« Ceux qui ne respectent pas les règles sont considérés comme des moins que rien mais ceux qui abandonnent leurs amis sont encore pires. »
 
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 Sayuchii Yuni [Over]

Invité
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MessageSujet: Sayuchii Yuni [Over]   Sayuchii Yuni [Over] EmptyJeu 7 Avr - 12:22
Sayuchii Yuni Feat Noctis Lucis Caelum
17 ans - Épéiste Légendaire - Kiri -

Honnête - Énergique - Loyal - Amical
Maladroit - Casse cou





First


Nom :Yuni
Prénom :Sayuchii
Âge :17
Sexe :Masculin
Village demandé :Kiri
Affinité(s) choisie(s) :Suiton
Grade souhaité :Épéiste légendaire
Avez-vous lu les règles ? Mada' confirme !

Techniques:





What Else


Description physique :
Mesurant un mètre quatre vingt cinq pour soixante quinze kilo, il est de loin le kirien le plus séduisant du village après bien entendu le Mizukage dont la beauté ne peut être comparée a rien existant dans ce monde. Un regard froid et noir, voila comment peuvent être décrits ses yeux qui sont d'un noir profond et intense, un noir abyssal, plus noir que la nuit elle même. Une coupe de cheveux dont on a pas l'habitude de rencontrer mais qui a son charme et qui le rend d'autant plus mystérieux.
Il est vêtu d'un simple pantalon et d'une veste en cuir d'un très bon gout qui lui permettent de ne pas avoir froid durant les périodes de pluie incessantes des la saison des pluies très redoutée des non habitants de kiri.
Il possède plusieurs armes dont une épée qu'il garde constamment avec lui car selon lui elle enfermerait le souvenir et une partie de l'âme de ses parents ce qui lui est très cher. Les autres armes sont en fait deux épées deux lances et deux armes lance kunais. Il n'utilise d'ailleurs ces dernières qu'en cas de nécessitée absolue et encore il n'y pence pas tout le temps.

Description psychologique :
Sayuchii est en fait très simple d'esprit mais tout de même pas simplet comme dans les sept nains. Il ne pense qu'au meilleur et ne pence jamais aux choses négatives. Il se dit toujours qu'il existe quelque chose de pire que ce qu'il est en train de vivre et cela lui permet de surmonter les épreuves les plus difficiles dans sa dure vie de ninja ce qui n'est pas tout les jours faciles. Il ne pence d'ailleurs jamais aux conséquences de ses actes même si ceux ci sont souvent d'une imprudence et d'une folie extrême.
Il veux s'améliorer de jours en jour ce qui le pousse a faire des choses insensées et souvent stupides d'ailleurs ce que le Mizukage lui reproche souvent durant ses missions d'espionnages qu'il met en péril mais il reste un excellent élément dans les rangs de Kiri.
Sont attitude envers les villageois et les personnes pauvres est souvent exemplaire et remerciée de tous et reconnue dans plusieurs pays du monde ninja.

Histoire :
Je suis né avec mes six frères un beau matin d'été en rase campagne. Malheureusement, je n'ai jamais connu le bonheur de voir ma mère, ni mes frères d'ailleurs. Très jeune après notre naissance nous avons été dispersés à travers les différents villages tel que le disait la prophétie de notre famille. Nous étions les élus. Cette prophétie annonçait la venue aux monde de sept enfants qui pourraient à tout jamais changer le monde shinobi. Cette prophétie disait aussi que nous aurions chacun une affinité différente ce qui fut le cas. J'ai été choisi pour maitriser la force de l'eau et avoir une affinité suiton. On nous a prélevé du sang pour nous lier à des armes qui ont été forgées à l'occasion de notre naissance et que nous pouvons à présent faire apparaitre à n'importe quel endroit et à n'importe quel moment il nous suffit seulement d'appeler l'arme avec notre pensée. Personnellement je trouve que j'ai eu de la chance car à la place d'avoir une seul arme j'ai eu toute une artillerie rien que pour moi. Après ces quelques jours passés ensembles, nous furent séparés. Un dans chaque village comme le disait la prophétie, prophétie qui ne se réalisera surement jamais. En effet, j'ai appris de sources sure que deux de mes frères on disparus et ne sont jamais arrivés dans leur village. Cette soit disant prophétie disait que nous serions poursuivis jusqu'à ce que nous ayons changé ce monde, mais nous ne le changerons surement jamais. L'espoir que l'on vous donne n'est que mensonge. Personnellement je pense que vous devriez plus vous amuser tant que vous le pouvez. Une grande guerre est sur le point d'éclater et je serais au front parmi les premiers à combattre et a protéger ce village qui m'est cher. Enfin bref je bifurque un peut beaucoup là; reprenons donc le cour de l'histoire. Comme je disait nous arrivâmes dans notre village respectif et commencions chacun de notre coté notre entrainement. Depuis ce moment je n'ai plus jamais entendu parler des mes frères et n'ai plus eu de nouvelles d'eux. Mon but à ce moment là était de m'améliorer pour devenir toujours plus fort et pouvoir retrouver tous mes frères encore en vie. Mais mes illusions se sont vite effacées, à votre âge j'étais déjà beaucoup plus fort que n'importe lequel d'entre vous mais cela ne suffisait pas, il me fallait atteindre un niveau encore plus haut. C'est pour cela que je m'entrainais au maniement de mes armes pour arriver a ne jamais me faire blesser durant un corps à corps. Peut après que j'eus commencé cet entrainement, les missions s'enchainèrent mais jamais je n'avait le temps de chercher l'un de mes frère dans les villages où ma mission se déroulait. Ceci me remplit de chagrin mais me donna une volonté de fer et une certaine joie de vivre. C'est depuis ce jour que je souris machinalement toute la journée, j'ai appris à trouver un bon côté à chacune des choses existantes dans se monde et celles dont je n'ai jamais pensé je les oublie et me dit qu'il existe pire quelque part et que dans ce pire que je connait il y a du positif.

Les années sont passées depuis ce bon vieux temps et je n'ai pas changé, non jamais, jamais je n'ai voulut ni pu changer quoi que ce soit de ma vie à part au moment où j'ai appris la mort de mon père. Cet événement me mis hors de moi, je ne sortait plus durant des durées indéterminées et répétitives. Mais le jour où je suis ressortit de chez moi, c'était à cause d'une lettre de la banque de Kiri. Celle ci m'informait que la fortune léguée par mon père m'attendait et que si je ne daignait pas aller la chercher, elle serait envoyée au bureau du mizukage qui s'en servirait surement pour financer les armements des ninjas de notre village. En allant à la banque, je devais passer par un quartier pauvre, ou plutôt une espèce de bidonville où le village de kiri n'envoie aucune aide financière pour aider ces braves gens innocents à changer de milieu social et à vivre comme tout le monde. L'argent de mon père à été naturellement récupéré et distribué à ces gens dont le village ne fessait pas attention. Moi ? Pourquoi ? Et bien parce que je n'en avait pas besoin, mon salaire de juunin me permettait de faire des dons et de vivre aisément sans se soucier de mes dépenses qui n'étaient, je doit l'avouer, pas nombreuses. J'achetais de quoi me maintenir en vie et de quoi entretenir mes armes et ma maison, le reste je n'en avait rien à faire. Je ne me souciait que des choses importantes à mes yeux comme la sécurité de vous les plus jeunes et des plus vieux comme vos grands parents.

Le doute s'installait peu à peu en moi, alors que je n'avais pas réussi à arrêter ce qui me paraissais un criminel. De plus, mon cœur semblait basculer vers la haine, mes actes n'étaient plus aussi purs qu'avant, j'attendais toujours cette autorisation de sortir du territoire de Kiri, sortir pour partir chercher mes frères, et ainsi, accomplir notre destinée. Je n'avais aucune source concernant la position de chacun d'entre eux mis a part les paroles d'un vieil homme qui semblait en savoir plus sur ma famille que moi même. Cet homme avait réussi à me changer, un changement brutal et inattendu venait de se faire en moi. Cela s'était passé deux heures auparavant. Je voulais relancer le mizukage pour qu'il m'accorde enfin cette faveur que de me laisser partir du village, j'ai alors croisé sur mon chemin un vieil homme qui voulait me raconter comment arriver jusqu'à mon but. Comme il me semblait sincère, je l'ai écouté, peut être n'aurais je pas du faire cela. Ces mots ne furent pas violents mais ils retraçaient ma vie, mieux que si je la racontais moi même. Puis il me dit que je devais suivre le mal d'amour jusqu'au pays de Kumo.

Le mal d'amour ? Mais qu'est ce que cela pouvait alors signifier ? Je me hâtais alors de faire des recherches concernant une chose nommée "mal d'amour". Mes seules sources étaient la définition d'un mal d'amour et un livre dont le titre traduit voulait dire mal d'amour. Loveless, un chef d'œuvre pour certains une simple pièce pour d'autres. Et si tout était lié, si le vieil homme m'avait comme ouvert les portes d'un nouveau monde ? Si il m'avait offert la chance de partir ? Bien que le patriotisme ne soit pas mon fort, je ne voulais pas devenir un criminel, un déserteur du village de Kiri. Mais je n'avais pas le choix, personne ne croyait en la légende de mon clan, les gens rigolaient quand je leur en parlais ou en demandais plus d'informations. Cela devait cesser. Ma décision était prise, j'allais déserter, et quiconque se mettrait en travers de ma route le paierais de sa vie.

Je devais sortir du village, je ne voulais pas causer de damages au village mais ma route m'indiquait le contraire. Je devais faire une sortie grandiose pour montrer au monde la puissance des Yuni. Ma prochaine escale était les portes du villages où je ferais parler de moi. Je me dirigeais alors vers la sortie, l'endroit où je ne pourrais plus faire demi tour. Mon heure de gloire avait sonné, ce n'était pas la gloire que j'attendais mais l'important était de faire parler de moi. Non pas pour rire mais pour faire savoir aux autres Yuni que j'arrivais pour les chercher.

Les portes majestueuses du village de Kiri me donnaient un dernier moment de paix et de tranquillité avant la longue route que j'allais alors entamer. Je n'arrivais cependant pas à faire un acte mal honnête. Mon corps refusait de tuer. Je n'avais pourtant pas le choix, il fallait que je bascule ne serais ce que le temps de m'en aller. Des larmes commençaient à couler de mes yeux, je tremblais, je ne pouvais plus avancer. Un jeune garçon est venu me consoler, il s'inquiétait pour moi, se faisait du souci à mon sujet. Mon regard devint tout à coups froid, je pensais à de la violence, à la mort de ma mère à ce moment. Ma main se leva vers le ciel lentement. Une épée apparu dans la paume de ma main, quelques secondes plus tard, dans un éclat de cristal provoqué par l'apparition de mon arme, on vit une trainée de sang au sol. Le jeune garçon venait de périr de ma main. Moi, le juunin de Kiri, un ninja respecté du village, connu dans presque tout le monde shinobi, venais d'annoncer une nouvelle ère, mon ère. Le temps du sang venait de marquer son commencement, je ne comptais pas m'arrêter là.

Il y avait onze personnes à coté des portes du village. Onze personnes qui ne feraient pas long feu face à moi. La haine m'envahissait peu à peu, mon chakra devenait froid, mais pas pour longtemps. Ceci n'était qu'une diversion, mon âme pleurait des larmes de sang, souillée à jamais par ces actions. La seule façon que j'avais de me racheter, c'était d'accomplir ma destinée. Mon bras droit se mis à l'horizontale, faisant apparaitre cette fois ci une grande hache dans ma main, j'entamais un peu plus mon œuvre à chaque geste que je faisais. Sur onze personnes, j'en laissais vivre une seule, une personne qui devais annoncer aux autres le départ de Sayuchii Yuni.

_ Dit aux autres personnes du village que je m'en vais, je ne suis plus comme avant, je tuerais tous ceux qui se mettrons en travers de ma route. Et peu être pour la première fois de ma vie, je ne plaisante pas.

Mon regard froid émanant de mes yeux d'une couleur étrangement rouge lui avait glacé le sang, il ne bougeait plus, ne pleurais plus. Je connaissais chacune des personnes que j'avais, à ce moment là, tué. Je partais alors vers d'autres horizons, laissant derrière moi mon ancienne vie. Ma nouvelle vie semblait alors beaucoup plus excitante que celle que je menais jusqu'à présent. A présent je devais trouver une personne pour m'accompagner, le vieillard m'avait dit de chercher le mal d'amour du coté de Kumo, un village où les ninjas utilisent la foudre, ce ne serait pas tache facile mais je devais le faire. Le vieil homme m'avait aussi dit que les ninjas Yuni avaient été répartis selon leur affinité. Il me semblais donc normal que le ninja de feu se situe à konoha, la terre à Iwa, le vent à suna et la foudre à Kumo. Il manquait alors plusieurs de mes frères dans mes calculs. Ce pourrait il que nous étions plusieurs dans un même village ? Seul l'avenir nous le dira. Je m'enfuyais alors à bord d'une barque dans la grande étendue d'eau séparant Kiri du reste du monde shinobi. J'avais emprunté pour ne pas dire volé le livre du nom de Loveless dans une librairie, ce livre me fut difficile à trouver, il n'y avait qu'une librairie dans kiri qui le vendait. Sur ma barque, je commençais alors à lire les aventures des trois amis recherchant le don de la déesse.

J'avais décidé de me rendre à Suna pour m'exercer et trouver de nouvelles recrues ou bien une organisation qui pourrait me rendre service tant qu'à faire. Je voulais retrouver mes frères plus que tout, mais il me fallait dans un premier temps m'exercer et devenir plus fort que je ne l'était déjà. Moi Sayuchii Yuni ex juunin du village caché de Kiri no kuni. Le désert était très vaste, comment alors trouver un village de sable au milieu d'une immense étendue de sable ? Je n'avais ni carte, ni autre subterfuge me permettant de localiser un endroit précis au milieu de nul part.

La chaleur se faisait de plus en plus intense au fur et à mesure que je m'enfonçais dans cet interminable désert. Le sable fin s'attaquait à mes chaussures tellement il était brulant. Les mirages commençaient à m'atteindre et je n'avais plus beaucoup d'eau. Tout devenait flou je n'arrivais plus à me retrouver. Bientôt, ma tête commençait à me bruler, mes pas devenaient hésitant. Mon corps n'était pas habitué à de telles conditions. Partir d'une humidité constante pour arriver dans la sécheresse la plus totale n'était pas de tout repos. Mais ce n'était pas le moment de penser à tout cela, l'avenir m'attendais, un aire de prospérité s'élèvera lorsque nous règnerons mes frères et moi sur ce monde shinobi. Mais avant tout cela il fallait encore les retrouver. Quelques fois je m'imaginais que mes frères seraient aussi partit sur la même route que moi. Mais c'était peu probable, ils devaient vivre une existence tranquille sans se préoccuper de notre sort à tous.

Mais pas le temps de repenser à tout cela, mon corps ne répondait plus, je tentais de porter ma gourde presque vide jusqu'à ma bouche pour en récupérer les dernières goutes. En vain je m'écroulais alors dans ce sable ardent, ma peau me brulait, je me sentais partir. Pas maintenant, il ne fallait pas mourir maintenant, tant de risques pour rien ? C'était impensable pour moi.

Je pris ma gourde, a bout de force je parvins alors a la faire glisses jusqu'à mes lèvres saignantes, quelques goutes sortirent, de quoi me donner un peu de force pour continuer ma marche. Je me demandais comment serait le village du sable. JE reprenais ainsi ma marche, pensif, pensant a mon avenir, celui du monde aussi, pourquoi un guerre shinobi déchirait elle une fois de plus ce si beau paysage. La température semblai monter de plus en plus au fur et a mesure des pas que je faisais, il fallait que j'atteigne ce village au plus vite si je ne voulais pas succomber avant. Je devais me dépêcher, les nuits étaient réputées dangereuses dans le désert. Surtout durant cette saison.

La chaleur diminuait alors tandis que devant moi s'élevait une grande falaise. Une falaise fendue sur toute sa hauteur, laissant alors un passage protégé vers ce qui me semblais être le village de Suna. Me pas se firent plus sur qu'auparavant, je me hâtais d'arriver à destination pour pouvoir me désaltérer. La nouvelle de ma désertion n'était pas encore annoncée jusqu'ici, enfin je l'espérais. Sinon je devrais me battre et dans l'état dans lequel j'étais, je n'aurais pas fait long feu face à des ninjas surentrainés et avec mes techniques faisant appel à l'eau. On parlait aussi jusqu'à Kiri du nouveau Kazekage dont la force et la beauté étaient déjà légendaires.

Je m'approchais alors de la grande brèche dans la falaise, un seul garde était posté devant celle ci, mais je ne voulais pas avoir d'ennui. Je t'entais de passer sans trop attirer l'attention. Je me fit tout à coups arrêter, ce garde me demanda alors pourquoi un ninja de Kiri était à Suna, j'hésitais, il ne paraissait pas d'une rapidité suffisante pour arrêter un de mes coups mais si je faisais cela, la garde viendrait tout de suite sur place et je serais recherché. Il fallait que je trouve une excuse, même une excuse qui ne sert a rien, du moment que je pouvais passer pour aller boire, j'étais prêt à vendre mon âme au diable pour quelques goutes.

_ Je suis ici pour voir un ami de longue date, le Mizukage m'a donné une permission mais je n'ai pas beaucoup de temps je devrais repartir dans peu de temps. Puis je passer ?

Le garde ne posa pas plus de questions, il s'écarta de ma route et me céda le passage, enfin je pouvais entrer dans ce village. A présent, la question était de trouver un lieu ou boire. J'avais pris la peine de récupérer de l'argent au cas où j'en aurais l'utilité. Une affiche attira alors mon regard, une affiche d'un bar, j'étais devant celui ci depuis que j'étais entré, surement un bar qui s'occupe des personnes ayant traversé le désert.

J'entrais dans le bar, les regards se fixèrent sur moi, des ninjas de différentes provenances, ainsi que, un ninja de Kiri. Il devait surement être au courant, peut être était il ici pour avertir les autorités de mes actions. Je n'avais cependant pas le temps de penser à tout cela, qu'en avais je à faire ? Le plus important était de se remettre en forme. Je pris de l'eau, beaucoup d'eau et à manger, à manger pour trois. Le ninja de Kiri ne bougeait pas d'un poil, il était positionné à la table derrière moi. Je l'observais discrètement grâce au grand miroir situé derrière le comptoir. J'avais l'impression de l'avoir déjà vu quelque part. Il faut avouer que j'étais plutôt connu dans tout Kiri, surtout par les habitants en fait, je les aidais souvent à faire des taches trop difficiles pour eux. Cela me faisait plaisir de les aider mais ce temps était révolu.

Je payais donc la note et partis dehors, ce mystérieux ninja me suivait où que je puisse aller, un sourire s'afficha alors sur mon visage lorsque je le vis s'enfoncer dans une sombre ruelle avec moi. Je disparus, le ninja paniquait, son regard ne cessait de changer de direction dans l'espoir de me retrouver. Ma lame se positionna alors sous sa gorge. J'étais derrière lui, je n'avais pas fait tout cela pour me faire arrêter par un ninja de Kiri.

_ Qui t'envoi ? Es tu venu me tuer ?

Tout n'est qu'illusion… Alors, à quoi peu bien servir cette vie que nous menons chaque jours? Les chagrins se succèdent et se ressemblent, mais quand on y pense, il ne sont pas tout à fait les mêmes.Ils nous apprennent à voir la vie d'une autre façon, d'une façon toujours meilleure que l'ancienne. En réalité, ces chagrins nous apprennent ce qu'est la vie. Une succession de défaites menant à une grande victoire. Aujourd'hui, après toutes ces défaites, la victoire est mienne.

Le ninja de Kiri ne bronchait pas et ne disait rien, il avait l'air plutôt calme devant un épéiste renommé tel que moi. En effet, j'avais un don naturel pour le maniement des armes. Mon sang me permettais de manier avec une précision déconcertante dix armes qui m'étaient attribuées. Dans un claquement de doigts, je disparus pour me placer dans le dos de mon adversaire. Suivit un second claquement de doigts qui annonçait souvent la fin, dans un éclat de cristal, une de mes épées apparue.

La fin du ninja de Kiri était proche, personne auparavant n'avait encore contré cette technique. Les claquements de doigts étaient inutiles en vérité, il servaient à déstabiliser l'adversaire qui se concentrait uniquement sur sa vue et son ouïe. La disparition soudaine entraine la panique, ainsi que le second claquement de doigts entraine un réflexe naturel qui est de se retourner sans prêter attention à son environnement. À ce moment là, quelques goutes de sang coulèrent au sol. Du sang d'une rougeur incomparable. Ma lame avait transpercé le ninja de Kiri qui, bizarrement, restait debout malgré la sévère blessure que je lui avais infligé. Sa tête se tourna alors dans ma direction, il avait attrapé mon arme, et me souriait comme ne sentant pas la douleur. Ses yeux pâlirent de plus en plus jusqu'à ce que son corps se change en tas de terre qui emprisonnait ma lame.

Plusieurs clones apparurent, ils commencèrent à m'encercler tandis que je tentais en vain de dégager mon épée de ce tas de terre. Ces clones étaient armés de katana qui semblaient plus tranchants les uns que les autres. Ils se jetèrent tous sur moi, tous en même temps,à ce moment là, je n'eus pas le choix, j'étais obligé de me servir de cette technique en me montrant. Ce n'était pas malin de l'utiliser avec le risque que l'ennemi puisse découvrir son fonctionnement mais si je ne le faisais pas, j'étais condamné à mourir.

De nouveau, un claquement de doigts retentit et je disparu en éclats de cristal au milieu des clones qui continuaient leur route jusqu'à s'écraser les uns contres les autres. Mais cette fois je ne voulais pas rater mon coup, j'étais alors sur de l'avoir. Ma lance apparu dans ma main droite, une nouvelle épée dans ma main gauche, je me téléportais alors à l'endroit où l'une de mes épées était emprisonnée dans la terre. Il ne me fallu alors que quelques mouvements pour éliminer tour à tour les différents clones. Il ne restait plus qu'un tas de terre sans vie autour de moi. Le ninja avait disparu, disparu en ayant vu ma technique héréditaire. Je devais le rattraper mais je n'avais pas la tête à cela, je me rendais peu à peu compte que mes actions avaient fait de moi un ennemi et non pas un héros. Je me devais d'arranger cela, il était de mon devoir d'être un héros et non pas l'ennemi public numéro un, bien que j'étais loin de l'être. Il fallait que je me rattrape, que je fasse des bonnes actions tout en cherchant mes frères parmi la population.


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MessageSujet: Re: Sayuchii Yuni [Over]   Sayuchii Yuni [Over] EmptyVen 8 Avr - 9:36
  • Je confirme tu n'as pas lu les règles ! Allez hop on y retourne et tu trouveras de toi même ce qui ne va pas dans ta fiche Very Happy
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MessageSujet: Re: Sayuchii Yuni [Over]   Sayuchii Yuni [Over] EmptySam 9 Avr - 5:06
Même en ayant lu les règles je vois pas ce qui ne vas pas xD Bon faut dire que la présentation date un peu aussi donc les descriptions sont fait rapidement mais le nombre de techniques correspond, les lignes sont dans les normes après aiguillez moi je vois pas du tout.
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Hideaki Ryūku
MessageSujet: Re: Sayuchii Yuni [Over]   Sayuchii Yuni [Over] EmptySam 9 Avr - 7:21
  • Le nombre de techniques ^^ Pour le moment (j'ai bien dit pour le moment), personne n'est autorisé à posséder plus de 5 techniques avant la validation, bien que la règle soit en cours de changement pour le moment il faudra s'y soumettre. Ensuite il y a quelque chose caché dans le règlement qui te manque Razz
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MessageSujet: Re: Sayuchii Yuni [Over]   Sayuchii Yuni [Over] EmptyDim 10 Avr - 2:55
Voila fini =D
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Hideaki Ryūku
MessageSujet: Re: Sayuchii Yuni [Over]   Sayuchii Yuni [Over] EmptyDim 10 Avr - 5:54
  • - Le code est bon
    - Au niveau des techniques, nous demandons tout d'abord des existantes, tu pourras apprendre les autres en entraînement RP Wink Merci ! (maintenant je passe voir encore une fiche et je m'en vais ^^)
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Suijin Yunokawa
MessageSujet: Re: Sayuchii Yuni [Over]   Sayuchii Yuni [Over] EmptyDim 1 Mai - 4:08
Bienvenue,

Comme le Madara, il faut commencer avec des techniques existantes. J'ai jeté un coup d'œil au grade souhaité, il est claire pour moi que le niveau pour être épéiste... n'est pas là donc, je conseille aux autres staffiens gérant les prez' de ne pas donné le test prévu à cet effet =)

Sur ce je te souhaite tout de même un agréable moment en notre compagnie Wink
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MessageSujet: Re: Sayuchii Yuni [Over]   Sayuchii Yuni [Over] Empty
 

Sayuchii Yuni [Over]

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