Paperasse, quand tu nous tiens !

Je suis ici, à Kiri depuis trois ans. Trois longue années au cours desquelles je n'ai pas fait grand chose. Alors se matin comme d'habitude je me suis levé j'ai bu un bol de café, un déjeuner vite mangé. Je suis passer devant le boulanger et j'ai acheté une dizaine de chouquette. J'adore ces petites douceurs, mais revenons au sujet principal de ce récit, une mission. Enfin depuis trois ans je vais faire une mission, et c'est là que j'arrive enfin devant le temple de l'eau. Je trouve alors mon sensei, Mistuko sensei. Une jeune femme d'une vingtaine d'années au boucle longue et blonde lui tombant hasardeusement aux épaules. Elle a de magnifique yeux bleus azurés qui lui vont a ravir. Elle est assez grande et surtout, dès qu'elle me voit. Elle me parle :

" Lavi ! Viens par ici ! "

Gentiment je me dirigea vers ma sensei et lui décrocha un sourire ravisant. Elle me le rendit d'ailleurs mon sourire et quand je fus assez près d'elle, elle me lança à nouveau :

" Alors, j'ai une mission pour toi ! "

Je pensais avoir trouver enfin une parfaite petite mission pour moi, mais lorsque que Mistuko eut fini mon sourire avait disparut. Je devais en réalité débarrassé le temple de l'eau de sa paperasse et de la trier, de la classer par type et de la ranger soigneusement dans le manoir de la Mizukage ! Une mission des plus barbante quoi ... Ma chère sensei s'en alla en rigolant et me dit qu'elle me souhaitait bonne chance et surtout de la patience ... Effectivement de la patience j'en aurais besoin, il y avait là plus de dix pilles de milliers de feuilles. Mais vraiment, que faire avec tout ça ... Je décida alors de prendre chaque pille du temple jusqu'au manoir. Je commença avec une première pile, forcément remarque mais bon, passons. Je marchais donc vers le manoir, j'étais malgré tout un peu joyeux, joyeux de pouvoir aidé la Mizukage même a moindre échelle. Tout allait bien jusqu'à ce sois le tour de la neuvième pille. Cette pille quand je traversa le pont qui menait au manoir fut tout simplement emporter par un joggeur. Celle-ci partie en totalité dans la rivière passant un peu plus bas. Le seul mot qui sortit de mes lèvres fut :

" Merde ! "

En cours !