Nom : Yosuke

Prénom : Omoï

Âge : 22 ans

Sexe : M

Village demandé : Kumo Gakure

Affinité(s) choisie(s) : Raïton et Doton (mon choix =D)

Grade souhaité : Jônin / membre de l'équipe Samui

Avez-vous lu les règles ? Valided by Mk'do (enfin trouvé et drôle comme code xD)

Techniques :

• Style de Kumo, croissant de lune décapitant
  
  Omoï ayant une épée, donne un coup d'épée circulaire de la forme d’un croissant lunaire, lui permettant ainsi de toucher gravement plusieurs adversaires en même temps.
  
  
• Purazuma Booru
  
  Cette technique permet à l'utilisateur de créer une sphère magnétique qui l'entoure et le protège du Ninjutsu, même de haut niveau. Ce jutsu défensif se nourrit de beaucoup de Chakra et ne peut durer trop longtemps. Tout contact avec cette sphère conduit à une électrocution de haut risque, il est possible que l'opposant s'en sorte avec de graves paralysies.
  
  
• Torudo Raitonin
  
  Cette technique permet de créer deux longs éclairs d'une portée de quatre mètres qui sont dirigés par les mains de l'utilisateur. Il suffit de mouvoir ses bras pour que les éclairs liés à leurs mains reproduisent les mêmes mouvements. C'est une technique mortelle si l'on met une forte quantité de chakra dans l'attaque, car la décharge subie lors du choc est très puissante.
  
  
• Raijian
  
  Cette technique permet de créer une multitude d'éclair qui parcours une zone d'environ trois cent mètre et qui éléctrocute puissamment tout ce qui est visé. Les éclairs sont totalement contrôlés par l'utilisateur, ils sont d'une vitesse quasiment inégalable.
  
  
• Rairyuu No Tatsumaki
  
  Cette technique permet de créer un dragon de foudre. Semblable à un gigantesque cyclone chargé d'éclairs, ce dragon est d'une puissance dévastatrice. Et est entièrement contrôlé par l'utilisateur, cela demande une concentration intense de Chakra, on ne peut cependant pas utiliser ce Jutsu plus de deux fois dans le même combat au risque de subir d'importants dégâts par la suite.

Description physique :

Qu’est ce que peut bien abriter ce gigantesque fourreau sur son dos ? Inutile de se le demander, tous les connaisseurs peuvent aisément déclarer qu’il s’agit d’une arme de mort à la longueur hors normes. Et effectivement ceux-ci auraient raison de déclarer cela. Sa longueur excessive l’obligeait à porter l’arme sur son dos, contrairement à la plupart des bretteurs qui eux portaient leur lame au côté. Après, il y a bien évidemment quelques petits détails personnels qui l’avaient poussés à prendre une telle arme. Son maniement n’est pas des plus simples, il y a bien des façons de l’utiliser. Dans le cas présent on peut croire que par sa position, elle était prévue pour une apparition rapide et efficace. Son fourreau solidement attaché à ce qui n’était rien d’autre qu’une protection, le seul mouvement possible est une légère rotation vers la gauche ou la droite. Et donc, cela confirme l’hypothèse : Tout était prévu pour que le jeune homme puisse sortir violemment sa lame. En détaillant un peu plus tout cela, on pouvait facilement remarquer cette fameuse protection qui servait au maintien du fourreau sur son dos. Une seule épaulière était prévue pour qu’elle reste à sa place, à croire qu’il avait voulu gagner de la place pour dégainer. De couleur claire, la protection attirait le regard et donc remplissait bel et bien son rôle. Effectivement, les débutants avaient tendance à viser le plus voyant. Et donc ceux-ci visaient l’épais vêtement. Bien évidemment, il est préférable d’esquiver la plupart des projectiles. Car il avait beau nommer cette chose informe une protection, un kunai lancé assez fort la traversait sans trop de problèmes.
Juste en-dessous de ce sujet de discussion fort intéressant se trouve un vêtement noir et tout aussi épais que la protection. Légèrement trop grand d’un côté, on peut remarquer qu’il est adaptable aux saisons. Ou plutôt sa tenue était adaptable, on aurait pu la qualifier de neutre envers les saisons.
En descendant plus bas on peut remarquer que le jeune homme a respecté son choix de teinture jusqu’au bout. Noir, son pantalon laisse place à des sandalettes comme tout bon ninja. Sandales qui ne laissent que voir le bout de ses pieds. Qu’y a-t-il en dessous de tous ses habits ? Un homme à la peau basané. Non pas que c’est le résultat d’un environnement trop chaud, il est comme ça depuis sa naissance. A l’abri des coups de soleil, on peut dire qu’il a une peau bien épaisse. Peut-être est-ce la le signe d’un entraînement constant.

Son visage suit tout cela, ses cheveux blonds font que sa peau ne fait pas forcément un gros contraste. Autant attirer l’attention de ses interlocuteurs sur ceux-ci car les préjugés vont vite. On ne connaît pas forcément les opinions de ceux que l’on croise. Couverts en partie par son bandeau où est gravé le symbole de Kumo, beaucoup n’ont pas la chance de voir sa tête découverte. En même temps la voir ne changerait rien à leur vie. En dessous de ce long tissu orné d’un bout de métal on peut facilement remarquer ses sourcils qui sont en partie arqués, conséquence de ses fréquentes crises de fou rire ou encore de colère. Son nez est assez court et ne gâche rien à son visage. Entourés par des yeux que beaucoup qualifient d’expressifs, il n’a pas à se plaindre. En parlant de ses yeux, beaucoup s’y attardent pour essayer de discerner la véritable personnalité du jeune homme. De couleur changeante en fonction de la lumière qui s’y réfléchit, on peut aussi bien l’apercevoir avec des yeux rouges alors que ceux-ci sont initialement bruns. On peut apercevoir de fines rides au coin de ses yeux, preuve d’une contraction apparemment habituelle. Arrêter de s’énerver contre un peu tout le monde serait peut-être une bonne idée. Enfin vient le point le plus étrange de son apparence physique : Il suçote en permanence une sorte de sucette qu’il ne quitte jamais. Son bâton n’a pas l’air d’être fait de bois en raison de sa teinture métallique. Son attachement à ce futile objet est un mystère, beaucoup n’en connaissent pas les raisons. Pour ne pas dire personne !

Description psychologique :

Le cas psychologique d’Omoi est un peu particulier. Ce n’est pas qu’il n’est pas normal, au contraire, mais son caractère bien trempé fait qu’il n’est pas forcément aimé. Effectivement, qui aimerait que l’on se moque en permanence de lui ou encore qu’on lui casse les oreilles en hurlant ? Personne, personne de normal. Il faut croire que ses anciennes coéquipières avaient-elles aussi un caractère un peu... Spécial ? Supporter une personne comme le jeune homme à la peau basané n’est pas facile. Comme dit un peu plus haut, le jeune homme est très moqueur et a la bouche souvent ouverte. Certes ce n’est qu’une façon à lui de se protéger mais le résultat est le même. Le raikage lui-même se débarrasserait de lui s’il le pouvait. En même temps, on ne peut pas se débarrasser d’un des meilleurs éléments du village comme ça. Un claquement de doigt ne suffirait pas, surtout avec quelqu’un comme lui. Non pas qu’il se croit plus fort que le kage, loin de la. C’est juste qu’il sait parler. Ou plutôt hurler, chacun à ses opinions concernant le ton qu’il utilise. Après celui-ci varie en fonction de l’interlocuteur d’Omoi. Il aime trouver des défauts aux gens pour se persuader du faite que lui n’en a pas autant qu’on aimerait lui faire croire. C’est aussi un beau râleur. En d’autres termes, il est d’humeur assez changeante. Mais cela ne suffit pas, qu’est ce qui se trouve sous ses apparences de ‘ monsieur je me renferme et je me moque de tout le monde ‘ ? Un idiot de première ou l’homme le plus mûr du village ? Lui-même ne le sait pas. Seule chose qui peut influencer l’opinion de la plupart des ninjas : Le faite qu’il soit devenu un Juunin aussi jeune montre clairement qu’il n’est pas ce qu’il paraît être. Un idiot reste genin, il ne devient pas l’élite de son village à vingt-sept ans.
Une chose est tout de même sûre, il est très protecteur envers ses maîtres. Même s’il ne le montre pas, il pourrait traquer et même torturer celui ou celle qui leur ferait le moindre mal. Il est vrai que beaucoup ont du mal à croire cela, surtout après l’avoir entendu parler au kage en personne. Une vulgarité sans précédents envers une telle personnalité du village. On peut donc aisément affirmer qu’il ne manque pas de courage. Ce qui prouve encore une fois la force du chef de Kumo, tout le monde ne pourrait pas rester de marbre face à de telles provocations. Et pourtant le lui fait. Beaucoup prétendent que quelqu’un de normal ne passerait pas son temps à suçoter une sucette à longueur de journée. La plupart donnent raison à ces personnes car l’argument est imparable. Mais qui peut se vanter de ne pas avoir un tic des plus répétitifs ? Personne. Tout le monde en a un. Taper du pied lorsque l’on est stressé, siffloter en entendant une chanson, etc.

Omoi, lui, prétend que ceux qui lui cherchent des problèmes mentaux sont ceux qui sont jaloux de son apparente réussite. Ne pouvant pas s’en prendre à lui physiquement, ils le font verbalement. Mais peu importe, il ne prête pas attention à ceux-ci.
Il fait son travail donc on ne peut rien lui reprocher. En faire juste assez, s’arrêter lorsque le client ou son coéquipier est au bord de l’éclatement. Il a beau beaucoup parler, il sait observer.
Sa loyauté, sa fidélité sont des choses très importantes pour lui. Ce sont des points qui sont inégalables chez lui. Peu importe les sacrifices, s’il a dit qu’il était d’accord sous tous les points, il tiendra ses engagements. En revanche si dès le début il a des réticences sur le sujet, il peut douter et ainsi hésiter à faire certaines choses contraires à son éthique par exemple. Il faut donc faire attention au moindre détail des missions que l’on compte lui confier. Il pourrait tout simplement décider d’abandonner celle-ci pour par la suite inventer un prétexte, une raison d’avoir fait cela. C’est pour toutes ces raisons qu’Omoi est un cas spécial. Bien évidemment cela ne se limite pas à son sal caractère. Non, il y a aussi le côté mystérieux de sa personnalité que peu cherchent à comprendre. Comme dit plus haut, on ne peut pas savoir s’il est véritablement idiot ou s’il est assez intelligent pour arriver à faire croire qu’il l’est. Une rapidité d’esprit des plus surprenantes en cours de combat montre que ça serait plus la seconde hypothèse. Mais comment être sûr ? Comme juger un personnage qui se balade en permanence avec un masque ? C’est tout bonnement impossible, il faut s’en approcher jusqu’à ce que celui-ci se confise. Malheureusement pour cela il faudrait savoir lui parler sans s’énerver. En y pensant, sa stratégie est parfaite. Même si quelqu’un faisait l’effort de lui parler pour en apprendre plus sur lui, il finissait tôt ou tard par lâcher une imbécillité aussi grosse que lui. C’est comme ça, Omoi est un solitaire tout en étant entouré. Peut-être ne réalise t-il pas la chance qu’il a. Ou au contraire, peut-être pense t-il que ce sont les autres qui ne réalisent pas. Dernier petit détail : Omoi est de nature pessimiste, ce qui lui vaut beaucoup de reproche. Mais bon, personne ne peut être parfait n’est-ce pas ? Pour résumé son état psychologique, il suffit de prononcer le mot « Mystère. ». Car effectivement, il en est un à lui tout seul. En même temps, pourquoi s’intéresser à un simple Juunin ?

Histoire :

Une histoire de sucette par-ci, une histoire de sucette par la. Il arrive un moment dans une vie où l’on arrive devant un choix crucial. L’un des ninjas faisant partit de l’élite de Kumo s’est vu imposé un choix. Celui-ci a finalement décidé de partir à la recherche d’une sucette. Un choix bien bizarre n’est-ce pas ?


« Je te l’ai dis, t’as mal au dos à cause de ta monstrueuse poitrine ! »

Quelques instants plus tard, le jeune homme qui venait de déclarer une telle chose finit la tête enfoncée dans le sol. La force augmentait-elle lorsque l’on se faisait insulter ? Sûrement que oui, il l’avait senti passer ce coup ! Se relevant péniblement, il fit tourner plusieurs fois dans sa bouche un objet qui ressemblait fortement à une sucette avant de faire mine de réfléchir.

« C’est peut-être à cause de tes poings finalement. Tu dois sûrement te pencher en avant vu leur poids, comme les gorilles ! »

Cette remarque lui valut un second coup et une séance d’insultes longue d’une dizaine de minutes. Finalement la troisième personne présente sur les lieux déclara que tout était une histoire de poitrine dans cette équipe. Celle-ci avait regardé la sienne qui paraissait bien inexistante. Rigolant à cela, celui qui semblait être le petit rigolo de service subit la colère de ses deux coéquipières.
Il ressentait le besoin de les ennuyer, de les pousser à s’énerver. Pourquoi ? Il ne savait pas. Mais ce qui était sûr, c’est qu’un jour ou l’autre ses paroles le perdront. Se cacher derrière des imbécillités de ce genre, sa spécialité. Car effectivement, depuis sa naissance il ne cessait de vouloir faire rire pour qu’on ne s’intéresse pas plus que cela à lui. Être masqué par une apparence qui n’était pas forcément la sienne, magnifique n’est-ce pas ? Néanmoins il devait avouer que tout cela faisait bel et bien partie de son sal caractère. Et ça ne l’avait pas empêché de devenir l’un des meilleurs Juunin de son village. Détail qui pouvait laisser deviner qu’il n’était pas forcément ce qu’il laissait croire. Son physique était ce que l’on pouvait qualifié de basique. Ou du moins, il prétendait qu’il était basique. Sans plus par rapport aux autres de son village.
Tout cela était bien beau mais ils allaient devoir rentrer à Kumo le plus vite possible, le raikage les avait convoqué pour leur assigner une mission. Mission qu’il prétendait des plus importantes.
Mais vu la distance qu’ils avaient parcourus, un repos était préférable. Effectivement, il était très probable qu’une fois arrivé au village ils devraient repartir de suite. Ce qui faisait que s’ils ne se reposaient pas maintenant, ils ne pourraient pas le faire avant un bon moment.

Se couchant sur une branche en hauteur, il croisa les bras à l’arrière de sa tête avant de l’apposer contre le tronc imposant de l’arbre.
Bien vite le son d’un battement d’ailes facilement reconnaissable se fit entendre. Un moustique ! Celui-ci tournait près de sa bouche, croyant sûrement que cette délicate odeur venait de sa peau. Le jeune homme avait beau détester ces petites bestioles, il ne les respectait pas moins.
Effectivement, lui-même était moins résistant que ces insectes. Que tous les insectes en général d’ailleurs. Et cela était le cas pour tous les êtres humains. Ou du moins les êtres humains normaux. Pouvaient-ils prétendre pouvoir résister aux attaques d’être mille fois plus grand qu’eux ? Non et pourtant c’est ce que faisaient ces petites bêtes. Certes si on les écrasait ceux-ci mourraient mais avec de simples coups ils survivaient. Quelle détermination, ils revenaient encore et toujours à l’attaque. Du courage, de la peur ou de l’idiotie ? Le jeune homme ne savait pas ce qui les animait bien qu’il s’y intéressait. Peut-être aurait-il l’occasion d’en discuter avec un Aburame ? Qui sait.
L’attrapant, il le jeta vers sa coéquipière pour éviter de se retrouver avec un bouton sur le nez. Celle-ci aperçu le geste et essaya à son tour d’attraper le moustique. Malheureusement pour elle, celui-ci s’avérait bien plus rapide qu’il n’y paraissait. L’homme avait eût bien de la chance d’y arriver.
Minuscule créature qui donnait autant de mal à un ninja, c’était admirable. Laissant le sommeil l’envahir, il abandonna ses pensées pour rejoindre ce que beaucoup prétendaient être le royaume des rêves. Le concernant, c’était toujours le noir total.

Au bout matin on ne pouvait qu’entendre un seul et distinct son troubler le silence de la nature : Le ronflement du jeune homme. La cause de cela était tout simplement la sucette qu’il ne voulait apparemment pas quitter. Bonjour l’haleine après, les adoratrices de sucreries devaient se jeter sur lui. Réveillées par le son assez désagréable à l’oreille, ses coéquipières se vengèrent en le sortant subitement de son sommeil.

« Omoi, debout ! »

Celui-ci prit un temps trop long à se rappeler sa position. Se tournant sur le côté après avoir lâché un bref « Pas encore », il se souvint trop tard qu’il était à une dizaine de mètres du sol. Sentant le vent lui caresser subitement le visage, il ouvrit les yeux.

« Merde ! »

L’arbre était dénué de toutes branches à ce niveau, aucune possibilité de se rattraper. Par fainéantise il ne fit rien pour tomber sur les pieds et creusa un profond trou en heurtant le sol. Sortant difficilement de ce fameux trou, il soupira avant de s’épousseter. Ignorant l’hilarité de ses coéquipières, il remit en place ce qui ne l’était pas et vérifia qu’il était bien entier.

« Tu sais, tu pourrais être à la tête de cette équipe si tu arrêtais tes pitreries. »

Haussant les épaules, il proposa de partir de suite vers Kumo. Bien entendu, ils approuvèrent cela. Disparaissant dans un nuage de fumée, ils laissèrent l’endroit tel qu’ils l’avaient trouvé. Sans compter le trou, conséquence de la chute d’Omoi.
Sautant de branches en branches, il finit par traverser le feuillage des arbres les plus hauts. Ainsi il pouvait guetter les éventuelles rencontres inattendues. Le kage leur avait fait traverser la moitié du continent pour ensuite les faire convoquer, voulait-il tester leurs capacités physiques ou la rapidité des messagers ? Ou bien était-ce réellement urgent ? Peu importe, dans tous les cas ils devraient arriver au village aujourd’hui et pas plus tard. Suçotant sa sucette, on aurait dit qu’il était en plein repos. Effectivement, voyager de la sorte ne semblait pas le déranger plus que cela.

Quelques heures plus tard, les trois shinobi étaient devant la porte du bureau de leur Kage. Récupérant à une vitesse surprenante leur souffle, ils s’apprêtaient à pousser la porte lorsque le fameux Raikage fit son apparition. Celui-ci était apparemment sortit et venait de rentrer.

« Bien, vous avez été rapide. Rentrez. »

Prenant les devant, Omoi poussa la porte avant de se positionner devant le bureau de son supérieur. Le Juunin se retenait car effectivement il n’était pas du genre à respecter ses supérieurs. Au contraire, il leur parlait comme il aurait parlé à ses coéquipières. Ce qui voulait dire un non-respect total. Peut-être le faite qu’il était un ‘ excellent ‘ élément faisait que ceux-ci ne le punissaient pas. Il ne savait pas et s’en contrefichait. Il était bel et bien ce que l’on appelait une grande gueule. Sachant cela, la plupart préféraient s’adresser à la chef d’équipe qui mesurait mieux ses propos.

« J’ai une mission importante à vous confier. De rang A ou supérieur, elle consiste à éliminer un homme qui prend ses désirs pour des réalités. Il a totalement prit le contrôle d’une zone de notre pays en modifiant son terrain, ne nous laissant aucune ouverture pour contre-attaquer. Votre objectif sera donc de créer une ouverture ! Une brèche dans ce qu’il croit être une défense parfaite. »

Hochant la tête, la coéquipière du jeune homme demanda à ce qu’on la renseigne sur les réelles capacités des défenses et de l’homme qui les avait organisés. Le raikage leur confia qu’elles étaient effrayantes, que leur ennemi avait une quantité colossale de chakra et qu’il savait l’utiliser bien mieux que la plupart des idiots qui s’attaquaient au pays de la foudre. Cette déclaration ne fit ni chaud ni froid aux Juunin qui n’avaient pas le choix, ils devraient faire ce qu’il y avait à faire.
Disparaissant dans un nuage de fumée, ils laissèrent place à de petits papillons avec lesquelles ils s’étaient transmutés. Cela n’allait pas être la plus facile des missions qu’on leur avait confié mais ils avaient des obligations. Après tout ils avaient vu pire !

Courant à une vitesse impressionnante vers la zone que leur avait décrit le raikage, ses coéquipières subissaient déjà les suggestions de repas d’Omoi pour la fin de la mission. Celui-ci paraissait bien sûr de lui. Bien qu’évidemment, ce n’était qu’une façade.
Le trajet était plus long que prévu car effectivement à la fin de la journée ils n’étaient toujours pas arrivés. Finalement ils commencèrent à voir le relief de cette fameuse défense tard dans la nuit, éclairé par la douce lumière que répandait la lune. Une demi-heure plus tard ils étaient arrivés à quelques mètres de celle-ci.

« Oh merde... »

Omoi s’arrêta brusquement, levant les yeux vers le ciel. Et il avait une bonne raison de le faire : Aucun des trois Juunin ne voyait le haut de ce mur fait de pierre noir. Celui-ci transperçait les nuages pour finalement finir en tant que simple ombre.

« Ingénieux... Et impressionnant. Personne n’aurait assez d’oxygène pour monter jusqu’en haut. Et encore moins pour le traverser. Ce n’est pas un homme qui a fait ça... »

Le jeune homme regarda sa coéquipière avant de mordre sa sucette.

« C’est un monstre... »

S’asseyant sur un bout de roche, le jeune homme se perdit bien vite dans ses pensées. Comment ouvrir une brèche dans une telle chose ? Observant les alentours, il ne remarqua aucune trace d’un éventuel combat. Ceux qui les avaient précédés n’avaient rien tentés, ils avaient tout simplement été dépassé par une telle chose. Levant la tête, il finit par dire sa conclusion à haute voix.

« C’est que de l’intimidation. »

Dégainant son katana aux dimensions hors normes d’un coup sec, on pu apercevoir un long filet d’électricité le recouvrir avant que le jeune homme ne décide de l’abattre contre le mur aux proportions bien ennuyantes. Le résultat fut flagrant, un énorme trou laissait déboucher sur ce qui semblait être des chemins. Vu leur apparence, on aurait pu croire que de géantes taupes y habitaient. Souriant devant son apparent exploit, il joignit les mains et fit apparaître une réplique de lui-même. Un clone fait de terre. Celui-ci avança, accompagné des répliques de ses deux coéquipières. Après une dizaine de minutes, les clones se firent disparaître pour donner leurs souvenirs aux Juunin. Tous haussèrent un sourcil avec une synchronisation parfaite.

« Ce n’était pas un mur... C’est un bloc de pierre avec une multitude de chemins. »

Fronçant les sourcils, Omoi remit sa lame à sa place avant de lui-même avancer. Au moment même où les trois shinobi étaient entrés le trou qu’avait fait le jeune homme se referma de lui-même, les piègent dans ce gigantesque labyrinthe. Tout avait été prévu, cela expliquait la petite résistance de la pierre.
Sachant qu’ils perdraient leur temps à essayer de sortir, ils avancèrent vers une destination incertaine.
Un silence total était requis, il fallait pouvoir entendre l’arrivée de l’ennemi. Pour une fois le jeune homme ne faisait pas de bruit, il était silencieux et attentif. A croire que son comportement changeait radicalement en mission. Le faite qu’ils ne rencontraient pas la moindre résistance était étrange, leur ennemi voulait apparemment qu’ils s’enfoncent dans les tunnels. Et ils n’avaient pas le choix.
Entrant une légère compression dans l’air, Omoi dégaina son katana sans réfléchir. Bonne réaction car quelques secondes plus tard celui-ci rencontra la lame d’un adversaire qu’il ne voyait pas. Non pas qu’il était invisible, celui-ci usait d’une technique qu’il ne connaissait pas.
Malheureusement pour lui, le faite qu’il pare la lame ne servit à rien. Effectivement, sans comprendre comment son adversaire l’atteint au ventre. La puissance de celui-ci assomma Omoi sur le coup.
Voyant cela, sa coéquipière à la forte poitrine le prit sur son épaule et ordonna un repli. C’était nécessaire, ils ne pouvaient pas se battre dans ces conditions.
Se réveillant un peu plus tard, le jeune homme avait encore l’esprit embrouillé lorsque ses coéquipières le mirent au courant.

« C’était plus facile que prévu de sortir. Nous avons laissés assez de parchemins explosifs sur notre chemin pour anéantir toute la structure. »

Clignant des yeux, le jeune shinobi fit le tour de ses lèvres avec sa langue.

« Ma sucette... »

Tout lui revint, il l’avait lâché en sentant le poing de son adversaire s’enfoncer dans son ventre. Se levant d’un seul coup, il rouvrit une brèche dans le mur avant de s’y engouffrer. Ignorant les cris de ses coéquipières, il fit en sorte de bloquer l’entrée. Une autre sucette il aurait pu en racheter mais pas celle la ! Oh que non, pas celle la...
Courant à une vitesse des plus surprenantes, il traversa la moitié de la structure en un rien de temps. Sans comprendre comment, il se retrouva dans une salle spacieuse. Un seul meuble occupait la pièce : Un grand siège. Sur celui-ci se trouvait un homme à la musculature très développée.
Il n’ignorait pas la présence d’Omoi, il le regardait.

« Tu es venu mourir pour ta friandise ? »

Un long et puissant rire se fit entendre, la voix grave devait appartenir à l’inconnu bien qu’il n’est pas vu ses lèvres bouger. Celui-ci fouilla dans sa poche avant d’en sortir la sucette en question. Le reflet métallique de ce qui dépassait habituellement de la bouche d’Omoi montrait que c’était bel et bien la sienne. Son adversaire comprenait vite. Et il se déplaçait vite, il l’apprit contre son grès. Le voyant arriver trop tard, il n’eût le temps de dégainer que déjà il sentait la main de l’homme l’empêcher de sortir son arme. Celui-ci lui mit un coup de genou dans les côtes avant de le jeter sur le sol, laissant tomber la sucette à son côté. Il le désigna comme étant un être ‘ pitoyable ‘ et lui dit qu’il allait mourir avec lui. Lui avouant qu’il ne pouvait quitter cet endroit et encore moins détacher les parchemins explosifs, il s’était abandonné à la mort et allait faire partager son destin au Juunin. Le shinobi rigola avant de se relever doucement, remettant sa sucette en bouche il déclara que lui allait quitter cet endroit détestable.
Prévoyant la réaction de son adversaire, il gonfla le torse. Et effectivement, il avait bien prévu sa réaction : L’homme à la force colossale apparut devant lui. Cette vision le fit sourire jusqu’aux oreilles.
Soufflant de toutes ses forces et en accentuant l’effet à l’aide de son chakra, il propulsa la fameuse sucette à une vitesse hallucinante. Celle-ci se planta dans le crâne de l’homme avec une facilité étonnante.
Le regardant tomber lentement en arrière, il répondit enfin à ses provocations.

« Tué par une friandise, qui est pitoyable maintenant ? »

Disparaissant dans un nuage de fumée, il courut le plus vite possible. Encore à l’intérieur, on pouvait déjà entendre de lointaines explosions. Il survivra grâce à sa chance. Effectivement, la salle se trouvait près de la limite Est. Sortant sans trop de problèmes, il se mit à la recherche de ses coéquipières tandis que tout s’effondrait. Faisant plusieurs fois le tour des ruines, il ne trouva pas ses amies. Il consacra trois jours à leur recherche mais sans résultats. S’avouant vaincu, il tomba à genou.
Se refermant sur lui-même, il resta longtemps dans cette position avant de se décider à rentrer. Encore à ce moment la, tout lui confirmait la disparition de ses coéquipières. Arrivant au bureau du raikage, il fit lui-même le compte rendu de la mission.

« Et bien... Le plus important est que la mission est une réussite. »

Son visage déformé par la haine, le Juunin ne se retint plus.

« La ferme ! »

Tournant les talons, il partit.

Hello.

Va falloir le trouver le code ^^
On attends la suite !

voilou voilou j'ai fini la prez d'Omoï, voyons si un test RP est faisable =D

Bon, avant de tout vérifier, essaye de trouver le code quand même !
Ensuite, je doutes qu'on autorise à un perso du manga une affinité qu'il maitrise pas dans le manga. Enlève-moi ce Doton !

xDn pour le code je suis à sa recherche et le Doton je le change tout de suite alors =)

OK on attend alors.

j'ai fini, changer le Doton et trouvé le code, mais une seconde ; on ne sert rien de Omoï et je crois qu'on peut me laisser mettre le Doton non ? [ simple question pas autre ]

Certes, mais ce n'est pas une raison de lui donner une autre affinité.
M'enfin, code validé.
Je vais voir pour la prez' maintenant (je valide en plein cours ^^')

• Maku ne me tape pas =D Je donne mon appréciation avant toi xD
  Bon alors en ce qui me concerne je trouve ça pas trop mal à part les répétitions parfois et les fautes, tu fais pas mal de fautes d'accord principalement et autres part tu écris un mot au pluriel mais tu ne te soucies pas du reste de la phrase. Aussi une fois tu as mis un s alors que cela n'était absolument pas nécessaire, je te conseille un simple passage sous Word et tu verras toutes tes fautes apparaître. Dans l'histoire par contre, tu intègres assez bien la psychologie du personnage, étant moi même un fan du caractère d'Omoï ^^". Bon en attendant que tu corriges tes fautes je demande un avis sur le contenu du texte.

Cool, merci je corrige tout ce soir de retour de chez moi, actu j'suis à l'école =)

T'inquiète pas, je te blâme pas, Mad', car je n'ai eu le temps que de valider le code^^

Bon, bah ça m'a l'air pas mal. Enfin, l'histoire ne semble parler que d'une mission, c'est pas trop une histoire ^^'
Enfin, au vu du personnage, du fait qu'on n'en connait pas grand chose, je te laisse tranquille dessus.
Donc, j'accepte la présentation, mais je donnerais le test qu'après la correction des fautes

• Voilà j'ai fini, je pense qu'il y a plus de faute, car c'est du 100% Word (s'il a une faute j'accuse Word alors xD)
  
  Bref, voyons si un test RP peut être donner, en attendant je joue au basket ball.

• Avis favorable pour le Test RP - Second avis ?

Il y a plus d'admin, pour donner son avis ? J'en ai marre d'attendre.

Désolé '^^
Ca me va aussi. Donc voyons pour le test RP...

Test RP Jonin : L'équipe Samui est assigné à une mission de rang A : Un groupe composé de bandits sans scrupule et de déserteurs de rang B ont déjà détruits plusieurs petit village dans le Pays de la Foudre. D'après nos renseignements, ils n'ont pas l'intention de s'arrêter là ! Arrêtez-les une bonne fois pour toute !