Tsuki Kuroshiro Kiri no Shinobi | Maître du Kenjutsu de Mizu no kuni
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Localisation : Dans un monde austère, où la mort règne, et où le chaos est maître...
Nindô : J'utiliserai ma lame pour préserver mon village et ma liberté.
Date d'inscription : 05/01/2011
Passeport Ninja
Grade: Jônin
Points d'Expérience:
![- Le Soleil ne peut pas blesser, Il ne peut que tuer... - [Entraînement] Left_bar_bleue](https://2img.net/i/fa/i/left_bar_bleue.jpg)  ![- Le Soleil ne peut pas blesser, Il ne peut que tuer... - [Entraînement] Empty_bar_bleue](https://2img.net/i/fa/i/empty_bar_bleue.jpg)  (471/1000)
Techniques:
 |  Sujet: - Le Soleil ne peut pas blesser, Il ne peut que tuer... - [Entraînement] Ven 13 Jan - 19:46 | ![]() |  - Le Soleil ne peut pas blesser, Il ne peut que tuer... - « Mon fils, les gens que tu as le plus aimé dans ta vie,
Sont partis les premiers... »![- Le Soleil ne peut pas blesser, Il ne peut que tuer... - [Entraînement] Tour_m10](https://i.servimg.com/u/f20/11/50/04/14/tour_m10.png) x Les pas des Kumo-jins retentissaient au loin, apportant ainsi la guerre aux portes du pays de l'Eau sous les paroles de mon père, devenus des échos. La frayeur des citoyens se voyait sur leurs visages et dans leurs gestes. Personne à Kiri n'était prêt pour ça, car en tout temps, notre village avait su éviter les conflits des trois grandes guerres shinobis. Cependant, sans savoir pourquoi, cette fois ci, Kumo décida d'engager les combats contre nous. Peut être que le Raikage n'avait pas entendu les histoires que les voyageurs racontaient sur les Kiri-jins, peut être ignorait-il que, bien que peu nombreux, nous étions de puissants guerriers sans peur et avec une rage de vaincre sans égale... N'avait-il pas eu vent de nos méthodes cruelles avec nos ennemis ? Ou peut être ne savait-il tout simplement pas que nous n'abandonnions jamais... Quoi qu'il en fut, les dés étaient à présent lancés, et les Kumo-jins allaient se heurter à une falaise tranchante qui allait les broyer comme les falaises entourant le pays de l'eau broyaient les vagues sans même s'effondrer. Nous étions peu, mais tous soudés, avec la même férocité et le même désir de conserver Kiri. Néanmoins, je savais, même si cela me faisait de la peine, que des individus de haut niveau arriveraient à entrer dans l'enceinte de la cité, c'est pourquoi, durant les semaines qui précédèrent les combats, je m'entraînai ardemment afin de pouvoir protéger au maximum ma patrie. Ainsi, je décidai de mettre au point une nouvelle technique qui, une fois au point, deviendrait l'un de mes chef d'oeuvre.
x Comme toujours, j'avais longuement réfléchi à ce nouveau jutsu, afin qu'il me convienne, que ce soit aussi bien dans l'utilisation que dans l'esthétique. Donc, une nouvelle je me penchais sur mon sabre, afin de créer une lame instoppable, et donc capable de tout trancher d'un seul coup rapide. Cette idée m'était venue en forgeant des sabres, à mes heures perdues, dans le sous-sol du Dôjô. J'avais l'habitude de me livrer à cette tache, qui au final était devenu un loisir me permettant d'oublier mes tracas. Cependant, un jour où je m'activai à cette tache, je pensais à la guerre qui approchait à grand pas d'après nos renseignement, et dans l'inattention la plus totale, la lame sauta de l'enclume et me brûla au bras. La douleur fut grande, mais dès l'instant d'après, l'idée était née. Une épée brûlante ! J'avais récemment découvert que je possédai, enfouit dans mes méridiens de chakra, l'affinité Futton, soit la vapeur, ce qui me permettait donc de créer des température extrême. Ainsi, après cette illumination, j'avais jeté la lame dans l'eau pour remonter rapidement à l'air libre pour y commencer l'entraînement. J'étais habitué à accumuler mon énergie dans ma lame, mais cette fois-ci, ce fut différent. En effet, le Futton étant un élément bien plus volatil que tous les autres, il me fut difficile d'arriver à le contenir en une masse dense. Mais je savais que j'y arriverai. Ainsi, je m'étais équipé d'un autre sabre que celui de mon père, et j'avais commencé la confection. Plusieurs jours passèrent durant lesquels j'eus beaucoup de mal malgré ma maîtrise du chakra, mais au final, je réussis à contrôler le flux quasi-continu d'énergie dans la lame sans avoir d'explosion de vapeur, mettant ainsi un point au problème de concentration du Futton. Mais comme rien n'est simple dans la vie, la chaleur crée par l'affinité fit fondre la lame en une seconde, ce qui me posa un nouveau problème. Mais j'avais réussi à donner les effet voulu à ma technique : la concentration de vapeur permettait de faire fondre n'importe quoi. Cependant, cette énergie était tellement concentrée et avait une chaleur tellement élevée que même la protection de chakra que j'avais apposé autour de la lame ne résistait pas. Il me fallait donc trouver une solution à ce problème. Durant encore plusieurs jours je me mis à cogiter sur ce problème, tentant vainement de créer une enveloppe protectrice autour de ma lame, variant l'épaisseur de cette dernière, avant de finalement trouver la solution : le Suiton. J'avais déjà essayé, à de multiples reprises, de protéger ma lame d'eau, mais à chaque fois, ma technique échoué car la noyau de vapeur était refroidit. Puis, en fin de journée, alors que je comptais m'arrêter là pour le moment pour cause de fatigue, alors que je sentais mes dernières gouttes de chakra passer dans mes mains, l'inattendue se produisit : j'avais trouvé la quantité de Suiton nécessaire pour ne pas refroidir la vapeur tout en protégeant le sabre. Mais étant à bout de force, je dus m'arrêter là. Le lendemain après midi, après avoir récupéré, je pouvais enfin reprendre là où j'en étais la veille. En réalité, il fallait très rapidement balancer un tout petit flux d'eau en continu afin de garder la lame froide sans que la vapeur ne refroidisse, mais aussi faire en sorte que ce flux soit assez consistant pour ne pas s'évaporer avec la chaleur. De nombreuses fois au court de cet entraînement je me dis que cette technique fut l'une des plus compliquée que j'eus à créer, mais qu'elle me serait tout de même grandement utile. Puis après cette découverte, et jusqu'à très tard dans la nuit, je continuai de m'entraîner au point de connaître parfaitement les doses sans avoir à me concentrer, afin que lorsque je le désirerai, je puisse activer cette technique instantanément. C'est d'ailleurs à la suite de cette nuit, alors que la brume entouré le pays de l'Eau, que j'acquis une maîtrise parfaite de ce nouveau jutsu. Le spectacle était magnifique, car, dans un bourdonnement incessant venant de mon sabre, alors que le brouillard avait avalé toutes choses autour de moi, une lueur rouge apparaissait dans cette purée de poids : il m'avait épargné, m'entourant sans me toucher. La chaleur, qui se dégageait à la fois de mon corps et de mon sabre, était tellement élevée que l'eau en suspension dans l'air autour de moi s'évaporait en entrant dans ma zone de vie, créant ainsi une bulle d'air sec et chaud dans ce périmètre, "détruisant" ainsi, et cela partiellement, la brume qui voulait, à mon tour, m'avaler. La fatigue était là, mais tout cela n'était pas encore fini, car il fallait à présent tester cette nouvelle découverte. Les effets de la techniques commençaient à se faire sentir, car comme tout jutsu, il avait aussi ses inconvénients. Étant ambidextre, mais de préférence droitier lorsque je n'ai qu'un seule arme, je ressentais une violente brûlure à l'intérieur de mon bras droit, qui avait d'ailleurs rougis. Cette douleur était l'effet du Futton en grande quantité dans les méridiens fragiles des bras. Mais cela ne m'étonna pas, car j'avais utilisé cette technique toutes la nuit. Quoi qu'il en fut, ça n'allait pas être ça qui me stopperait. Je repris donc mes esprits et repris mon travail où je l'avais laissé quelques instants plus tôt. En tournant la tête sur ma gauche j'aperçus, au travers du brouillard, des mannequins d'entraînement. D'un déplacement quasi-instantané, j'apparus devant l'un d'eux, et d'un coup sec et rapide, alors que la brume semblait éviter ma lame dans son mouvement, et bordé par un bourdonnement stressant, je coupais le mannequin avec une grande aisance. Lors du contacte, au niveau de la lame, de petite flamme se créèrent avant de disparaître aussi vite, montrant ainsi à quel point la température de la lame était élevée. Mais cela ne me suffisait pas, je voulais connaître les limite de mon jutsu. Donc, en regardant de droite à gauche, je vis, au loin, délimitant le terrain du Dôjô, et donc mon terrain, un poteau, dont la matière semblait être de l'acier. En un instant je me retrouvais à ses pieds, et sans me faire prier, je lui assainis un coup. Je connaissais la difficulté pour trancher un élément en métal aussi consistant que ce poteau, je pensais d'ailleurs que la lame allait céder avant d'aller se planter une dizaine de mètres plus loin. Mais alors que je m'attendais au choc en donnant un coup horizontal, le bourdonnement de ma lame disparut, laissant la place à un crépitement, suivi d'un choc qui fit trembler le sol. Je fus abasourdi en comprenant ce qui venait de se passer : ma lame rouge avait sectionné le poteau avec une facilité inouïe, me donnant l'impression de couper du beurre avec un couteau de boucher. La scène était stupéfiante et irréaliste. J'avais crée l'amélioration d'arme la plus dévastatrice du pays de l'Eau, et peut être même du monde, car grâce à ça, je pouvais triompher de n'importe quelle défense ou rempart, je pouvais tout traverser d'un simple mouvement du bras. Je pouvais maintenant protéger Kiri comme il se devait, même si je ne devais tout de même pas abuser de cette lame rouge sang.![- Le Soleil ne peut pas blesser, Il ne peut que tuer... - [Entraînement] Lights10](https://i.servimg.com/u/f40/11/50/04/14/lights10.png)
* Kiri Gakure no Satô... Je te protégerai... *
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