Yûna Hatsu Konoha no Shinobi
Nombre de Messages : 17 Nindô : Pour un monde unie Date d'inscription : 23/06/2011
Passeport Ninja Grade: Genin Points d'Expérience: (55/1000) Techniques:
| Sujet: Présentation Yûna, la plus parfaite de toute Mer 29 Juin - 13:04 | | Boku wa Hatsu Yûna ! Nom :HatsuPrénom :Yûna Âge :21 ans Sexe :Femme Village demandé :Konoha Affinité(s) choisie(s) :TaïjutsuGrade souhaité :ChûninAvez-vous lu les règles ?L'AA VALIDE(AA=Alcoolique Anonyme). Techniques :Hachimon Tonkou - Les portes célestesCette technique consiste à manipuler les huit grandes cavités de chakra dans le corps pour augmenter son flux de chakra. A chaque ouverture d'une porte, la puissance et le chakra de la personne augmente considérablement, tandis que sa peau s'empourpre de plus belle. Cependant les dégâts internes sont proportionnels au nombre de portes ouvertes, la dernière provoquant au final la mort.
Description physique : [10 lignes minimum]Comment dire, ce serait me montrer modeste que de dire que je suis normale et la modestie, je ne connais pas. On m'a toujours dit que j'étais belle et c'est la vérité, pourquoi se mentir devant ma beauté suprême. Mais je ne suis pas parfaite, un seul défaut persiste: je suis petite, 1m60 alors que j'ai 21 ans. Ma croissance a été freiné, peut-être est-ce du au fait que je ne bois pas de lait mais une chose est sûre, à cause de ma taille les gens me prennent pour une gamine malgré mon âge. J'aime les kimonos et bien souvent, je ne porte que ça. Il est très rare de me voir habillée autrement. En ce moment, j'ai un faible pour ce kimono rose qui me va si bien. Mais quand je pars en mission je met toujours un ensemble noir, plus pratique. Je voue ensuite un culte à mes cheveux longs et noirs. Les soirs de pleine lune ils deviennent argentés grâce aux reflets de la lumière. Comme je vous l'ai dit je suis petite mais ce n'est pas vraiment un handicap car je suis très légère et me déplace très vite grâce à ma taille qui accroit ma furtivité. Il est difficile de me toucher en combat vu ma taille ce qui me donne un avantage mais en combat il y a aussi des inconvénients. Me battant au corps à corps, je dispose d'une allonge plus courte que la normale ce qui n'est vraiment pas très pratique. Mais la chose la plus belle chez moi c'est sûrement mes yeux bleus acier, si beaux et si profonds que l'on s'y perdrait à force de regarder dedans. Attention je suis très consciente de ma beauté ensorcelante et je n'hésiterais pas à m'en servir pour vous avoir en combat ou en diplomatie. Prenez garde à Yûna et à son physique incommensurablement divin! [/font][/color] Description psychologique : [10 lignes minimum]Psychologiquement je suis parfaite en tout point. Gentille, affectueuse, belle, même trop parfaite. On dit de moi, que je suis hautaine, mais ce ne sont que des jaloux de ma magnificence divine. A Konoha je suis un véritable rayon de soleil et de bonheur pour les habitants. Malgré cette rumeur sur moi, je suis très appréciée des villageois. Je pourrais même dire que certain prennent exemple sur moi pour mieux me ressembler et je les comprend tellement. Comme je l'ai dis, je ne suis pas du genre modeste, car je sais ce que je suis et ce que je vaux. Je suis toujours prête à me surpasser physiquement mais aussi mentalement. J'ai une détermination en fer et du courage à en revendre. Je suis généralement toujours positive, même dans les pires situations, ce qui est dure car je suis humaine. J'ai aussi des inquiétudes et des peurs, que je cache pour paraître forte. Je sourie en permanence, mais c'est un masque que je me met sur le visage, c'est grâce à ce sourire que mes collègues et amis garde l'espoir même quand la situation est désespérée. Quand ça va mal je suis toujours là pour remonter le moral des troupes. Et je n'aime pas le lait! Ce qui ce voit sur mon physique. Au niveau de mes goûts et bien ça ne vous regarde pas. J'aime les gens type gentlemen, sur d'eux et c'est tout ce que je peu vous dire. Dans tous les cas les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Donc voilà un peu qui je suis, un caractère particulier mais tellement apprécié, bientôt vous aussi vous m'aimerez et me vénérerez. [/font][/color] Histoire : [20 lignes minimum]Konoha, un village ninja, c'est là bas que je suis née. Mes parents, mes grands parents et toute ma famille y a toujours vécu. Je suis donc née à Konoha charmante petite ville shinobi, mes parents sont des ninjas, et sont bien souvent partis en mission avant ma naissance. Ils ne voulaient pas d'enfants, non pas pars-qu'ils n'en avaient pas envie mais plutôt pour ne pas faire un orphelin, le monde ninja est dangereux et mes parents risquaient bien souvent leur vie. Mais un jour je suis arrivée au monde, un accident, mes parents s'en voulaient tellement d'avoir fait une telle chose. D'un autre coté ils étaient heureux de me voir en bonne sante. Je me mis à parler très tôt et à marcher d'autant plus tôt. Mes parents toujours en vie étaient fier et voyaient en moi un grand avenir dans le monde ninja, à cinq ans mon père m'entrainait à l'art du combat, il c'est avéré que j'étais doué. Mais mon père était un peu déçut car je n'avais aucun signe qui montrait une quelconque affinité avec les ninjustsu. J'ai huit ans l'age d'enter à l'académie de Konoha mais mon père est triste, car je ne sais faire aucune techniques ninja, il se dit que ça viendrait plus tard. Mais après trois ans à l'académie il m'était toujours impossible de pratiquer le moindre art ninja, la honte et le déshonneur pesait sur ma famille. Mes parents ne m'en voulaient pas et m'aimaient toujours, mais je sentais que je les avaient déçut. Pendant plus de dix longues années, je tentais sans relâche de maitriser le chakra, mais je devais sûrement en être dépourvue. J'avais honte de moi, vivre dans un village ninja sans en être une. Je fis un choix qui allais changer ma vie pour toujours, et pour cela je devais faire une croix sur mes amis, ma famille, ma vie. Ce choix? Déserter, personne à Konoha n'arrivait à m'aider, mais peu-être que dans le monde, il y avait d'autre gens comme moi avec les mêmes problèmes. Alors, un soir qui devait être un lundi je pris quelques affaires, un morceau de pain et je pris la fuite comme une voleuse. Mais j'avais sous-estimé Konoha et je devais en payer le prix. Après être partie de chez moi, j'arrivais devant les grandes portes, personne pour les garder, c'était étrange. Mais à peine ai-je franchie le seuil de la porte que je me fit arrêter et conduire en prison. Mes parents furent prévenus et un conseil allait se réunir pour parler de mon sort généralement peu favorable aux déserteurs. Mes parents avaient supplié pour que j'échappe à la peine de mort et avoir le droit à la perpétuité, mais ce n'était pas vraiment le mieux. Une semaine d'emprisonnement, puis un mois, et maintenant presque un ans. C'était horrible, mes parents passaient toutes les semaines me voir, le village entier regardait avec mépris, ma famille. Je devais fuir, m'échapper, je n'avais pas ma place ici et encore moins dans ce village. Un mois en plus dans cet enfer, mais il y avait quelque chose de différent aujourd'hui. Un des gardes tomba à terre puis un autre, une silhouette dans l'ombre apparue. Il s'avança dans la lumière de la lune et ouvrit ma cellule. Je lui dit d'une voix tremblante car je savais que son acte aurait de grave conséquence.
-Père, pourquoi avoir fait ça? Ils... ils.. vont vous tuer.
Il ne répondit pas et me prit dans ses bras, me chuchotant dans l'oreille.
-Tu est si belle ma fille, je suis tellement désolé d'avoir mis tout ce temps pour te sauver. Va, par et vie.
Il me poussa vers la sortie et attendit les gardes seul, dans le noir, le visage éclairé par la lune, une larme sur sa joue. Je couru, car je savais que je n'avais que peu de temps, passant par les ruelles j'arrivais très vite à la grande porte, mais comment la passer. Ma mère arriva dans mon dos. Elle me regardait, et avait l'air heureuse. A ce moment précis tout devint clair pour moi, ils ne comptaient pas reprendre leur vie sans moi. Il était sûr, que la mort les attendaient pour haute trahison, mais ils s'en fichaient rien n'avait plus d'importance que leur chère fille et de sa liberté. Alors que ma mère combattait les gardes, je passais le plus discrètement possible la porte. Je tentais un dernier regard sur ce village qui m'avait vu naître et grandir, mes yeux croisèrent ceux de ma mère, elle souriait. Je ne suis jamais revenue à Konoha et je ne sais pas se qu'ils est advenu de mes parents.
Deux jours venaient de passer, après ma fuite de Konoha, j'avais trouvé refuge dans un petit village tranquille. Je comptais y rester un bonne semaine pour que mon esprit se repose, je ne savais plus quoi penser. Konoha était responsable de la mort de mes parents mais si je ne m'étais pas enfuie la première fois, rien de tout cela ne serait arrivé. Je devais donc mettre au clair tout ça. Un soir où j'étais seul avec ma pensée dans le salon d'une auberge, une étrange sensation m'envahis. Une de ces sensations qui vous disent que votre vie va changer, vous ne vous en rendez pas compte sur le moment mais vous sentez qu'il va se passer quelque chose. Je sortie dans la rue, au bout se trouvaient deux ninjas de Konoha, ils m'avaient retrouvé, j'avais été trop imprudente de rester ici. Mais ils ne m'avaient pas encore vue. Une main se posa sur mon épaule et me tira dans une ruelle. Comme une idiote, un crie de surprise s'échappa de ma bouche. Les deux ninja coururent précipitamment dans le coupe gorge pour se retrouvez en face d'une silhouette encapuchonnée et moi derrière elle. L'un des ninjas s'exclama
-Étranger pousse toi, la femme que tu caches est recherchée pour avoir déserté, cette affaire ne te concerne pas!
Un petit rire se fit entendre sous le capuchon. On pouvait lire de la rage sur le visage des ninjas. Ils se ruèrent sur l'étranger, après un bref combat, les deux ninjas tombèrent au sol assommés. Un violent coups de vent souleva la capuche de l'inconnue, on pouvait y voir le visage d'une femme aux cheveux blond. Dans ses mains, deux éventails en fer. Elle me dit d'une voix calme et posée de la suivre. On m'avait toujours dit de ne pas suivre les étrangers mais j'ai dix-neuf ans et cette femme m'inspirait confiance. Elle m'invita chez elle, à la sortie du village dans une petite cabane austère. Aucun confort, un lit, une cheminée et une table en bois, voilà les seuls meubles qui s'y trouvaient. Sa vie devait être rude. Après de longues minutes de silence, elle me posa des questions sur mon but, ce que je faisais ici et sur ce que me voulaient les ninjas. Je tenta d'y répondre le plus clairement possible. Cette femme blonde aux yeux bleus, avait quelque chose de mystérieux, un je ne sais quoi qui faisait toute la différence. Elle avait assommé ces deux ninjas avec tant de facilité alors quelle n'avait pas l'air très forte. Hanna, juste Hanna, c'était son prénom, je m'en souviendrais toute ma vie. Je lui racontais mon incapacité à utiliser le chakra. Elle souri et me demanda si je voulais apprendre un art ou l'on pouvait s'en passer. C'est comme ça, que mon entrainement a débuté, elle me donna un éventail de fer, il était très lourd et difficile à manier. Tous les jours, le matin, cours, l'après-midi, entrainement au combat. Un soir ou l'on mangeaient toutes les deux, elle remarqua mon manque de manière, après un an en prison, on a vite fait d'oublier les bonnes manières. J'ai donc eut droit à des cours, le soir pour devenir une vrai dame. Les cours du soir étaient tout aussi éprouvant que ceux de la journée. On était sur la même longueur d'onde, je progressais très vite. Bientôt je n'avais aucune difficulté à manier les éventails de fer, j'appris à me battre avec les deux. Je voulais toujours en savoir plus. En même temps, j'apprenais à me conduire comme toutes les grandes dames de ce monde. A la fin de la journée, je m'écroulais complètement vidée de mes forces sur mon lit, après une douche glacée dans la rivière. Les saisons passaient, l'hiver était rude et l'été chaud. Mais je me devais de devenir plus forte pour que mon maître soit fier de moi.
Deux ans s'étaient écoulés depuis le début de mon entrainement, c'était le printemps, je crois. Quand on vous dit que tout fini par vous retomber dessus un jour ou l'autre, c'est bien vrai. Hanna avait quitté le village de Kiri, il y a bien longtemps de ça. Et ils venaient de retrouver sa trace. Tout était calme, on dormait tranquillement, quand je fus réveillée par un bruit, je saisie mon éventail et scruta tout autour de moi. Hanna n'était pas là. Je sortie de la cabane, du sang sur le sol, quelques goûtes. Je suivie les traces pour débarquer dans une clairière, la lune était rouge, elle était là dans les rayons. Son kimono blanc était couvert de sang, autour d'elle, trois ninjas les yeux dans le vide, gravement blessés. Hanna me vit et s'écroula par terre. J'accourus au plus vite à ses coté. Elle était mourante, il n'y avait plus rien à faire.
-Tu sais Yûna... dans mon village j'étais respectée, mais il me manquait quelque chose, je me sentais en prison dans mon village, puis je suis partie et j'ai vue des gens qui n'avaient pas de limite dans leur village ils étaient libres d'aller et venir dans n'importe qu'elle autre village, car les habitants se faisaient confiance...C'est là que j'ai réalisé se qui n'allait pas, dans la façon de vivre des ninjas. Ils sont enfermés dans leur village, et les fois ou ils en sortent c'est pour des missions ou ils ne voient du sang. Leur vision du monde est faussée par les murs de leur village. Ils se font la guerre et ne voient pas que autour d'eux tout se passe pourtant bien. Il faut les aider.
Dans son dernier soupire, elle me donna ses armes et un sourire qui devint le mien. Après l'avoir enterré dans de bonnes conditions, je me remis à l'entrainement, ses éventails étaient beaucoup plus lourd que mes anciens. Un mois passa, j'étais devenue plus forte, mais étrangement je n'avais pas changé physiquement, j'étais toujours aussi petite, c'était sûrement due au poids des éventails. On était un mardi, je devais aller faire des courses au marché dans le village en contre bas, je m'arrêtais dans un salon de thé pour prendre un peu de bon temps, c'était mon seul divertissement. C'est là que j'ai surpris une conversation.
-Vous savez pas la nouvelle, y parait qu'il y a une armé qui se prépare, mais elle est spéciale, ce ne sont pas des ninjas, ils n'utilisent pas de chakra, c'est étrange, où va le monde. On ne sait pas grand chose d'eux mais il paraît que l'un de leur village n'est qu'a quatre jours de marche, dans les montagnes au nord d'ici.
Je trouvais la conversation très plaisante, il fallait que je les rencontre, quatre jours de marche ce n'est pas grand chose, et puis j'avais fini mon entrainement, je n'avais donc plus rien à faire ici. Mon avenir était tracé et tout était clair dans ma tête, mon destin me tendait les bras.
J'avais fait un bon stock de provisions, mes éventails accrochés à mon kimono rose, j'étais prête et bien équipée. Je sortie du village le pas léger, je ne voulais pas me presser, le paysage était magnifique. Une vaste plaine d'herbe verte et en fond, la montagne grise. On ne pouvait voir son sommet car de gros cumulus en cachaient la vue. Je fis une petite pause à midi, j'avais bien avancé. Je commençais à préparer le thé selon le rite sacré, la position seiza est très douloureuse mais obligatoire, une fois le thé dégusté, je repris la route. Cette vie était agréable, à marcher et faire des pauses à l'ombre ou sur l'herbe, en buvant un peu de thé. Mais, pour le moment, je n'avais qu'une chose en tête, la montagne. Avec ma maitrise du combat je ne devrais pas avoir de difficulté à apprendre leur art, aussi étrange soit-il, de plus je savais qu'ils m'aideraient sûrement à réaliser mon rêve; un monde sans frontière, sans barrière. Ce serait si beau, je n'avais pas encore réalisé à quel point j'étais proche du but. A chaque pas qui me rapprochait de la montagne, je sentais que ma vie changeait, petit à petit. Le deuxième jour, je me surpris à penser à mes parents, allaient-ils bien? Etaient-ils encore en vie? Pour moi, ils étaient encore en vie, mais en prison. Je comptais bien les sortir de là, un jour ou l'autre. Je ne voulais pas me venger car je comprenais Konoha, après tout c'est moi, la méchante qui déserte. Je n'avais donc aucun droit de rejeter la faute sur le village, j'étais la seule responsable. Cela me hantais tous les jours pendant mon voyage, mais ce n'était qu'une petite punition comparée à ce que j'avais fait à mes parents. J'étais enfin arrivée à la montagne, fallait-il encore la gravir, le village se trouvait à son sommet, un entrainement de plus pour moi. Et ce fut très pénible, plus je montais plus l'air se faisait rare, mes jambes semblaient lourdes, je manquais de m'endormir plusieurs fois, mais si je fermais les yeux, c'était la mort qui m'attendait au réveil. Et dire que des gens s'entrainaient au sommet, l'air devait y être rare, comment font-ils? J'étais perdu dans mes pensées, mon corps continuait de grimper mais je n'étais plus là. Cela devait être la volonté qui m'animait. Des portes, je pouvais voir l'entrée, d'un coup je revins à moi, j'étais arrivée, mais je ne pensais pas que l'accueil allait être chaleureux. Je me fit arrêter dès mon arrivée, l'on me questionna sur mes intentions, et étrangement ça n'avait pas l'air de les gêner que je sois là. Mais je sentais une tension, oui c'est cela, je n'étais pas non plus à ma place ici. Konoha... pourquoi je repensais à ce village de malheur?! Tous mes problèmes venaient de ce lieu. Non, non ce n'était pas la faute de Konoha, mais bien la mienne. Si je n'avais pas déserté mes parents seraient libres. Tout était de ma faute finalement, je m'en étais rendu compte trop tard. Mais de là à retourner là-bas, c'était de la folie. Je me voyais mal renter au village devant le Kage et demander si je pouvais revenir comme ça. Mais je ne me sentais vraiment pas chez moi ici. Je voulue repartir de Yousu mais l'on m'imposa un jutsu pour que j'oublie jusqu'à l'existence même de ce village. Quand je revins à moi j'étais en bas de la montagne avec une seule idée fixe, retourner à Konoha. Plusieurs jours de marche, plusieurs pauses thé et j'étais enfin arriver. Les portes de Konoha. Je les regardais avec appréhension. Qui me disait que ce n'était pas la mort qui m'attendait derrière ces portes? Je n'en savais rien. Je pris mon courage à deux mains et avançait. Un homme se trouvait devant. Je ne le voyais pas très bien car la chaleur brouillait ma vision. Encore quelques pas. C'était le Kage. Pourquoi m'attendait-il? Tout en avançant je frissonnais de peur. Qu'allait-il se passer? Il me proposa un marché. Si je revenais à Konoha, j'écoperais de plusieurs mois de prison pour punir mon geste, mes parents seraient libéré. Et à ma sortie de prison je serais prise en charge pas le Kage lui-même pour être surveillée. C'était un marché dur pour regagner la confiance d'un village, mais c'était ce que je voulais. Je signais notre marché d'une poignée de mains et pris le chemin de la prison.
Je venais de sortir de la prison et je pouvais voir Yozo Hoshikuma, le kage de Konoha qui m'attendait. Comme promis, je devint son élève pour qu'il ai un œil sur moi. Tout était à refaire, la confiance, l'honneur, je le devais bien à ma famille. by Del's |
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