Maku et moi nous sommes séparé de notre côté pendant quelque jour jusqu'à ce qu'on se revoie dans les rues de Suna. L'idée nous était apparu en même temps de refaire une mission à deux.
Nous allâmes alors au bureau de notre Kazekage afin de découvrir de nouvelle aventure, enfin si les corvées que nous faisions pouvait être appelée « aventure »...

Puisque vous connaissez déjà madame Tôshiro, je vous donne donc la mission suivante:
La vieille femme s'est faite arrêtée pour état d'ivresse en plein carrefour ce qui est très dangereux ! Elle se retrouve donc en prison, cela fait 3 jours qu'elle subit le quotidien des malfrats, allez l'aider à sortir de la prison en sachant que devant le bâtiment, il y a de gros chiens capables de vous engloutir un bras avec leur grosse mâchoire, de nombreux gardes sillonnent alors un conseil, agissez la nuit !

Sur ces mots nous sortîmes de la salle, je me retourna vers Maku et lui demanda pourquoi un sauvetage faisait parti d'une mission de rang D. On ne peut pas vraiment dire que ce genre de mission soit sans risque comparer aux tâches ménagères...
Mon coéquipier ne chercha pas à me répondre et commença cependant à prévoir un plan. Puisque nous agirons la nuit, il faudra prévoir du matériel de camouflage, de quoi endormir les gardes et un moyen de s'échapper sans se faire remarquer... Il avait l'air décidé à s'occuper de tout cela pendant la journée et de mon côté je cherchai un plan de la prison ainsi qu'à savoir où se trouve cette pauvre Tôshiro. Je fis donc un tour à la bibliothèque de Suna, mais sans jamais réussir à trouver un seul plan... heureusement la libraire m'avait reconnu. Apparemment, elle aurait était une cliente pendant que je jouait les serveurs durant l'ouverture du nouveau restaurant. Le repas était tellement exquis qu'elle m'avait aidé de suite à trouver ce que je trouve. Après cela je me suis rendu chez moi afin d'étudier un peu les lieux pour ne pas se perdre...

Tout était prêt, je me levai vers deux heure du matin je me mettais en tenu pour les missions où je devais passer inaperçu. Mais un problème était survenu, Maku était sensée être ici... Tant pis, je courrai en direction de sa maison et entrai. Je le vis sur son lit en train de dormir profondément. Je ne voulais pas réveiller sa famille alors je décidai de laisser la fraicheur de la nuit le réveiller... Je le pris avec ses affaires, le déposai par terre en-dehors et le réveillai. Le pauvre n'avait pas l'air de savoir ce qui lui arrivé... il reprit ses esprits et s'équipa pour que l'on puisse y aller.

Ce fut un jour où je revis Hisato et ce fut un jour où nous décidâmes de refaire une mission ensemble. Je me rappelais que l’examen pour passer Chuunin approchait. Bientôt six mois… Six mois que je n’avais plus revu mes premières coéquipières, cela me rendait triste, mais je n’avais pas le choix, je devais faire sans. Les ninjas n’avaient d’ailleurs pas le droit de laisser montrer leurs émotions. Afin de participer à cet examen, il fallait un nombre minimum de mission et ce serait pas mal que mon coéquipier le passe aussi avec moi.

La mission de rang D, contrairement à ce que je pensais, était bien plus dangereuse que des corvées. Je pensais d’ailleurs qu’une telle mission serait plutôt de rang C. Mais ce n’était pas nous qui décidions de la mission, ni de son rang, nous allions donc devoir l’effectuer. Hisato pensa alors à prévoir de quoi se camoufler et de trouver un moyen de fuir. Je lui disais alors que je m’en occupais. Puis nous nous séparâmes pour nous retrouver le soir même. Entre-temps, j’étais rentré chez moi et je réfléchissais à un bon moyen de pouvoir aller chercher la doyenne et de rentrer sans problème. Déjà, je connaissais bien la doyenne avec toutes les missions que j’avais fait pour elle et je savais qu’il allait falloir l’endormir le temps de sortir de la prison, vu qu’elle était du genre à être bruyante… elle pourrait nous faire repérer. Pour la localisation de la doyenne, Atoichi m’aiderait certainement, ce n’était pas un problème. Je partis donc chercher des somnifères et retournai ensuite chez moi pour me reposer.
Au bout d’un moment, je tombai endormi et me réveillai… en-dehors de chez moi. Légèrement perdu par ce changement d’emplacement, je repris mes esprits en secouant ma tête et vit Hisato. J’avais dû dormir plus longtemps que prévu. Il avait pris aussi le soin de prendre mon équipement. Parfait. Je mis mes sacoches à ma ceinture et nous partîmes vers la prison.

Arrivé là-bas, j’invoquai Atoichi et je lui donnai sa mission. Il parti alors sur le champ et nous attendîmes une demi-heure avant qu’il revienne. Il nous informa qu’il avait trouvé la doyenne. J’usai alors de la technique de transformation afin de me recouvrir de vêtements plus sombres, moins voyant.

Bien, Hisato, je te suis. Infiltrer un endroit est chose aisé pour moi, je possède une technique, en plus d’Atoichi, pour pouvoir m’inflitrer où je veux. J’ai envie de voir ce que tu peux faire. Cela t’apprendra pas mal de chose. Je suis là pour t’aider, mais fais comme si c’était toi le chef d’équipe, d’accord ?

Maku me pris au dépourvu! Il faudra que je mène le groupe pour cette mission... Quelle idée! Je suis plus du genre à obéir qu'à jouer au chef...Enfin bon. On fera comme ça pour cette fois. J'espérai quand même que Maku changerait d'avis plus tard. Je commençai donc à réfléchir sur le moyen de s'infiltrer sans se faire repérer. Je me remémorai la carte de la prison : trois étages dont le rez-de-chaussée. Les prisonniers les moins dangereux se trouvaient au rez-de-chaussée ou au premier étage. Madame Tôshiro devrait donc être dans l'un de ces étages. Ca nous évite déjà trop de trajet.

Dit moi mon minet, sais-tu dans quelle cellule se trouve Madame Tôshiro?

Le chat de Maku n'avait pas l'air de bien prendre le terme de « minet »... Il refusa de me répondre un moment avec que Maku lui oblige de le faire. Il m'expliqua alors que Tôshiro se trouver dans la cellule numéro 28. De mémoire, cette cellule se trouvai effectivement au premier étage puisque la série du rez-de-chaussée comprenait 13 cellules de chaque coté du couloir, donc la dernière cellule avait pour numéro le 26... Donc si on entre par l'escalier principal elle sera au fond à droite du couloir, vu que l'autre escalier est inaccessible facilement... donc 150 mètres à découvert. A découvert de possibles gardes et surtout des prisonniers qui risquaient de nous mettre à découvert en nous appelant.
Ou alors il y a un autre moyen. Il y a une fenêtre qui mène à l'autre côté du couloir. On entre et sort de ce côté sans problème sauf si on garde un œil dessus exceptionnellement pour aujourd'hui... Bah, on verra bien comment ça se présente... Il faudrait quand même trouver quelque chose. Ou alors il faut que l'on les neutralise par un coup de surprise, soit donc par le sol. Et là, c'est Maku qui devrait pouvoir le faire, avec son Doton. Mais il faudrait aussi que je puisse entrer discrètement. Je me demandai s'il en était capable.

Dis Maku, tu peux creuser un tunnel? Si c'est le cas je pense qu'il sera très facile d'entrer juste là où se trouve une fenêtre proche de la cellule de madame Tôshiro. On entre, on neutraliste toute individu susceptible de sonner l'alarme, on prend la Tôshiro et on rentre à la maison.

Dis Maku, tu peux creuser un tunnel? Si c'est le cas je pense qu'il sera très facile d'entrer juste là où se trouve une fenêtre proche de la cellule de madame Tôshiro. On entre, on neutraliste toute individu susceptible de sonner l'alarme, on prend la Tôshiro et on rentre à la maison.
Un tunnel ? Désolé, mais je suis incapable d’en creuser un. Mais s’il s’agit de s’infiltrer dans la cours de la prison, alors laisse-moi faire et retrouve-moi à l’entrée.

Toute prison avait une entrée blindée qui déboucher vers l’extérieur. Ainsi, pour passer jusque là-bas, je devais m’infiltrer et prendre la place de l’un des surveillants. Et cela, j’en étais capable facilement. Je hochai alors la tête en guise de signe de départ puis j’utilisai ma technique d’assimilation au sol pour passer en-dessous du mur. Au bout d’une dizaine de mètre de déplacement, je remontai la tête doucement, de quoi pouvoir voir ce qui se passait dans la cour. J’attendis alors que quelqu’un passe suffisamment près pour le neutraliser en silence. Le problème était les chiens qui passait par là et qui pouvait sentir une odeur. Ainsi, je replongeai dans le sol le temps que ces animaux s’éloignent.
Ceci fait, j’utilisai le Henge no Jutsu afin de me faire passer pour le surveillant. Je me dirigeais ensuite vers la porte, l’air de rien. Cependant, je ne savais pas quel type d’erreur j’avais fait quand j’entendis quelqu’un m’appeler. Pas par mon vrai prénom, mais je savais qu’il m’appelait car le surveillant s’était tourné vers moi en disant plusieurs fois le prénom. J’appris alors que celui dont j’avais substitué la place se nommait Ryo. Je m’arrêtai alors, attendant que l’autre homme s’approchât.

Où est-ce que tu vas ?
Heu… à l’entrée de la prison. Je crois que j’ai perdu ma bouteille d’eau là-bas.
Ta bouteille d’eau ?
Ouais. J’ai un mal de crâne ce soir, mais j’arrive à la limiter avec de l’eau.
Mais tu sais que tu peux boire à l’office ?
Je le sais, merci, mais je préfère prendre ma bouteille. J’ai pas envie de faire des allers-retours.
Ouais, je comprends.

Il finit par s’éloigner. Soupirant silencieusement, j’étais content de voir que je n’avais éveillé aucun soupçon. Je reparti donc en direction de la porte. J’ouvrai alors à mon coéquipier qui attendait à l’extérieur.

Bien, essaye de te faufiler vers le bâtiment, je ferais diversion. On se retrouve ensuite… heu… la doyenne se trouve où déjà ?

Il m’expliqua alors que, d’après les informations qu’Atoichi avait données, elle se trouverait au premier étage. Je le remerciai alors, puis je décidai de le prévenir de faire attention aux chiens, il fallait qu’ils ne le sentent pas. Et c’était plus facile à dire qu’à faire. Finalement Atoichi décida de s’en occuper. Il parti alors en avant, dans la cours. Au bout d’à peine une minute, on entendait les chiens gronder et aboyer. Je fis signe alors à Hisato qu’il devait en profiter, tandis que je retournai dans la cours. La plupart des surveillants étaient en train de tenir les chiens afin qu’ils ne courent pas après le chat. Je passai alors sans problème et sans me faire remarquer, puis atteignit le bâtiment. Je montai alors à l’étage dès que je trouvasse un escalier. Une partie de l’étage semblait calme, mais au bout d’un moment, je commençai à entendre un bruit, qui s’amplifia au fur et à mesure de ma progression, jusqu’à devenir des paroles. Je vis qu’un autre garde se trouvait non loin de là, et vu que nous devions avoir le champ libre…

Salut ! On m’envoie te relever !
La relève ? C’est cool ça ! J’en peux plus, avec cette vieille chouette, j’en ai un mal de crâne…
Qui donc ?
Une vieille femme qu’on aurait retenu ici car elle était saoul au milieu d’un carrefour… ça fait deux heures qu’elle parle sans arrêt… Bon, je vais me reposer, bonne chance !

Je le saluai tandis qu’il quittait les lieux. Donc c’était la doyenne qui faisait autant de raffut. Au moins je l’ai trouvé. Je me rendis alors devant sa cellule et je la regardai d’un air grave. Un air qu’elle me reprocha, puis elle continua de scander sa liberté. Je lui tournai donc le dos et commença à trifouiller dans les clés que j’avais pris au gars dont j’avais pris la place. Si seulement Hisato était arrivé, on aurait pu simplement trancher les barreaux…

Derrière le mur j'entendais des aboiements de chien, qu'est-ce qu'il pouvait bien se passer de l'autre côté? Finalement Maku me fait signe que je peux passer sans problème...
Je trouvais ça assez étrange, tant de raffut et pourtant je peux rentrer sans risque...
Enfin bon, je lui fi confiance finalement.

Je sautai pour atterrir sur le mur. C'était étrange. Il n'y avait personne... Qu'est-ce que Maku avait-il bien pu faire pour enlever tout les gardes alors que je les entendais courir avec leurs chiens qui aboyaient.
Bon, la meilleure chose à faire c'est de profiter du moment pour entrer par la fenêtre.
Je concentrai mon chakra à mes pieds pour marcher le long du mur. Il fallait monter deux étages, rien de compliquer pour un ninja normal. J'avoue que j'avais certaine difficulté à tenir mon chakra stable. J'étais presque devant la fenêtre que je me décrochai du mur...

Que faire? Il n'y avait pas d'endroit où on a prise...
Ma chute était-elle inévitable? Avais-je un moyen de m'en sortir? Inutile de se servir de mon chakra et mes épées...

Attends, mes épées? Mais oui!

Je dégainai mes sabres de leur fourreaux, eu le temps de la séparer en deux et de les planter dans le mur peu de temps avant d'atteindre le sol. J'ai eu chaud... bon, cette fois-ci je garde mon chakra à mes pieds. Et au cas où, je me sers de mes sabres comme sécurité.

Je fis enfin dans la salle des cellules, il y avait un garde qui, on dirait, attendait ma venu. Impossible, personne ne s'attendait à ce qu'on soit ici... à moins...

C'est toi Maku? Bravo tu à faillit m'avoir avec ton costume. Tu as réussi à entrer en prenant place à l'un d'entre eux.

Madame Toshiro continué à crier comme un vagabond ivrogne en nous demandant ce qu'il se passé. Je n'avais aucune envi de continue à l'entendre, et puisque je suis masqué elle ne sait pas réellement que c'est moi... De toute façon si on ne la tait pas elle vas ameuter la garde.

Désoler madame, mais c'est pour votre bien.

Je sorti le fourreau de ma ceinture et la frappai à la tête avec pour, disons, l'endormir...

Maintenant qu'on à notre cible, on la ramène au bercail. Je me charge d'elle, toi assure mes arrières.

Je souriais. Hisato m'avait identifié. C'est bien, il a de l'observation, c'est parfait pour un ninja comme lui. Il s'occupa alors des barreaux, vu que je n'avais pas trouvé la clé qui allait. Quand même, quel trousseau ! Il devait y avoir un moins une cinquantaine de clefs avec. Comment les gardes réussissaient-ils à trouver les clefs rapidement, eux ? Du moins s'ils y arrivaient. C'était une question que je me posait en regardant d'un air bizarre le trousseau que je tenais dans ma main.
J'entendis ensuite un bruit sourd et du silence. Je regardai mon ami : il avait assommé la vieille. Puis il la mis sur son dos.

Maintenant qu'on à notre cible, on la ramène au bercail. Je me charge d'elle, toi assure mes arrières.

J'avais déjà deviné qu'il s'occupait d'elle en voyant qu'il l'avais mis sur son dos. Cependant, je lui disais d'attendre un peu. Rentrer, ça peut être assez facile, mais sortir... il faudrait un autre plan. Car Hisato ne devait pas être vu en train de transporter Mme Tôshiro. Il fallait donc un leurre, mais quoi comme leurre ? J'avais déjà utiliser Atoichi pour détourner l'attention des gardes et de leurs chiens, permettant un raffut suffisant pour que Hisato puisse passer tranquillement et rapidement. La situation de sortie était un peu différente, vu qu'il avait un passager sur son dos. Il n'avait d'autre choix que de sortir par là où il était entré. Ca, c'est simple. Ensuite, pour l'aider, je pourrais créer un clone au cas où. Ou alors je l'accompagne et envoie un clone en leurre. Réfléchissons, réfléchissons... Il faut obligatoirement que ce soit une situation pour que tous les gardes ou surveillants viennent. Je tâtais mes pochettes afin de voir ce que j'avais. Mes kunaïs et autres shurikens ne pouvaient servir. Il me restait donc... une boule de fumée. Moui, ça pourrait aider. Je pris ensuite un instant pour réfléchir à la situation à créer. Puis lorsque je fus décidé, je créai deux clones de terre. J'utilisais ensuite le henge, ainsi que l'un de mes clones, pour changer d'apparence, et prendre celle d'un voleur que j'avais imaginé, c'est à dire habillé de noir et avec une cagoule.

Mes clones partirent ensuite discrètement. Ils allèrent dans un coin de la prison assez loin de la porte d'entrée de la prison, et commencèrent leur scène. Le clone habillé en surveillant alerta les autres en s'agrippant à l'autre clone et en disant qu'il avait besoin d'aide. L'autre clone utilisa alors la boule de fumée que je lui avais donné afin d'obliger un grand nombre de surveillants à venir. Puis Hisato et moi-même partirent par les fenêtres dans la cour et courûmes le plus à l'ombre des lumières vers la porte. Par chance, les gardes étaient partis aider le faux garde, et ceux qui n'aidaient pas regardaient ce qu'il se passait. Un peu idiot, non, c'était vraiment idiot de leur part. Cependant c'était tant mieux pour la mission. Nous passèrent alors la porte et fûmes arrêté par un garde. Celui-ci avait remarqué la vieille femme et allait donner l'alerte. Je réussis cependant à l'arrêter de justesse en utilisant le Shinjuu Zanshu. Nous nous enfuîmes par la suite de la prison. Je repris entre-temps mon apparence normal et annulai mes clones.

Hisato, occupe-toi de ramener la vieille chez elle. Je vais faire le rapport. Salut !

Nous nous séparâmes ainsi. Je rentrai alors chez moi et fini par bailler. Non, je m'occuperais du rapport demain matin... pour le moment : dodo.

• Mission validée :
  
  Morichi Maku = 15XP (10 +5)
  Analyse de la mission : Texte soigné malgré une mise en page assez lourde à lire. Le sujet de la mission est bien respecté et le déroulement est intéressant.
  
  Hisato Kironoko = 13XP (10 + 5 - 1 - 1)
  Analyse de la mission : On regrette que certaines actions ne soient pas assez bien détaillées, on voit quelques fautes parfois dans ton texte.
  
  Bilan de la mission en équipe : On voit que vous avez pris l'habitude de RP ensemble, Hisato, tu restes encore un peu faible dans la description mais cela va vite s'arranger je pense.