève de Kuriarare. Et oui, le bretteur que le Sensei de mon adversaire avait affronté et je suppose perdu, avait formé pendant plusieurs années, l’un des hommes qui m’avait formé et surtout, l’homme que je devais vaincre á tout prix. Je le suivis dehors tout en faisant signe au vieillard de ne pas s’approcher. Si jamais je devais tuer cet idiot, qui voulait m’affronter, je devais être capable de récupérer quelques une de ses informations.
-Qui que tu sois, Akaïro ! Tu ne me parais pas un homme très sensé. Si tu sais qui je suis, et qui m’a appris ce que je sais, alors tu es même très idiot. Si tu ne le sais pas, dans ce cas je vais te l’apprendre. Je suis l’Assassin Sombre, ancien membre des assassins nomades. Ton maitre a affronté le bretteur Kuriarare ? Le mien en a été son disciple !
Je touchai les deux sceaux se trouvant sur mes épaules, pour invoquer mes deux épées. Étant lui aussi possesseur de deux lames, pourquoi ne pas jouer au même niveau. Bien entendu, je ne pourrais pas jouer très longtemps à ce petit jeu. Mais étant donné qu’il ne faut surtout pas le tuer, je vais devoir me battre à un niveau plus bas que la normale. Je plantai dans la boue mes deux lames, mais sans les perdre du regard, car les shinobis d’Iwa sont réputés pour leurs jutsu de type Doton. Ensuite, après une courte série de signes, qui ne me prirent pas plus de secondes, je soufflai pour créer un boule de vent.
-Fûkyuu no Jutsu.
La boule partit à toute vitesse sur mon adversaire, et bien qu’elle ne soit pas extrêmement puissante, elle me permit de faire diversion. J’en profitai pour me glisser dans son dos et lui porter un coup d’épée, gardant la seconde épée pour me protéger d’une éventuelle contre-attaque. Rien de bien dangereux, mais j’eu espéré qu’il soit assez faible pour tomber dans ce piège. Bien entendu, je ne visai pas de points vitaux avec mon coup.

Mon jutsu fusait vers mon adversaire immobile, sa passivité montrait clairement qu’il avait un plan en tête. Je me préparai donc à esquiver toute attaque qu’il pourrait envoyer pour contre-attaquer. Le sol craqua sous ses pieds et un rempart de terre s’érigea devant lui. Comme je l’avais pensé, il était bien du type Doton comme la plus part des shinobis de ce village. Il bloqua mon épée avec la sienne, avant de reculer sur des acrobaties pas franchement pratique. Il avait de bonnes compétences pour un shinobi, mais je ne voyais encore aucun talent d’assassin. Il ne faisait que défendre et attendre, mais attendre quoi ? Je ne perdis pas de temps pour le découvrir, il se décida finalement à passer à l’action. Il créa à partir de ses lames une puissante rafale de vent, qu’il lança sur moi. Son jutsu était bien plus rapide que celui que j’avais utilisé il y a peu, et je dois admettre que j’étais un peu surpris qu’il utilise aussi le Fuuton. Peu de shinobi possède cette affinité, néanmoins, je pouvais le voir. Lui ne la possédait pas, il savait juste faire quelques jutsus. Étant bien trop vaste et rapide pour que j’esquive la rafale de vent, j’utilisai moi aussi un jutsu pour contrer le sien.
-Fuuton, Kaze Kiri.
Je concentrai mon chakra dans mes épées et donnai un coup en diagonal de chaque côté, ce qui créa une authentique barrière autour de moi. Quand les deux jutsus se heurtèrent ils se dispersèrent en projetant les granites un peu partout. J’esquivai les plus gros avec mes épées, sans jamais perdre mon adversaire du regard. Il faut toujours garder un œil sur son adversaire et un œil sur ses attaques.
-Très amusant, désolé Akaïro. Mais je n’ai pas de temps à perdre.
Mes épées furent entourées de chakra avant que celui-ci ne se transforme en une couverture de vent. Je venais d’utiliser le Hien, mas épées étaient à présent deux fois plus tranchantes. Assez tranchantes pour percer la roche, assez tranchantes pour briser ses lames si le combat s’éternisait un peu. Avec ce jutsu j’allais combiner mon jutsu de l’assassinat, le Muon Satsujin Jutsu me permettait de me déplacer à grand vitesse et dans le plus grand silence. Ce que je fis, et bien que mon adversaire avait le contact visuel, ce qui lui permettrait d’esquiver. Le déplacement devrait quand même le surprendre et le perturber. Je visai un point sensible, sans pour autant être un point vital. L’intérêt était de le paralyser et non le tuer, c’est pourquoi ma première cible fut son talon gauche. Ensuite pour éviter qu’il puisse continuer à faire des jutsus, j’enchainai plusieurs coups pour le forcer à rester au corps-à-corps. Alternant entre de simples coups renforcés avec mon Hien et de temps en temps l’utilisation du Muon Satsujin Jutsu pour le perturber. Essayant toujours de viser des points sensible, combien de temps mon adversaire tiendra-t-il ? Comment sortira-t-il de cet enchainement ? Ou alors, possédait-il des qualités cachées en Taijutsu ?

[HRP] J’ai pas très bien compris tout ce que tu as écris, donc si quelque chose est illogique, préviens.[/HRP]

Comme je l’avais prévu, il n’arrivait que très difficilement à suivre mon Muon Satsujin Jutsu. En même temps, essayer de suivre des yeux un tel jutsu était plutôt idiot. Mais que pouvais-je bien attendre d’un simple assassin de rang Chunnin. Il n’était pas du tout mauvais dans l’art de l’assassinat, mais il avait encore beaucoup à apprendre dans l’art des shinobis plus généralement. Mon coup à son talon gauche avait fait mouche, ses mouvements aller être moins fluide, il sera à présent plus facile d’en finir. Ne comptant pas abandonner, il essaya tant bien que mal de se protéger et soigner sa jambe de façon à ne pas être gêné par elle. Il utilisa ensuite un jutsu pour se cacher, vu le nom de la technique, il devait se cacher dans l’ombre de quelque chose ou même de quelqu’un. Néanmoins, il ne pourra pas se cacher de moi, je savais exactement comment le trouver. La zone devint calme une fraction de seconde, un mauvais présage dans les combats de shinobis, une apparut de nulle part pour me prendre au piège. Une autre ombre d’approcha à grande vitesse, en forme de lame elle me découpa en deux. Un nuage de fumée, l’ombre avait simplement découpé une planche de bois, qui autre fois était une porte de la taverne maintenant détruite. Un bout de ferraille reflétant la lueur du soleil se glissa tout près du visage du Chunnin d’Iwa. Grâce au Muon Satsujin et au Kawarimi, j’avais non seulement pu remplacer mon corps pas la planche de bois, comme me glisser dans le dos de mon adversaire. J’avais changé d’arme, une longue lance ornée d’une lame au bout, cette même lame qui à présent se trouvait à quelques centimètres du visage de Nezumi, mais orienté vers son ombre droit. À tout moment, s’il essayait de fuir, je percerais son ombre pour paralyser son bras. Par conséquence un autre sceau de mon corps avait disparu, le dernier des plus imposants. Au clair, il ne me restait plus aucune grosse arme en réserve, plus que des Kunais ou des Sanbons.
-Tu n’es pas mauvais, mais il y a une chose que l’on ne peut pas me cacher. C’est l’odeur du sang, de ton sang en l’occurrence. Comme je te l’ai dit un peu plus tôt, j’ai été formé par les meilleurs.
Lorsque l’un des buissons avait bougé, je pus voir une petite goutte de sang par terre, me montrant la direction qu’avait pris mon adversaire. En m’approchant assez près de lui, je pus sentir l’odeur du sang et donc savoir sa position exacte ou presque. Ces techniques étaient dangereuses et lâches, un vrai traitre… Un bon assassin. Mais, je n’avais plus de temps à perdre avec ce petit jeu, j’avais déjà utilisé la plus grande partie de mon chakra dans ma mission à Iwa. Ce combat avait utilisé presque la totalité de ce qui me restait. En d’autres mots, je ne pouvais plus me battre encore longtemps, c’est pour cela que je devais en finir rapidement.
-Maintenant, tu vas me dire tout ce que tu sais sur les Assassins Nomades et me donner une bonne raison de te laisser la vie sauve à toi et ton vieux.