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Higure Hayatsu Nukenin - Rang S
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Date d'inscription : 29/05/2011
Passeport Ninja
Grade: Nukenin de Rang S
Points d'Expérience:
    (50/1000)
Techniques:
 |  Sujet: Le retour du Kenpachi Mar 31 Mai - 19:31 | ![]() |  Boku wa Hayatsu Zaraki desu !  Nom : Hayatsu Prénom : Zaraki Surnom : Kenpachi Âge : 43 ans Sexe : Oui, bien sûr ! Masculin Village demandé : Kiri Gakure no Satô Affinité(s) choisie(s) : Suiton - Katon Grade souhaité : Jônin Avez-vous lu les règles ? Est-ce-que tu sais au moins qui je suis ?!! L'Alcoolo Valido ! Techniques :- Suiton - Suiton Mizu Bunshin No jutsu
Cette technique permet de créer une réplique parfaite de soi-même entièrement constituée d'eau. Le clone peut alors parler, se déplacer etc… Néanmoins, au moindre coup il redevient une simple flaque d’eau.
Suiton Mizu Kawamiri
Prenant ses origines dans la technique basique de substitution, elle permet d'éviter les attaques de Ninjutsu, et rend son utilisateur invulnérable face aux attaques de corps à corps et aux projectiles. En effet, cette technique permet de liquéfier son propre corps pendant un temps en utilisant l'eau se trouvant dans son organisme.
Suiton Daibakufu no jutsu
Cette technique est à utilisée sur une surface d’eau plus ou moins vaste. Un cercle d’eau se met à tournoyer derrière l’utilisateur, puis, ayant acquit une certaine vitesse, il se dirige vers l’ennemi en glissant sur l’eau. En glissant sur cette dite eau, il gagne en volume et se transforme rapidement en vague, emportant l’adversaire et le fracassant contre le premier objet venu, le choc étant très violent, il se peut que l'adversaire soit étourdi voir évanoui par la suite
Suiton Bakusui Shouha
L’utilisateur prend une grande inspiration et, à l’aide de son chakra, recrache un énorme volume d’eau. En effet, l’eau est en telle quantité qu’elle transforme totalement le terrain de combat en un lac, facilitant ainsi toute autre utilisation de jutsu Suiton. De plus, le Bakusui Shouha, tout comme le Suishouha, produit un raz de marrée important qui se projette sur l’ennemi (bien que ce ne soit pas son utilité première). Inutile de préciser qu’il faut une réserve de chakra immense pour un tel jutsu !
Suiton MizuKamikiri
Le Shinobi assène un violent coup de pied au le sol afin de faire remonter l’eau contenue dans ce dernier. Ceci fait, l’eau, à demi engloutie sous le sol et à moitié présente à l'air libre, devient aussi tranchante qu’une scie. Elle fuse alors vers l’opposant pour le découper en deux.- Katon - Katon Kasumi Enbu No Jutsu
Le Shinobi, comme pour toute attaque Katon, inspire afin de gonfler ses poumons. Néanmoins, il ne recrachera pas des flammes mais bien une sorte de brouillard. Si cette étrange brume entre en contact avec une flamme ou même une étincelle, il prend immédiatement feu.
Katon - Haisekishō
L'utilisateur crache un nuage de cendres, puis claque des dents, ce qui crée alors une étincelle provoquant une puissante explosion. Katon Dai Endan
Technique en tous points semblables au « Katon Endan » à l’exception près que la boule de feu est trois fois plus grosse et que les flammes ne semblent pas s’éteindre même lorsque l’utilisateur a fini d’en expulser.
Katon Karyuu Endan
L’utilisateur gonfle au maximum ses poumons et expulse à une vitesse hallucinante un gigantesque et puissant jet de flammes en échange d’une grande quantité de chakra. Esquiver ou parer cette technique est extrêmement difficile tant la chaleur provoquée par les flammes est intense et le feu rapide.Description physique : x Une description physique ? Et bien il y a beaucoup à dire, même si un simple mot peut suffire à cela : Impressionnant ! Voilà comment décrire Zaraki.
Du haut de ses 202 centimètres, il est le plus grand shinobi que Kiri ait pu compter parmi ses rangs. Par ce fait, jamais personne ne lui a manqué de respect. Ajoutez à cette taille incroyable ses 90 kilogrammes, et vous comprendrez pourquoi il est tant craint. Cependant, ce n'est pas la seule particularité physique qu'il possède, bien que cela pourrait être suffisant pour faire pâlir de nombreux ninjas. Commençons donc par la tête, et finissons par les pieds ! Nous aurons donc une description de la tête aux pieds ! Ha ! Je jubile !! Hém...
Zaraki n'est pas vraiment un beau garçon, même si dans sa jeunesse, il l'a été. Ses cheveux, coiffaient en pique, au sens propre, arbore de petite clochette au bout, qui émettent un sons de clochette (non, sans blague !) lorsque le vent souffle, ou qu'il se déplace. Son regard, à la couleur noire ou bien jaune, s'il utilise son chakra, est froid et plein de rage. Une grande cicatrice parcourt la partie gauche de son visage, commençant du haut de son front, passant sur son œil gauche, qui par chance a été épargné, et fini au bas de la mâchoire. Un cache-oeil est, quant à lui, placé au niveau de son globe oculaire droit, qui ne sert cependant pas à le dissimuler. En effet, ayant un surplus d'énergie, égale à celui d'un Jinchuriki, Zaraki a, lors de l'un de ses voyages, découvert une espèce animal, pas plus grande qu'un ongle de pouce, capable de se nourrir de l'énergie spirituel. Il a donc trouvait un moyen de la fixer à un bandeau afin que cette créature se nourrisse de son chakra, bridant ainsi lui même sa puissance. Quant à la question : "Pourquoi l'avoir fixé sur un cache-oeil, et pourquoi l'avoir mit en contacte avec son globe oculaire ?" Je peux vous répondre que je ne connais pas la réponse, cependant, je peux vous donner mes suppositions : C'est parce qu'il est taré sans doutes ! Ou bien parce que cet ornement le rend encore plus effrayent.
Il est vrai que cette méthode parait stupide à première vue, mais attendait que je vous l'explique lors de la description psychologique, car j'ai remarqué qu'il y en avait une ! Bref ! Son cache œil entour son crane, et redescend pour faire le tour sa gorge, ce qui permet de bien le fixer.
En temps normal, une expression de colère s'attache à son visage, faisant de lui une personne crainte à n'importe quel moment. Cependant, un sourire sadique vient se coller à sa bouche lorsqu'il sent une énergie puissante, ou bien qu'il aime le combat qu'il mène, ce qui est assez rare vu sa puissance.
Pour ce qui est de sa tenue, elle est toujours la même : il porte sur son dos un Haori sur lequel est cousu le kanji 十一 représentant le chiffre onze. En dessous de cette veste, Zaraki revêt un kimono noir, et sous lequel, au niveau de son abdomen, se trouve des bandages, et ne me demandez pas pourquoi ! Constitué différemment par rapport aux autres, notre quarantenaire n'a aucune cicatrice sur le corps, hors mit celle sur son visage, malgré le nombre de blessures qu'il a put avoir en 43 ans d'existences. Son corps lui permet de subir les plus puissantes attaques sans parfois être couper. Cela est dû à son niveau de chakra hors norme qui crée autour de lui une enveloppe lorsqu'il le relâche entièrement. Quant à sa force physique, elle n'est plus à démontrer.
Le dernier point concerne son sabre, qu'il a nommé Kokoro. Il est vrai que pour un homme de sa trempe, appeler ainsi son arme est ridicule, mais c'est ainsi. La lame est toute édentée, usée par les nombreux combat endurés. La garde à la forme d'un losange cylindrique, et le pommeau est recouvert de bandage. Il le porte toujours à sa ceinture, sur sa gauche, puisque Zaraki est droitier.Description psychologique : x Psychologiquement ? Désordonné ! Ce pauvre Zaraki a subit d'énormes choques tout au long de sa vie. En effet, son seul et unique but est de battre les plus puissants adversaires qu'ils rencontre, et de devenir plus fort s'il n'y parvient pas. Sa rage de combattre remonte à son enfance, et cela dès le plus jeune âge. Il n'a de compassion pour personne, et la mort ne l'effraie pas. De nombreuses fois il a été confronté à cette dernière, et toujours il s'en est sorti entier, ou presque. La douleur physique ne lui fait rien, elle l'amuse d'ailleurs. Plantez lui votre sabre dans une épaule, il vous tendra la seconde en rigolant. Je me demande s'il n'est pas sadomasochiste !
Il aime le combat, et le sous-estimer serait une faute grave, voir mortel. Sa psychologie au combat est très souvent réfléchi, même si, de temps en temps, pour ne pas dire souvent, il se surestime. Mais il n'en reste pas moins un redoutable adversaire. Il n'aime pas vraiment tuer froidement, sans raisons, il ne vit pas pour ça, même si c'est ce qu'on pourrait croire. Ce qu'il désire, lors d'un combat, c'est de s'amuser, et c'est pour cela qu'il recherche de puissants et talentueux adversaires, qui ont de préférence le sens de l'honneur. Son réel plaisir, qui le tuera sans doute un jour, est de combattre jusqu'à la mort, et de gagner. Il se repose trop souvent sur sa constitution physique, et de ce fait, fonce souvent dans le tas.
Oui, Zaraki est un gros bourrin ! Il aime marquer son passage.
De plus, il n'est pas patient du tout, sauf avec quelques personne, chose à ajouter en plus d'être nerveux, agressif, arrogant, et sauvage. Son sens de l'orientation est, quant à lui, totalement détraqué.
Mais attention ! Zaraki a aussi des qualités ! Il peut aussi être gentil ! Il est amusant quand il veux, et selon avec qui il est ! Ce n'est pas toujours une brute sanguinaire ! Il peut même sourire... De temps à autre ! Cependant, il possède une qualité qui lui offre le respect des plus hors gradés : Son sens de la justice et de l'honneur. En effet, pour lui, l'injustice n'est pas tolérable, et il irait même jusqu'à affronter ses alliés pour cela.Histoire : x Membre du clan Hayatsu, il est celui qui a donné à sa famille la réputation qu'elle possède aujourd'hui, celle du clan le plus doué au sabre et le plus sanguinaire du pays de l'eau.● Un nouveau née surprenant ●
x Zaraki est née il y a de cela 43 ans, après ses deux frères Heiki et Hato. Cinq ans le séparaient du benjamin, et trois ans du cadet. Dès la naissance, il montra déjà des aptitudes hors normes pour un nourrisson, sa capacité musculaire lui avait permit de casser le poignet d'un médecin, et sa quantité d'énergie était trente fois supérieure à celle des autres nouveaux nées. Sa naissance n'avait pas vraiment été désirée, mais lorsque son père se rendit compte du potentiel de l'enfant, il en décida autrement.
Son enfance fut rude, enfin, pour être plus clair, il n'eut pas d'enfance. Étant plus enclin au combat que ses deux frères, il suivit dés son plus jeune âge une formation poussée dans l'art du sabre, le Kendo, tout en passant par l'académie ninja de Kiri. Sa force physique ne cessait pas d'augmenter au fils des années, et son niveau de chakra dépassait l'entendement pour un enfant ne possédant aucun Bijuu. A neuf ans, il entra dans la cour des grands en devenant Genin. A cette époque, personne ne savait qui il était, ni qui il allait devenir, même si certains enfants avaient peur de lui. A cette époque, Zaraki était déjà sombre et peu commode. Il possédait une prédisposition à la violence qui lui fit avoir de nombreux problèmes, car il se battait très souvent avec les autres étudiants, et les amochait suffisamment pour que leurs parents ne les reconnaissent pas. Dans les soucis du jeune garçon, son père voyait un destin bien plus grand que celui de ses deux autres fils, mais bien moins glorieux. Continuant d'apprendre les arts du sabre et du Ninjutsu, dans lesquels il excellait, il se vit devenir Chunin à onze ans, et rejoignit l'équipe dans laquelle commandait son frère ainé Heiki. Sa montée dans la hiérarchie se fit très rapidement, peut être même trop. Car quelques mois après avoir atteint le grade de ninja de moyenne classe, il commit l'irréparable. Un matin, avant de partir pour une mission importante, Zaraki fut provoquer par l'un de ses équipier, lui aussi Chunin. Le jeune Hayatsu, dont la vie ne tournait qu'autour du combat, se laissa emporter par ses émotions et décida de déclencher un combat. Son grand frère, bien que plus gradé que lui, ne put le retenir à cause de sa force, et laissa donc l'affrontement se produire. Le combat ne dura pas plus de deux secondes, juste le temps à Zaraki de sortir son sabre et de perforer le cœur de son compagnon, le sourire aux lèvres. Pour cette action, le shinobi fut emprisonner pendant trois ans dans la plus grande prison du pays de l'Eau, au milieu des marécages, sur les terres inhospitalières du centre.
● L'emprisonnement ●
x Pendant ces trois ans coupaient du monde extérieur, Zaraki garda sa façon de vivre indemne. Propre à ses convictions, disant que le combat est la meilleure manière de communiquer, il se fit rapidement une réputation de bagarreur sans défaites. En effet, en tout temps, tous ses combats s'étaient achevés par une victoire, ce qui attiré la foule à chacun de ses affrontements, aussi bien durant ses trois années d'emprisonnement, que dans le village de Kiri. Il était le plus jeune détenu de la prison, mais également l'un des plus craint. Seul dans sa cellule, il se prenait pour un caïd. Personne n'osait vraiment l'embêter, bien qu'il avait atteint sa douzième années. Puis un jour, un nouveau combat éclata, et la victoire fut rapide. Cependant, son adversaire, dépourvu de tout honneur, une fois au sol, se releva et sorti une lame de sa poche. Surprit, Zaraki n'eut pas le temps de réagir, et reçu le coup sur le côté gauche de son visage. Mais la douleur ne le dérangea pas, et au contraire, il en rigola. Par chance pour son agresseur, des entraves de chakra avaient été attachées autour du cou du jeune Hayatsu pour l'empêcher d'utiliser son Ninjutsu. Cette idée avait été donné par son frère cadet qui connaissait très bien ses capacités ainsi que son caractère. Si cela n'avait pas été fait, l'homme en face de lui aurait sans doute été tué dans les secondes qui suivirent. Donc, au lieu d'utiliser son chakra, Zaraki, d'un mouvement puissant et extrêmement rapide, cogna au visage de l'attaquant, le faisant valdinguer au travers de la cours où il se trouvait, avant qu'il ne traverse un mur et qu'il ne soit stoppé par le seconde. L'homme fut tuer sur le coup, et cela valu au shinobi une mise en isolement jusqu'à la fin de sa peine. Sur son visage se dessinait à présent une cicatrice prenant tout le côté gauche de son visage, du front jusqu'au bas de la mâchoire, donnant à son visage, déjà charismatique, une pointe de lugubre, le rendant encore plus agressif. Durant cet année d'isolement, dans une cellule scellée conçu pour les psychopathes et les dingues, Zaraki s'entraîna durement, accroissant encore plus sa masse musculaire. Son corps était devenu de pierre, mais cet enfermement avait causé en lui des troubles. Depuis ce jour où sa cicatrice fut posée sur son visage, il développa un sens accru de l'honneur. De plus, il devint bien plus agressif et nerveux, et à force de compter les secondes, les minutes, les heures et les jours, il en était devenu impatient.
Puis un beau matin, alors que le Soleil n'était pas encore levé et que silence régnait dans la prison, la porte de la cellule s'ouvra enfin. Une odeur de sueur et de sang s'échappa de la pièce lorsque l'air de l'extérieur rentra, donnant des haut-le-cœur aux deux gardiens. Zaraki, qui avait compté ses jours, était déjà debout, face à l'entrée, dans le noir, et dit arrogamment, le sourire aux lèvres :« Ça fait un moment que je vous attends les gars ! Il était temps ! »Il fut sorti par les deux gardiens et conduit à l'extérieur du complexe, où l'attendait Hato, son frère cadet. Une fois les retrouvailles faites avec un regard froid, et une stupéfaction du au fait que l'enveloppe charnelle du plus jeune avait radicalement changé, en commençant par le visage, ils s'exposèrent les récits de leurs trois dernière années. C'est ce jour là que Zaraki apprit que sa mère, suite à une longue et invisible maladie, était décédée quelques mois plus tôt.
● Retour du Renégat ●
x De retour à Kiri, et à présent craint par bon nombre de shinobis suite à son triste exploit, Zaraki se mit en quête de puissance. Ayant à présent un corps de marbre, il se mit à affronter, lors de combat à main nue, ou au sabre, une multitude d'adversaires, sans jamais perdre. Beaucoup de personnes pensent que les agissements passés de Zaraki ont influé sur la méthode d'entrée à l'académie instauré par le Yondaime Mizukage, mais après, de la à savoir si c'est le cas, même si c'était assez similaire, c'est une question qui restera sans réponse. La réputation du jeunot gonflait au fils des jours et la renommée des Hayatsu se vit grandir en bien. Son père était heureux que son benjamin contribuait au respect du clan, et il continua, sachant de quoi son fils était capable, de l'initier à l'art du sabre, jusqu'aux techniques secrètes et interdites des Hayatsu. Zaraki était le plus craint de tous les Chunin de Kiri, et même les Jônin commençaient à s'en méfier. Son arrogance ne cessait de croitre, en même temps que sa force, et son envie de combattre et de gagner l'obsédait constamment. Puis un jour, sans prévenir, il disparut et fut considéré comme un déserteur.
● L'errance ●
x Pendant plus de cinq ans, Zaraki parcourut le monde à la recherche d'adversaires dignes de ce nom. Nombreux furent ceux, connaissant sa réputation, à se dresser contre lui, et nombreux furent ceux qui moururent suite à leur affrontement. Le jeune Hayatsu, bien que puissant, se retrouvait parfois lui aussi confronté à la mort en même temps que ses adversaires, mais par chance, il survivait toujours. Lorsque ces moments là arrivaient, il avait l'impression que sa mère était là pour le protéger, et bien qu'il ne disait rien, au fond de lui, il la remerciait, même si ce n'était que pure croyance et que la chance était la seule raison. Les cicatrices sur son corps ne restaient jamais plus que quelques jours avant de disparaître, laissant son corps musclé sans une seule égratignure, sans doute grâce à la quantité phénoménale de chakra qu'il possède. Mais un jour, alors qu'il se trouvait dans les terres reculées du pays du Fer, il tomba sur une bien étrange créature. Une petite bestiole, de la taille d'un ongle, s'était accrochée à son cou, lui pompant une petite quantité de chakra. De là, une idée lumineuse lui vint à l'esprit. Il aimait combattre et vivait exclusivement de ça, et pour ça. Mais ses combats étaient souvent trop faciles, et cela à cause de la quantité d'énergie pharaonique qu'il contenait en lui et qu'il utilisait. Ainsi, et pour que ses affrontements l'amusent encore plus, il décida de fixer cette petite créature à un cache-oeil, et de mettre ce dernier sur son globe oculaire droit. A partir de ce jour là, ses combats étaient beaucoup plus intenses et difficiles. Il apprit a s'entraîner avec le peu de chakra qu'il pouvait déployer, même si ce peu était en fait beaucoup. Mais comme toutes bonnes choses a une fin, il fini par s'adapter à ce malus, et revint au point de départ, tout en étant un peu moins puissant.
● La naissance du nouveau Kenpachi ●
x A vingt ans, il marqua son retour à Kiri par une entrée fracassante. Son apparence avait radicalement changée, et il en était fière. Ses cheveux étaient à présent coiffés en piques, au bout desquels se trouvaient de petites clochettes dorées, nouveau malus qu'il s'était infligeait. Et par dessus son kimono noir, un haori était enfilé, sur lequel était inscrit 十一, soit le chiffre 11, symbole de sa chute aux enfers, faisant référence à sa onzième années où il commit son crime, et à partir de quand il devint ce qu'il est aujourd'hui. Ayant grandi durant ces cinq ans, il atteignait maintenant les deux mètres et était aussi aussi large d'épaule que deux personnes normales. Les gardes, en le voyant arriver loin, ne le reconnurent pas. Il déclina son identité, et par la suite, fut bien évidemment conduit auprès du Kage pour expliquer les raisons de son départ. A cet époque, le Sandaime Mizukage n'avait pas encore était assassiné, et adhéré à l'explication de Zaraki, le laissant repartir tranquillement après seulement quelques mois dans les bas fonds de Kiri. Cette courtes périodes de quatre mois passa relativement vite, et le jeune Hayatsu put par la suite retourner parmi les membres de son clan. Ces derniers furent très surpris du retour du plus jeune des trois frères, et lui expliquèrent que leur père les avait quitté lui aussi, et que Hato, le frère cadet, avait reprit la direction de la famille, en plus d'avoir eut un petit garçon. La mort de la figure paternelle n'attrista pas Zaraki, qui d'ailleurs en rigola. Cette réaction était parfaitement compréhensible, car à cause de cet homme, la vie du jeune homme avait été totalement chamboulé. De plus, il avait mieux à faire que de se morfondre sur la mort d'un vieux fou. Après cette nouvelle, il se rendit compte que tous ses collègues de l'académie étaient passé au grande de Jônin, ce qui l'amusa. Il lui fallait également accéder à ce rang pour prouver à tout le village qu'il était le meilleur combattant. De nombreuses personnes le craignaient encore, et il jubilait de voir cela.
En quelques mois, et malgré la contestation de Heiki, le frère ainé, devenu discret dans le village, le Sandaime accepta de laisser Zaraki devenir Jônin, mais seulement à une seule condition : qu'il prouve sa valeur au combat. Inutile de préciser qu'il accepta, et qu'il réussi l'épreuve, avec quelques séquelles évidement. Mais il ne voulait pas s'arrêter là, il visait encore plus haut. Le grade de ninja de rang supérieur lui offrait une opportunité d'affronter bien plus d'adversaires que précédemment. Il se lança donc dans une croisade contre la totalité des shinobis de Kiri de sa promotion, sans bien sûr les tuer. Tous échouèrent face à lui, et il pût enfin s'auto-proclamer Kenpachi, qui désigne le meilleur combattant de sa génération. Dommage que son père n'ait pas été là pour voir ça.
● De lourdes responsabilités ●
x Deux années s'étaient écoulées depuis sa nouvelle promotion, et un heureux événement se produisit. En effet, les rang des Hayatsu se comblèrent avec la naissance de son deuxième neveux, Tsuki, aujourd'hui plus connu sous le surnom de Kuroshiro Tsuki. Puis, en vu de sa réussite dans sa quête de pouvoir, le Sandaime lui offrit un poste dans les rangs des Oinin, les chasseurs de déserteurs. Le nouveau Kenpachi accepta sans même réfléchir, et commença rapidement ses nouvelles missions avec le sourire. Durant cinq ans, il servit au sein des chasseurs de déserteurs, et en vint même à commander une division. Mais sa recherche d'adversaire fini par le faire destituer de son poste, suite à de nombreuses plaintes de ses subalternes qui l'accusaient de « laissait partir les cibles les plus dangereuses sous prétexte qu'il voulait les affronter plus tard, seul à seul ». Cela énerva Zaraki, qui, dans un élan de colère, envoya sur un brancard l'un de ses hommes, mettant ainsi au placard son poste de Oinin sous le règne du Sandaime. A partir de ce moment là, il décida de s'en aller temporairement du village afin de continuer sa quête de puissance, tout en laissant à Tsuki une impression étrange, dans lequel il se revoyait vingt ans plus tôt. Ainsi donc, il parti de Kiri, sans un mot, avant de disparaître dans la brume quelques temps
● Un retour redouté ●
x Voilà maintenant quinze ans que le Kenpachi a disparut de Kiri Gakure no Satô. Durant ces années, de nombreuses rumeurs à son sujet ont circulé dans le monde. Les dernières parlaient d'un homme qui, lorsqu'il marche, crée un son de clochettes, et qui, dans son déplacement, est invisible. Cet homme se trouverait actuellement dans le pays de l'Eau, et se dirigerait vers le village caché de la Brume.
Lorsque le brouillard a l'odeur du sang, c'est qu'une calamité s'approche. Les rumeurs de guerre ont-elles fait ressortir un fantôme du passé ? Je crois que la question ne se pose pas. |
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Higure Hayatsu Nukenin - Rang S
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| | Sujet: Re: Le retour du Kenpachi Ven 3 Juin - 16:30 | ![]() | - Test RP -
- La Puissance d'un Être se Prouve - x A cette époque, j'avais vingt ans, et j'étais encore un jeune Chunin. J'avais, après mon retour à Kiri, demandé au Sandaime Mizukage de passer les épreuves pour devenir Jônin, et enfin prouver ma supériorité aux Shinobis de ma génération. Bien sûr, en toute connaissance de mes capacités, il accepta, et me donna divers missions, toutes dangereuses. Mais celle qui me permit d'accéder à mon nouveau rang était l'une des plus risquées que l'on m'ait assigné. Pour la simple et bonne raison que mon but était de stopper un adversaire qui était bien plus que ça.
x Tout à commençait un après-midi, dans le bureau des renseignements. Le ciel était étrangement remplit de nuages, et l'air froid de l'hiver vagabondait dans les rues du village. Cela faisait plusieurs jours que ce temps perduré, rendant la vie des villageois monotones. J'avais été convoqué par le Sandaime, qui m'avait fait appeler par un membre des forces spéciale de Kiri. Pour recevoir un ordre du Mizukage, le village devait être en crise, ou même pire. Je me dépêchai donc de rejoindre les bureaux de mon Chef, parcourant quasiment le village en longueur pour y parvenir. Arrivé, je n'eus pas le temps de me présenter qu'un parchemin me tomba dans les mains, sur lequel se trouvait deux lettres inscrites à l'encre noire : « SS ». Sur le moment, je pensai qu'il s'était trompé, que le Kage m'avait confondu avec un autre, mais lorsqu'il m'appela en me demandant de mener à bien cette mission, un large sourire s'imposa sur mon visage avant que je ne disparaisse. A ma sortie, deux autres Chunin vinrent me rejoindre, l'un s'appelait Inada, et l'autre se nommé Matako, ou Mastako... A vrai dire, je n'ai jamais retenu son nom. Les seuls noms et prénoms que je retienne sont ceux des gens qui ont prouvé leur valeur, et cela est perçu par grand nombre de gens comme un défaut. Quoi qu'il en soit, une fois en leur compagnie, je déroulai le parchemin, et dès la première phrase, mes yeux s'écarquillèrent, et mon sourire grandit encore plus. Sur le papier était écrit, noir sur blanc : - Citation :
- Mission de Rang SS :
Sanbi a été repéré à environ 100 kilomètres au sud du village de Kiri, les habitants ne sont pas au courant et les autorités ne veulent pas les alarmer. Vous êtes envoyé sur le front avec 2 Chûnins pour prêter main forte à l'escouade partie devant quelques heures plus tôt. Cette mission avait l'air extrêmement périlleuse, surtout avec une équipe de six, mais cela m'amusa d'autant plus, j'adorai les défis, et cela en était un. A cent kilomètres au sud se trouvait l'océan, et en tout temps, ce Bijuu se rendait souvent à cet endroit. Allez savoir pourquoi, il adorait vivre dans ce coin isolé, tout en faisant couler les pêcheurs sans y prêter attention. Ce démon à trois queues n'étaient pas agressif d'après les récits, mais pourtant, j'avais un mauvais pré-sentiment. Donc, avec mon équipe, dans laquelle j'avais clairement fait comprendre que j'étais le « chef », je parti en direction du sud du pays. x Les cent kilomètres passèrent rapidement sous nos pas, et une pression spirituelle causée par le Bijuu se faisait de plus en plus sentir. Le vent ne soufflait pas dans cette région, lui donnant un aspect macabre. Puis, arrivé à quelques centaines de mètres, en passant par les collines, nous le vîmes en contre bas, sur la plage.  Soudainement, l'odeur du sang vint chatouiller mes narines qui la connaissaient bien, et cela devint inquiétant. L'équipe qui avait été dépêchée avant nous aurait dû déjà nous rejoindre, mais il n'en était rien. Donc, avec hâte, nous nous rendîmes là où l'odeur était la plus forte, et cela grâce à ma contribution, car, ayant fait couler beaucoup de sang par mes coups, je pouvais reconnaitre son odeur par la densité de fer qui se diluait dans l'air ambiante, et en trouver la source. Par la suite, nous nous retrouvâmes, moi et mes deux subalternes, devant trois cadavres de Kirijins, sauvagement tués, sans aucun doute par ce Sanbi de malheur. Ce qui me dérangea fut que les corps étaient assez loin de la plage, et que si le Bijuu avait fait cela, c'est qu'il avait dû se sentir en danger, ou même qu'il ait pu les attaquer par surprise. Dans les deux cas, nous étions en danger, car si nous l'approchions, il s'en prendrait à nous, et s'il nous voyait, il en ferait de même. Nous restions donc cacher dans le but de trouver une solution. De là, le plus jeune de mes deux équipiers, donc ce Mato, ou ce Matsa-quelque chose, nous dit, avec une voix affolée : « Je... Je vais allé chercher des renforts ! Ne faites rien qui pourrait être dangereux...! » De là, et avant qu'il ne s'en aille, je me mis à rire aux éclats, montrant ainsi notre position par le son. L'autre pitre disparu ensuite, nous laissant seuls Inada et moi, face à ce monstre qui nous avait repéré, utilisant sa queue centrale pour nous écraser, après s'être rapidement rapproché du bord de la plage. Rapidement, en voyant l'action arriver, j'attrapai l'autre nabot sous mon bras et disparut un peu plus loin, caché par un épais et grand buisson, derrière lequel je pouvais rester debout sans être vu. Il nous fallait rapidement élaborer un plan pour nous sortir de ce bourbier sans nom. Mais plus le temps passé, et plus la tortue géante s'énervait, rasant des parcelles de forêt avoisinants. Nous n'étions pas en sécurité sur le bord de mer, ni ailleurs. Un seul choix s'offrait à nous : affronter la bête. Pour retourner au village et revenir, il fallait facilement près de trois heures, et d'ici là, la mort nous aurait déjà cueillie comme des fleurs au printemps. Mon équipier, très peu confiant face à mon plan, mais étant d'accord sur le fait que la fin était proche si l'on ne faisait rien, adhéra à ma cause. De là, sans savoir vraiment comment s'y prendre, nous sortîmes de notre planque. Voyant que la créature nous avait repéré, la course était la meilleur option. Ainsi, jusqu'à l'autre côté de la plage, c'est à vive allure que nous nous déplaçâmes, évitant de ce fait les assauts consécutifs du bestio. Mais, alors que nous allions toucher les rochers de ce rempart de pierres qui nous protégerait, et qui était la raison de notre course, Inada, se trouvant derrière moi, se prit l'une des attaques de Sanbi, et fut propulser dans le bosquet avoisinant. Le voyant voler, je me jetai à sa recherche, avant qu'un autre ne le trouve. Ses blessures n'étaient pas tant grave, mis à part ses jambes, qui en revanche, en avaient prit un coup. N'étant pas médecin, je ne pouvais affirmer si les deux étaient cassées, mais la droite, en revanche, j'en étais sûr. Je récupérai donc mon équipier, de nouveau sous mon bras, et sautai rapidement, évitant grâce à ce bond le nouveau coup du Bijuu. Propulsai dans les airs, j'atterris sur les rochers et montai au plus haut afin d'y mettre mon grand blessé à l'abri. A présent, j'étais seul face à ce monstre, et j'allais devoir l'affronter, car sinon, c'est nos deux vies qu'il allait arracher. x Je me jetai de la falaise, atterrissant pieds joints sur l'étendue d'eau, et regardai avec un grand sourire le Bijuu, qui, lui aussi, me fixait.
Puis après quelques seconde, je ne pu m'empêcher de repenser aux paroles du Chûnin fuyard : * Je... Je vais allé chercher des renforts ! Ne faites rien qui pourrait être dangereux...! * Et en réponse, à vois haute, avant de m'adresser à Sanbi, je dit d'une voix claire : « Vas mourir ! Et toi ! Tu sais que tu as l'air très stupide comme bestiole ?! Je vais me faire un plaisir de te découper en morceaux et de les vendre à des marchands de poisson ! Puis avec ta carapace, je ferai faire nombre incalculable de cendriers ! Tu vas me rendre riche !! Par contre, si j'peux me permettre, t'as vraiment une sale gueule ! » De là, toujours avec cet air ahuri, Sanbi me lança une nouvelle attaque. Rapidement, d'un saut latéral, tout en sortant mon sabre, je l'évitai avant, tout en tentant de lui assener un coup. Mais cette dernière action ne servit à rien, et mon coup rebondit sur la carapace épaisse de la tortue. En voyant cela, je rengainai mon arme, et d'un air décidé, je commençai à effectuer des mudras pour activer un jutsu. Mais pendant ma concentration, le Bijuu se mit à cracher un large et rapide volume d'eau de sa bouche, ressemblant étrangement à un Suikoudan no Jutsu amplifié. Sur ce coup, il ne me rata pas, et en plus de m'envoler sur plusieurs dizaines de mètres, les crocs du requin, dont le jutsu avait prit la forme de ce dernier, le tranchèrent les deux épaules, m'entailla le visage au dessous de l'œil gauche, et créèrent de nombreuses coupure sur mon torse. Lorsque j'atterris dans l'eau, une large zone autour de moi devint rouge : mon sang se rependait, et ça très vite. Il me fallait être plus rapide si je ne voulais pas y laisser la vie. De ce fait, je me releva, sourire aux lèvres, tout en disant à la créature : « C'est tout ce que t'as en magasin ?! » Soudainement, le Sanbi se mit à agglutiner de l'énergie devant sa gueule, me donnant, de ce fait, un très mauvais pré-sentiment. De là, je me mis à courir dans sa direction, et plus le temps passait, et plus la boule d'énergie devenait grande et noire. Jusqu'à ce que tout à coup il ne la propulse dans ma direction. A ce moment là, je ne pouvais l'éviter, et la pris de plein fouet. Mais, ce que le Bijuu ne savait pas, c'est que juste avant l'impacte, j'avais utilisé l'un de mes Jutsu, le Mizu Kawamiri, rendant ainsi mon corps liquide, et évitant de justesse l'attaque de mon adversaire, si on peut l'appeler ainsi.
Par la suite, et tout en continuant de sourire, et en sachant que mes techniques ne serviraient à rien contre lui, je portai ma main droite sur mon cache œil, et le retirai en un mouvement rapide. Une immense quantité de chakra jaune s'échappa par la suite de mon corps, ce qui surprit le Bijuu vu la façon dont il me regarda.
Il tenta alors de me mettre un coup à l'aide de l'une de ses queue, mais, voyant le coup arriver, je ne bougeai pas. Le choc fut si violent que des vagues d'une dizaine de mètres de haut se créèrent. Cependant, je n'avais pas bougé, j'étais toujours au même endroit, les deux mains en l'air, entrain de retenir sa queue que j'avais stopper. Ma quantité phénoménale de chakra m'avait permit d'accomplir un tel exploit, et j'allais encore m'en servir. Je saisi par la suite le monstre, et me mit à tourner rapidement sur moi même, le faisant décoller légèrement, avant de le relâcher et de l'envoyer paitre quelques vingtaines de mètres plus loin. Dans le monde, je n'étais pas le plus fort physiquement, et bien d'autre aurait pu accomplir cette tache, je ne me voilais pas la face. Puis, ensuite, je laissai s'envoler au vent mon haori, ainsi que mon haut de kimono, qui partirent s'échouer sur la plage. Je n'avais pas grand choix face à ce démon, et la seul option était une attaque unique et surpuissante là où sa carapace n'était pas présente : sa tête. Ainsi, dans une course effréné, j'évitai chaque coups, chaque technique, tout en laissant s'échapper, progressivement, de plus en plus de chakra de mon corps. Puis, une fois à une cinquantaine de mètres de ma cible, je sorti mon sabre, et dans un ultime bond, je concentrai toute l'énergie que je pouvais dans ma lame. Je me trouvais à présent face à la créature. Sa bouche s'ouvrait de nouveau, laissant apparaître cette puissante et redoutable boule d'énergie négative. Il me fallait faire vite ! En amorçant mon coup vers le haut, je me mis à hurler : « Prends ça dans ta tronche, Gueule de Merde !!! » D'un coup verticale, je tranchai la sphère noire, ainsi que la face de la créature, partiellement, projetant ainsi toute mon énergie en lui. Le choc dans son organisme fut tel qu'il eut instantanément des convulsions, comme si il avait été électrocuté. Puis, dans l'élan prit par le coup, il se laissa partir en arrière, le ventre en l'air, tel un poisson mort. Mais malgré ma « victoire » sur le monstre, dû à mon endurance hors du commun, je n'avais à ce moment là plus une seule force, et dans ma chute, je vins me fracasser le crâne sur la carapace ventrale du Sanbi, avant de glisser et de tomber à l'eau, moi aussi le ventre vers le ciel, comme une pauvre sardine desséchée. Cela faisait déjà deux heures que l'autre idiot était parti chercher des renforts, et moi, il devait y avoir plus d'une heure que je flottai, là, au beau milieu de l'eau, a une centaine de mètres de la plage, dérivant petit à petit avec la monstrueuse tortue, sur laquelle j'avais réussi à caler ma tête pour ne pas boire de nouveau la tasse, et de ce fait, évité de me noyer.
x Le Soleil se couchait à présent, et toujours aucune nouvelle. Peu à peu, je ressentais mes forces revenir, mais également celle du Bijuu, qui, doucement, faisait des mouvements. Tant bien que mal, je tentai d'endiguer sa récupération en propulsant le peu de chakra qui me revenait, dans son corps, même si je savais que cela était insuffisant. La question que je me posai sans cesse pendant ce long moment à dériver fut : « Combien de temps va-t-il mettre avant de se remettre et de m'écraser à la surface de l'eau ?! » Si je n'avais pas usé de tout mon chakra, j'aurai pu m'en aller, car bien que mes blessures étaient assez grave, je ne les ressentais pas. J'avais cette chance de ne pas subir la douleur, même si au bout d'un moment, mon corps finissait par lâcher selon la quantité de sang que j'avais perdu. De nombreuses fois, à cause de ça, j'ai côtoyé la mort, et même si mon adversaire me blessait gravement, je me relevai et en terminé avec ce combat pour passer à un autre. Mais cette fois, c'était différent. Je ne pouvais plus bouger ou utiliser mon chakra pour penser mes plaies. Mon sang se rependait dans l'eau, me rendant faible, et le démon bougeait, me laissant penser à un très mauvais présage. Mais soudainement, alors que j'entendis un grognement de ce dernier, je me rendis compte qu'il ronflait. Je fus assez surpris, et en même temps soulagé. Je l'avais mis hors d'état de nuire, accomplissant alors ma mission, sans réellement savoir si je retoucherai un jour le sol de Kiri vivant. Je n'avais pas peur de mourir, mais à ce moment là, une seule idée me vint à l'esprit : « Ça me ferait vraiment chier de crever ici et maintenant ! » Et alors que je finissais cette phrase, j'entendis des bruits de pas à la surface de l'eau. J'utilisai alors le peu de force qui me rester pour tourner la tête, et voir, au loin, une équipe de Shinobis de Kiri me rejoindre à toute vitesse. Rapidement, ils prirent mon corps légèrement meurtrie et me ramenèrent au bord, là ou des soins me furent prodigués. Mais une seule question leur venait, et tous me la posèrent : « Est-ce vous qui avez vaincu Sanbi, le démon à trois queues ?! » Les deux première fois, je répondis pas un hochement de la tête, mais par la suite, mon sang froid disparut, et un hurlement chatouilla toutes les oreilles : « Arrêtez de m'emmerder et occupez vous de mes blessures bordel ! J'n'ai pas que ça à faire ! » Le Sandaime était venu lui aussi, et en me voyant, il sourit et me donna ce pourquoi j'avais combattu, mon rang de Jônin. x Je ne mis que deux jours à me remettre de mes blessures, sans qu'elles ne laissent de cicatrices, ainsi que pour récupérer la quasi-totalité de mon chakra. Le Bijuu, quant à lui, avait été scellé, et plus tard, j'appris qu'un Jinchuriki lui fut attribué, et que ce dernier était le Yondaime Mizukage. Mais à vrai dire, je n'en avais rien à faire, ce qui m'importait été la puissance et le combat.
Voilà comment j'ai stoppé le Sanbi, et comment le grade de Jônin me vint dans les mains. |
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