Nom : Oreri
Prénom : MIsaki
Âge : 13 ans
Sexe : Femme
Village demandé : Kiri
Affinité(s) choisie(s) : Katon
Grade souhaité : Genin
Avez-vous lu les règles ? Validé by Mad' Mad'! Moi chui pas trop Nutella ^^ (Edit: Moi j'adore mais c'est pas bon pour la santé xD)

Techniques :



Katon Goukakyuu No Jutsu

L’utilisateur inspire afin de gonfler au maximum ses poumons, ceci fait, il crache une boule de feu de taille relativement impressionnante.

Katon Ryuuka No Jutsu

Une aura de feu enveloppe le corps de l’utilisateur avant de foncer sur l’ennemi en prenant la forme d’un dragon.

Katon Housenka No Jutsu

L’utilisateur inspire afin de gonfler ses poumons et recrache plusieurs petites boules de feu en forme de pétales de fleures.
Enflammer
L'utilisateur peut faire bruler un objet rien qu'en le touchant. La grandeur et le poids de l'objet pouvant être bruler varie selon la puissance du ninja.

Hiken
L'utilisateur envoie des boules de feu sur son ou ses adversaire(s) à partir de ses mains.

Misaki est une jeune ninja blonde aux grands yeux bleus, elle est assez petite pour son âge et a un physique avantageux qui attire assez facilement les garçons qui ne la regardaient pas quand elle était seule au fond d'une ruelle sous la pluie. Elle a de très longs cheveux blonds et fins, mais cela ne la gêne pas pendant l'entraînement intense de Shiro. Ces mêmes entraînements lui ont permit de devenir plus forte, son physique reste celui d'une jeune fille fragile, mais il cache aussi une force extrêmement puissante. Quand elle laisse place à sa seconde personnalité ses yeux se ferment et elle se met à sourire en poussant des rires de petite fille puis elle se met à trembler légèrement, elle se met aussi à saigner des yeux et c'est pour cela qu'elle les garde fermer, ces ongles deviennent extrêmement tranchants. Ces cheveux perdent alors tout leur éclat d'or et deviennent blancs tout comme sa peau (ça lui donne un style un peu zombie non ?). Pendant les deux mois qu'elle a passé dans la rue elle a beaucoup maigri et cela se voit encore aujourd'hui, elle a de nombreuses cicatrises sur les bras et les jambes, car elle cherchait à manger dans les poubelles et à marcher sans chaussures dans les rues sombres.

Description psychologique :

Misaki a un mental fragile qui passe facilement de la gentillesse à la psychose provoqué par le double meurtre dont elle a été témoin, elle se méfie de tout autre humain à part son sensei Shiro Yotsuba, son caractère s'est forgé grâce aux deux mois qu'elle a passé dans la rue sous des pluies incessante à voir les passants qui ne la regardent même pas du coin des yeux. Parfois quand elle perd trop de sangs pendant un combat ou quand elle ne ce contrôle plus, elle devient maléfique, extrêmement dangereuse. Dans cet état second elle est facilement influençable par son passé qui l'a chamboulée ce qui lui a créé une seconde personnalité qui prend peu à peu le dessus sur Misaki, à chacune de cette apparition son coté maléfique prend de l'ampleur et ronge de plus en plus la pauvre Misaki jusqu'au jour où son autre elle prendra complètement le dessus sur elle. Quand elle est dans son état "normal" elle est très douce et gentille, mais aussi froid que la mort pour toute autre personne que Shiro. Elle ne sort de chez elle que pour les entraînements ou si c'est pour une mission. Misaki n'aime pas que les gens la regarde et lui parle, elle n'aime pas non plus le chocolat, les bonbons et le vin, mais ça, ça n'a aucun rapport avec son passé trouble.

Histoire :

Chapitre 1
Une vie paisible

Il y a 13 ans Misaki est née dans un petit village perdu dans la brume, son père et sa mère l'aimait tellement, son père était marchand il vendait des armes aux aventuriers vagabonds qui faisaient une halte dans notre village auparavant si tranquille, sa mère elle était vendeuse de fleur dans le centre du village entre le forgeron et le marchand de légumes. Notre maison était située en bordure de la ville pas très loin des champs, elle n'était pas très grande, mais assez confortable. Mais parlons de mon père, il était assez grand il avait dans les 35 ans quand il est mort sous mes yeux auparavant amplis de joie et de gentillesse, mais ce n'est pas de ça que je veux parler, mon père nous aimait énormément et ne pouvait passer une journée sans nous le dire à moi et à ma mère. Quant à ma mère c'était la même chose, mais en fait je n'ai que peu de souvenir d'eux. Je me souviens qu'un jour, je devais avoir 8 ans je crois, où l'on pique-niquait tous ensemble, je m'étais éloignée alors que l'on me l'avait interdit et je suis arrivé près d'un joli petit ruisseau, le vent soufflait dans les feuilles des arbres qui longeaient ce magnifique ruisseaux à l'eau si clair, mais au moment de me retourner pour partir voir mon père je me fis empoigné par un aventurier vagabond qui me projeta au sol et commença à m'enlever ma culotte, il y eu un gros boum et mon ravisseur s'étala de tout son long sur l'herbe et je distinguais mon père qui tenait une souche d'arbre dans une main, la souche dégoulinait de sang, un sang rouge, rouge comme l'enfer. Je tournais alors la tête pour voir mon ravisseur, mais mon père m'en empêcha net puis il me releva je me mis à le serrer contre moi tellement fort que j'en avais des fourmis dans les bras et au moment de rentrer voir ma mère un autre vagabond surgit de nulle part et saisit mon père me projetant encore une fois à terre, mais quand je relevais les yeux vers mon père, je le vit sortir un couteau de sa poche et il poignarda son agresseur qui s'effondra lui aussi comme son prédécesseur et nous finîmes par retourner voir ma mère après avoir enterré les deux hommes dignement, mon père pensait que tout homme, bon ou même mauvais méritait d'être enterré dignement, il pensait aussi que c'était le monde qui pourrissait les cœurs les plus bons, je crois que c'est là où j'ai fais la plus grosse erreur de ma vie à ce moment précis je pensais que rien ne pouvait le tuer, qu'il était immortel. On étaient rentre sans même manger et le temps passa.


Chapitre 2
Une mission injuste

Deux ans se sont passés depuis que mon père m'avait sauvé, je le vénérais je pensais toujours que mon paternel était immortel et que ma mère aussi. Je devais avoir 10 ans quand ça s'est passé et c'est cet événement qui m'a transformé, laissez moi vous le raconter. On devait être en hiver il y avait pas mal de neige et les routes étaient impraticables, mon père était parti comme à son habitude, installer son stand pour vendre son stock, mais cette fois ci j'étais venue avec lui pour l'aider à porter les armes vu que les routes ne permettaient pas le transport des marchandises par charrette. La journée se passa sans problème mais vers 17 heures, l'heure à laquelle on ferme un dernier client demanda de le suivre sans poser de question, mon père refusa bien évidemment et le client repartit.

-Que voulait il se client ? Demandai je à mon père.

-Je ne sais pas. Répondit il avec sa voix la plus rassurante.

-Mais dépêchons nous de rentrer veux tu. Continua-t-il.

Quand nous fûmes arrivés à la maison mon père me dit d'aller me reposer avant le dîner et il alla dans le cellier ranger les produits invendus de la journée. Je fus surprise de ne pas voir ma mère dans le salon à nous attendre comme à son habitude et c'est là que j'entendis un cri de terreur et de douleur qui venait de la chambre de mes parents, je montai les marches deux par deux et entrai dans leur chambre, je vis ma mère étaler par terre, du sang coulant à flot de sa gorge. Je m'approchai d'elle doucement je n'arrivais pas à me faire à l'idée qu'elle était.... qu'elle était morte, mais en regardant de plus près je la vis me faire signe d'approcher ce que je fis et elle me dit une phrase qui restera graver dans mon cœur.

-Je t'aime et je t'aimerai toujours ma chérie mais je crois qu'il est temps de nous quitter, ne cherche pas la vengeance ou tu deviendras comme mon agresseur ton cœur pourrira aussi vite que le sien et tu ne seras que tuée, adieu mon amour.

Et elle poussa son dernier souffle devant moi, son regard était perdu dans le vide à présent, je redescendais les marches pour prévenir mon père, mais en arrivant devant le salon je le vis ficelé sur une chaise mutilé de plusieurs coups de kunai, mais il était vivant, sur son coté droit il y avait le même homme qui nous avait demandé de le suivre quelques heures auparavant. Mon père regarda son agresseur et lui dit.

-Je ne n'ai rien dit sur le village de Kiri à mes clients je vous le jure!!!!

Puis il se tourna vers moi et me dis.

-Fuis Misaki!!!! ne reste pas la va t'en c'est trop tard pour moi!!!! fuis!!!

-La ferme tu ne me sers plus à rien abruti!!!! Répondit l'homme.

L'homme coupa la jugulaire de mon père avec son kunai et un jet de sang vola sur moi, j'étais horrifié je ne pouvais plus bouger, L'homme me regarda puis me dit.

-Je suis désolée petite c'était ma mission, le village de Kiri pensait que ton père divulguait des informations aux ninjas des autres villages, je n'ai fait qu'obéir aux ordres.

Chapitre 3
Mon sauveur

C'est là que j'ai changé, je me suis enfuis de mon ancienne vie qui avait été annihilée par un seul ninja, oui je me suis enfuis et j'ai traîné dans les rues pendant deux mois, deux mois à voir les autres sans être vue, à entendre sans être entendue, on ne me considérait seulement comme un élément du décor. Mais un jour aussi banal comme tous les autres, j'étais assise la tête dans mes bras, un jeune homme me regardait, j'avais si peur que le jour où mon père m'avait sauvé se reproduise, mais je sentais au fond de moi que je n'avais rien à craindre de lui. Il s'approcha de moi et posa sa main sur mon épaule droite en me souriant, je lui rendis son sourire et je perdis connaissance sûrement à cause du froid quasi permanent de Kiri, quand j'ai repris mes esprits je me trouvais avec l'homme devant ce qui paraissait être sa maison il entra avec un kunai puis il disparut quelques instants et ressortit du bâtiment l'air horrifié. Il me demanda de rester ici, mais je savais que ma seule chance de survivre à Kiri était de le suivre et j'ai donc insisté pour venir, en marchant vers un labo je lui racontai ma vie et il en fit de même, il s'appelait Shiro Yotsuba on aurait dit que j'avais retrouvé une famille, un grand-frère en quelque sorte. En arrivant devant le labo Shiro me demanda de bien rester derrière lui. On entendit un cri de femme le même que celui de ma mère Shiro regardait sur une espèce de table d'opération une femme morte, mais tout ce qui se passe après ne me concernait pas vraiment donc je vais passer les détails. Shiro venait de manger un truc bleu et une étrange marque était à présent gravé sur sa joue et j'avais peur, mais je pris mon courage a deux mains et réussis à sortir Shiro du labo. Il ne bougeait plus comme si le temps s'était arrêté sur son corps, je pleurais, je pleurais tellement, il finit par se réveiller et il posa sa main sur mes cheveux et dit.

-Ne t'en fais pas Misaki.... je suis là...

Il se releva et marcha vers Kiri , je le suivais de près.

....

Quand une vie s'arrête une autre commence.

C'est le monde qui pourrit les coeurs les plus bons... souviens t'en Misaki

.....

Chapitre 4
Une nouvelle vie

Nous sommes le premier décembre le jour de la naissance de Shiro, il a fait ses études pendant trois ans à l'école de ninja de Kiri, il m'a aussi adopté et quant à moi j'ai 13 ans et je revois le bonheur dans les yeux de Shiro et je sais que je suis heureuse quand il rentrait à la maison. J'habite sur le toit, les rues, car bien souvent je n'est pas d'argent pour me loger. Juste assez pour me nourrir et payer les bains. Ma vie est triste, Shiro est partie pour réglé des vielles histoires, il ma promit qu'il reviendrait, mais quand j'ai l'ai regarder dans les yeux pour la dernière fois j'ai vue que c'était la fin de notre chemin.