Re-bienvenue ? Euh, juste bienvenue xD Non je ne suis pas Nae', je suis tout simplement un ami de Yozo qui m'a proposé de venir et d'incarner son jeune frère ^^ Sinon merci pour code.

Ce n'est pas bien grave, après tout l'erreur est humaine ^^ En tout cas, je poste ce message pour vous dire que j'ai finis ma présentation. Comme vous pourrez surement le remarquer l'histoire n'est pas mon fort xD

Cordialement, Shi'.

« Racontez comment vous avez appris le décès de vos parents quelques temps après avoir emménagé à Konoha Gakure No Satô, on a tenté de vous le cacher durant une journée entière, en vain : un paysan en état de choc parce ce qu'il venait de voir vous a informé de la triste nouvelle alors qu'il se saoulait à la cafétéria du village. Apparemment, ce serait deux Ninjas d'Ame qui se seraient chargés du meurtre. Vous êtes partagé entre deux choses : avertir votre frère aîné et devoir attendre l'aube pour partir avec une escouade Ninja au cas où des ennemis seraient encore sur les lieux ou alors partir de suite, seul. »



La vie à Konoha est un vrai plaisir. Tout le monde vous aide et vous soutien et très peu de gens, voire aucun, ne vous veulent du mal. Cela ne fait certes qu'un an que j'ai aménagé ici mais je n'en m'en séparerais pour rien au monde si ce n'est pour retourner voir mes parents. Je comprends à présent pourquoi mon frère avait décidé lors de ma naissance de rester ici et de devenir un ninja. De plus si il est vraiment devenu Hokage il doit surement être très fort. Je ne l'avais encore jamais vu depuis ma naissance et les seules choses que je sais à son sujet sont celles que ma mère m'a raconté. Je me l'imaginais tel un héros, imposant et puissant mais aussi généreux et courageux. Un véritable Kage. J'avais tellement envie de le rencontrer mais j'attendais le moment opportun. S'il était bien et bel le chef du village il devait avoir eu vent que son jeune frère était devenu Chûnin. Je préférais attendre que ce sois lui qui me contacte. C'est ainsi que je restais dans mon coin, m'entraînant avec mon équipe tout en faisant des missions. Je devenais de plus en plus fort et c'était surement grâce à mes coéquipiers. Avec eux, je me sentais extrêmement. Évidemment, nous avions eu notre lot de missions échoués mais aussi des jours tristes mais nous nous sommes toujours relevé pour le bien de notre mission et du village. Je commençais à comprendre que dans ce village, les coéquipiers ont une grande importance. On est toujours plus fort ensemble que seul. En tout cas aujourd'hui est un jour de repos. Notre sensei nous en a laissé eu puisqu'on revenait d'une mission à l'extérieur du village. Je comptais bien en profiter pour faire un tour dans le village et qui sait même d'aller aux source chaudes.
C'est alors qu'un bruit assourdissant vint perturber mes pensées. Je n'étais pas tout à fait endormi, je réfléchissais à ce que j'avais accomplis depuis mon départ de chez mes parents. Mais maintenant grâce à mon réveil j'avais quitté le merveilleux monde d'Orphée. Je me retrouvais à présent éveillé, bien que légèrement dans les vapes. Je fis valsé la couverture tout au bout du lit pour pouvoir me lever. La première chose à faire : cesser ce bruit. Pour ce faire je donnais une petite tape sur le dessus de l'appareil et celui-ci arrêta tout de suite de me faire mal à la tête. Après avoir passé les mains dans mes cheveux histoire de me peigner je partis à la cuisine pour me préparer un petit déjeuner digne de ce nom. Toast, lait, jus d'orange : tout ce qu'il faut pour faire le plein de vitamines et de protéines ! Je ne fis que quelques bouchées des toasts tout en prenant le soin de les tremper dans mon bol de chocolat. Alors que je finissais de boire mon verre, quelqu'un vint sonner chez moi. J'étais assez curieux de savoir qui pouvait bien venir chez moi à cette heure-ci. Cela ne pouvait être que le sensei ou alors un de mes deux coéquipiers. Je fus un peu triste de ne pas finir mon jus d'orange tout de suite mais j'eus tout de même le courage de me lever et d'avancer jusqu'à la porte. C'est tout en ayant une mine affreuse et en portant mon pyjama que j'ouvris la porte. Apparemment c'était une blague puisqu'il n'y avait personne. Certes j'entendis des bruits de pas s'éloignant mais je n'avais vraiment pas envie de partir à la poursuite des gamins qui ont fait cette farce. Je partis directement à la douche sans finir mon verre, cette gaminerie ne m'avait pas mis de bon humeur. Et pour arranger tout cela, puisque je n'étais pas bien réveillé je finis par glisser en plein sur le tapis. Mais ce ne fut pas tout, avec ma chance je basculai dans la baignoire tout en m'enroulant dans le rideau de douche qui se décrocha sous mon poids. On aurait dit un vrai cadeau, bien emballé. J'eus du mal à m'en défaire mais une fois ceci fait je pus prendre mon bain tranquillement.
Après une trentaine de minutes, le temps pour me détendre après ces évènements assez fâcheux, je pris mes habits habituels c'est-à-dire un magnifique T-shirt gris recouvert d'une petite veste jaune mais aussi un pantalon noir. C'est plein d’entrain que je sortis de chez moi tout en prenant le soin de bien fermer la porte. Je pouvais à présent partir faire un tour en ville histoire de me vider la tête. Un jour de repos cela ne se refuse pas après tout. Ma première destination était évidemment le cinéma. Un bon film de combat et d'action ne me ferait pas de mal, et puis cela pourrait peut-être me donner des idées d'entraînements qui sait. En plus la salle était quasiment vide, à part deux ou trois personnes âgés il n'y avait personne. Je pus donc m'assoir au tout premier rang avec mon paquet de pop-corn.
Ce n'est qu'après deux heures que je ressortis de la salle. J'avais déjà passé une bonne partie de la matinée. En plus on n'avait qu'un jour de repos donc si je voulais me détendre, j'allais devoir tout faire en un jour. Cinéma, restaurant, sources chaudes, une chose est sûre c'est que je veux tout faire ! Il me restait un peu plus d'une heure avec de manger, je décidais donc de me rentre aux sources. Rien de tel qu'un bain d'eau chaude pour se détendre et faire le vide dans mon esprit. J'étais plutôt impatient d'ailleurs car depuis mon arrivée ici je n'avais pas encore eu l'occasion d'y aller ne serait-ce qu'une seule fois. De plus j'avais de la chance car elles ne se trouvaient qu'à quelques pas du cinéma. Je fus vite arrivé et je pus rapidement déposer mes affaires et aller dans le bain des hommes. J'étais tout seul et c'était tant mieux. Je pus accouder ma tête contre un rocher tout en fermant les yeux. J'en perdais même la notion du temps puisque je m'endormis. Mais je fus rappeler à la réalité par mon ventre, ce dernier ne loupant pour rien au monde un repas. Il m'extirpa de l'eau et il me fit presque sortir de l'enceinte sans prendre mes habits. Une fois habillé, je me pressais pour aller chez Ichiraku. Je comptais bien lui dévaliser tout son stock ! Durant le trajet, je croisais quelques Juunins et autres ninjas importants du village. En me regardant ils avaient l'air malheureux, comme s'ils savaient des choses perturbantes à mon sujet. Mais après tout, peut-être que c'était mon imagination qui me jouait un tour. C'est avec la conscience tranquille que j'arrivais chez Ichiraku. En un an, j'avais du allé plus de trois cent fois dans ce fabuleux restaurant et parfois même je ramène quelques ramens pour les manger chez moi le soir. Comme à mon habitude je pris le siège tout à droite pour pouvoir m'accouder au mur tout en mangeant.

« Bonjour ! Je voudrais trois bols de ramens pour commencer Teuchi ! »

« Je te fais ça Shimei. Tu ne veux rien en plus ? »

Je lui fis alors un non en bougeant ma tête de gauche à droite. Il me tardait vraiment de commencer à manger surtout les ramens que Teuchi prépare. Ils sont vraiment fabuleux avec leur sauce succulente mais aussi les nouilles et les narutomaki. Je n'eus qu'à attendre une demi-dizaine de minutes avant de pouvoir déguster le premier ramen de ce repas. Ce fut une vraie explosion gustative dans ma bouche. Tellement bon que je le finis assez rapidement. J'empilais un à un les bols sur le comptoir à côté de moi. Je devais déjà en être au moins à quatre et je commençais à peine à avoir le ventre remplis. Alors que je mangeais, j'entendais du grabuge dans la cafétaria d'à côté. Des mots tels que alcoolo ou encore ivrogne fusaient dans tout le quartier. Un paysan se fit alors éjecter de la cafétaria, apparemment trop saoul. Il se dirigea donc vers moi mais il ne m'était pas inconnu. Je l'avais déjà vu quelque part mais je ne me rappelais plus où. C'est alors qu'il vint à côté de moi et semblait plutôt choqué. Bien qu'il empestait l'alcool il réussit à me dire :

« Hey toi *hic* ! J'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer Shimei...Tes parents *hic* ont étaient assa...*hic*...ssinés. On a encore peu d'informations mais app...p...aremment ce sont des ninjas d'Ame. »

Au début je ne le croyais pas trop vu son odeur mais peu à peu je pouvais voir sa sincérité dans son regard. C'est alors que je m'effondrais au sol. Les genoux touchant la terre, des larmes commencèrent à couler sur mon visage. Mon regard se perdait dans le vide. Le monde autour de moi semblait s'effondrer. Je revoyais dans ma tête les visages de mes parents, entrain de sourire. Je ne pourrais plus jamais les voir ? Plus jamais je ne verrais leur sourire...Comment cela avait-il pu arriver ? J'étais tellement anéanti, le paysan tenta de me réconforter mais je le repoussais avant de partir en courant chez moi. Une fois dans ma chambre, je sortis du tiroir une photo sur laquelle je me trouvais avec mes parents. Les larmes continuèrent de couler. Mais je ne pouvais continuer à rester abattu, je devais me rendre là-bas pour en apprendre. J'enlevais les larmes de mon visage avec mes mains pour ensuite me relever. Deux choix s'offraient à moi : le premier était d'aller voir l'Hokage et si celui-ci était bel et bien mon frère il ferait quelques choses mais peut-être qu'il était déjà au courant. Quant à la deuxième option : me rendre seul dans le village le plus vite possible. Il n'y avait pas photo, le deuxième choix était surement le meilleur. Sinon je devrais attendre de pouvoir m'entretenir avec le Kage et cela prendrait trop de temps. Je pris alors rapidement des affaires que je glissais dans un sac avant de partir au Sud, pour me rendre dans mon village natal. Je sortis du village par la forêt, puisque c'était le chemin le plus court et il fallait que j'arrive le plus vite possible. Je ne faisais que courir, sauter de branches en branches. Il ne fallait pas que je perde ne serait-ce qu'une seule seconde. Si ce sont vraiment des ninjas d'Ame qui ont attaqué mes parents, ils devaient viser quelqu'un en particulier. En effet, pourquoi s'en prendre à de pauvres paysans ? Peut-être pour atteindre directement le Hokage, ce qui confirmait bien que ce dernier est mon frère.
Après une bonne heure, je finis enfin par arriver dans mon ancien village. L'hameau n'avait que très peu changé et seul une maison semblait en piteux état : celle de mes parents. Les assassins avaient tout saccagés. Je pris la décision d'entrer dans la maison. Dès le moment où je poussais la porte, des souvenirs remontaient à la surface. Je me voyais encore entrant tout joyeux pour sauter dans les bras de mon père. Mais ce n'était plus le cas à présent. Le sol était fendu, il y avait des traces d'épées sur les murs mais aussi du sang sec. Cela avait du être un véritable massacre. Les dires de l'ivre se confirmait donc. Je n'avais plus qu'une chose à faire : me rendre à Âme. Bien que je ne suis qu'un Chûnin il faut venger mes parents. Je ne peux accepter que des crapules les tues et ne soient pas punis. A peine arrivé, déjà repartis. Connaissant à peu près la géopolitique du monde ninja je savais que le village où je voulais me rendre se trouvait près des frontières Ouest du Pays du Feu. Par conséquent ce fut la direction que j'empruntais. On devait se trouver en plein milieu de l'après-midi et je n'arriverais surement pas avant la tombée de la nuit mais cela ne m'empêcherait pas d'avancer.
Après une course effrénée au travers la forêt et les plaines, je me rapprochais de plus en plus de mon objectif. Alors que je commençais à pénétrer dans une vallée, qui symbolisait surement les frontières, je vis de la fumée s'élever dans le ciel. Au vu de l'heure, quelqu'un était entrain de faire un camp. Je devais recueillir le plus d'informations possibles sur les assaillants de mes parents. Je partis vers le feu et je me rendis très vite compte que ce n'était que de simples brigands mais ceux-ci arboraient le bandeau du village de la pluie. Je commençais à serrer mes points, je sentais la colère monter en moi.

« Hey vous ! Misérable ninjas d'Âme. Que savez-vous sur l'assassinat de deux paysans au Sud du pays du Feu ? Ce sont des ninjas de votre villages qui ont assassinés ces pauvres gens. »

« Héhéhé...Si tu les veux il faut pénétrer dans le village mais je doute que tu es le niveau pour venger ces paysans. En tout cas, tu va rester ici et nous allons prendre plaisir à te dépouiller et à te découper ! »

Encore de minables voleurs croyant pouvoir rivaliser avec des ninjas. L'un deux se lança sur moi sans réfléchir avec des griffes métalliques. Je fis alors un bond en arrière pour esquiver son attaque mais deux autres brigands m'attendaient. Je n'eus d'autre choix que d'utiliser la technique de permutation pour me sortir de cette situation. Ce ne sont pas trois malheureux voleurs qui vont m'empêcher d'atteindre mon but. Un à un, je faisais entrer mes adversaires dans mon Genjutsu. Ces derniers devaient surement être entrain de voir leurs morts. Je m'avançais vers eux, pour pouvoir les désarmer. A ma plus grande surprise, un d'eux avait déceler mon Genjutsu et il réussit à me porter un coup au ventre. J'avais à présent trois entailles à cause de ses griffes mais il avait aussi réduit en charpie mon magnifique T-shirt. Une fois bien éloigné d'eux pour ne pas être à portée de leurs armes, je fis les mudras d'une technique Raiton. Le ciel fut alors parcouru d'éclair et quelques uns s'abattirent sur le champs de batailles. Un des ennemis fut touchés et un éclair arriva assez près de moi sans trop me faire de mal. Le problème avec cette technique est que les éclairs frappent un peu n'importe où et parfois cela peut se retourner contre nous. En tout cas un des voleurs avait déjà son compte, il n'en restait plus que deux. Sans plus attendre, je lançais une seconde offensive :

« Suiton - MizuRappa ! Raiton - Jibashi Ri ! »

Après avoir exécute une première série de signes un jet d'eau sortit de ma bouche. Suivant la deuxième série de mudras. C'est alors que de l'électricité parcourut mes doigts. Combinant ce Raiton avec mon Suiton, les dégâts allaient être considérables. Un des deux brigands restants fut mit K.O. Il n'en restait à présent qu'un seul et ce dernier se battait avec son katana. Malheureusement pour moi j'étais assez épuisé. Sous l'effet de la colère je consommais inutilement du chakra dans mes attaques. Mais c'était finis, il ne restait plus qu'un adversaire et cela allait être vite réglé. Alors que je réfléchissais à ma prochaine offensive mon ennemi réussit à me toucher et me fit une légère entaille sur la joue. Si je n'aurais pas esquivé il m'aurait surement décapité. Je fis alors trois clones de moi-même. L'ennemi les trancha tous jusqu'à arriver à moi. Il me planta alors son katana dans le ventre. Mais ce n'était pas finis, ce n'était qu'une simple illusion et ces clones sont particulièrement résistant. Tout ceux tranchés se relevèrent en se divisant en deux ce qui augmenta le nombre de clones. Et même celui que l'adversaire avait pris pour moi en était un car je m'étais caché dans la nature environnante. Je devais faire vite car ce Genjutsu était assez gourmand en chakra. Je profitais de la confusion de l'ennemi pour me fondre au milieu de mes clones et porter une attaque avec les griffes métalliques d'un des autres voleurs. Ce fut le coup de grâce qui donna fin au combat. Pendant quelques instants je tombai sur mes genoux. J'étais assez essoufflé et ma blessure au ventre saignée. Il fallait que je rentre au village. Lorsque je me levais, je remarquais que leur bandeau était rayé ce qui signifiait qu'ils n'étaient plus d'âme mais des déserteurs. J'aurais du dès le début allait voir l'Hokage. Si trois brigands de bas niveaux réussissent à me mettre dans cet état alors les assassins de mes parents m'auraient réduit en charpie. C'est exténué mais aussi déshonoré que je rentrais à Konoha. J'aurais aimé retourner dans le passée pour modifier mon choix mais maintenant que cela était fait je ne pouvais plus rien faire.